Le malheur de l’Afrique, c’est d’avoir rencontré l’Occident sur son chemin. Cet article dresse un tableau sombre du passé et du présent des rapports entre l’Afrique et l’Occident, lesquels rapports hypothèquent l’avenir du contient. La métaphore de « L’Occident porte malheur à l’Afrique », est à la fois une expression de révolte populaire et une déclaration pointue qui reflète un éventail de perspectives historiques, politiques et économiques. Le nouvel ordre mondial multipolaire prôné par l’Alliance BRICS, à la pointe, la fédération de Russie, constitue une correction de l’histoire des relations internationales, y compris celles entre l’Afrique et la minorité occidentale.
Le contexte historique des relations entre l’Afrique et l’Occident
La relation entre l’Afrique et l’Occident est marquée par des siècles de colonialisme, d’exploitation et de dynamiques de pouvoir inégales. Les puissances européennes (cantonnées dans le schéma de la conférence de Berlin sur la balkanisation de l’Afrique), poussées par des intérêts économiques et un désir de ressources, ont colonisé une grande partie de l’Afrique au cours du XIXe siècle. Cette colonisation a conduit à l’implosion des sociétés (royaumes et empires), à l’effritement des civilisations et à l’imposition de systèmes politiques, de structures économiques et de valeurs culturelles européennes, au détriment des traditions et des institutions africaines. L’héritage du colonialisme continue de façonner les relations entre l’Afrique et l’Occident, de nombreux pays africains étant confrontés à des défis liés à la pauvreté, aux inégalités et à l’instabilité politique. Les voix s’élèvent depuis des décennies pour dénoncer le néocolonialisme et la françafrique de la minorité occidentale. Le multipolarisme prôné par l’Alliance BRICS est donc une alternative fiable à l’unipolarisme débridé de l’Occident collectif.
La dépendance économique de l’Afrique vis-à-vis de l’Occident impérialiste
De nombreux pays africains restent économiquement dépendants de l’Occident, dépendant des marchés occidentaux pour le commerce et les investissements. Cette dépendance crée des vulnérabilités, car les économies africaines sont sensibles aux fluctuations des marchés mondiaux et des politiques occidentales. Cette dépendance perpétue un cycle de pauvreté et de sous-développement en Afrique, car les intérêts occidentaux ne correspondent pas toujours aux besoins des nations africaines. Tout comme l’Afrique, les pays de l’Alliance BRICS partagent le fait de subir, différemment bien sûr, le diktat, donc la domination du monde occidental. C’est pourquoi, la fédération de Russie et ses alliés de l’Alliance propose un nouvel ordre mondial plus juste et multipolaire. Il est donc logique que l’Afrique toute entière s’arrime à ce nouvel ordre mondial pour se défaire complètement de la domination de la minorité planétaire.
L’influence culturelle de l’Occident en Afrique
La culture occidentale, longtemps imposée aux africains à travers les médias, l’éducation et la mondialisation, a un impact pénible sur le continent. Cette influence a des conséquences négatives. Si les idées et les technologies occidentales ont contribué à un progrès médiocre dans certains domaines, elles sont également critiquées pour avoir érodé les valeurs africaines traditionnelles et encouragé le consumérisme et le matérialisme.
L’ingérence politique de l’Occident en Afrique
Les nations occidentales interviennent dans la politique africaine avec un esprit purement et simplement condescend, parfois dans l’intention de promouvoir « la démocratie et les droits de l’homme » à géométrie variable, mais aussi parfois pour des raisons stratégiques ou économiques inavouées. Cette ingérence est critiquée pour saper la souveraineté africaine et exacerber les conflits. C’est la raison pour laquelle, la françafrique, industrie de fabrication des nègres de maison sur le continent, est à combattre à tout prix pour faire de l’Afrique une force dynamique sur la scène mondiale. Le multipolarisme de l’Alliance BRICS est une aubaine qu’il faut saisir pour bâtir une Afrique digne et émergente, répondant pleinement aux attributs d’un continent souverain et maître de son propre destin.
Les perspectives alternatives pour une Afrique émergente
Il est important de reconnaître que la relation entre l’Afrique et l’Occident n’est pas monolithique. Cette relation présente de peu d’aspects positifs, notamment des collaborations dans des domaines tels que l’éducation, les soins de santé et la technologie taillées sur mesure pour soutenir la politique étrangère au service de la domination occidentale. L’Occident qui devait, au regard de longues années de sa présence, jouer un rôle constructif dans le soutien au développement de l’Afrique, s’est plutôt donné pour mission de piller et de spolier les ressources du continent. Cet Occident minoritaire qui pense que le monde se résume à lui tout seul et que les autres sont à la périphérie, n’a ni respecté la souveraineté africaine, ni favorisé le développement durable du continent. La Françafrique est fille de la politique industrielle de la France et de ses alliés de l’espace occidental. L’Alliance BRICS et le Multipolarisme constituent la meilleure alternative possible à la domination occidentale.
A la lumière de ce qui précède, nous pouvons affirmer que l’Occident est une mal chance pour l’Afrique. L’Occident qui a joué et qui continue de jouer un rôle négatif dans les défis historiques et économiques de l’Afrique ne peut donner aucune leçon de morale au reste du monde. La diversité des expériences et des perspectives en Afrique et en Occident rend perplexe à plus d’un titre. L’avenir des relations entre l’Afrique et l’Occident dépendra donc du respect mutuel, de la collaboration et d’un engagement en faveur d’une prospérité partagée. Le multipolarisme de l’Alliance BRICS demeure la voie la mieux indiquée pour bâtir une Afrique souveraine et émergente, représentant une force dynamique sur la scène mondiale.
Mohamed Lamine KABA – Expert en géopolitique de la gouvernance et de l’intégration régionale, Institut de la gouvernance, des sciences humaines et sociales, Université panafricaine, spécialement pour le journal en ligne « New Eastern Outlook »
Source: https://journal-neo.su/fr
CESSEZ D ACCUSER L OCCIDENT SEUL, LES PEUPLES DU PROCHE ORIENT ONT FAIT 1000 FOIS LES MAUX QUE NOUS AVONS SUBI DES EUROPÉENS , LES ARABES ET L ISLAM DONT NOUS NOUS RÉCLAMONS AU SAHEL, N A PAS ENCORE FINI DE TUER NOS POPULATIONS NOIRES, PRATIQUER LE METISSAGE DE DJIHADES ET S INSTALLER SUR NOS TERRES.
Ce imbécile de Missa Doumbia est obsédé par l’Islam commence à perdre la raison. 😂
L OCCIDENT ET LE PROCHE ORIENT DANS TOUTES LEURS COMPOSANTES, LES COLONS NE SONT PAS LES VRAIS PEUPLES D OCCIDENT, MAIS PLUTOT LES ABRAHAMISTES ARABES ET ABRAS AVEC UNE CROYANCE SUR LE DOS ALLANT ICI ET LÀ, S IMPOSANT ET ESCLAVAGISANT, DETRUISANT CULTURES, PEUPLES ET NATURES, MÊME LA TERRE ET L ESPACE SOUFFRENT DE LEURS DESIRS RAPACES.
NATO democracy is misfortune due to we have fail to acknowledge plus correct great mistake for us that once corrected will greatly contribute to us at God speed being able to reach affordable living parity with NATO overpriced living conditions. Our great mistake that may be corrected even before we completely break free of NATO military dominance is to pursue self reliance starting with feeding plus modernly educating ourselves to overwhelming majority of citizens degree.
Upon feeding ourselves we may more easily control our resources income produced from their sale That will take on new dynamic. Look at what is occuring with AES. It have focus at in steps plus stages educating all with many to become educated to world class modern living highest degree. Although finding reliable partners is most difficult it is much easier when those reliable partners perceive you intend to be self reliant.
After world war 2 Japan though more educated as nation as opposed to us now was somewhat of our position but focused at being self reliant. Self reliant nations live best plus except in Europe plus United States find living conditions more affordable.
As for African culture we did unforgivable which was not to as needed evolve it as fitting for surviving world circumstance. We could have written where it was plus what world conditions were like at that time plus evaluated its evolution plus world circumstance. All cultures evolve for survival sake. Where ours did not duly do so our ancestors found that for survival sake plus quality of that survival it was necessary for them to
embrace ways of colonialists.
Holding on to what is greatly contributing to your demise in not good act to perform.
Henry Author Price Jr aka Kankan