L’ex-vice-président zimbabwéen Emmerson Mnangagwa nommé à la tête de la Zanu-PF (membre du parti)

2
L'ancien vice-président Emmerson Mnangagwa et le président Robert Mugabe à Harare, le 12 décembre 2014.
L'ancien vice-président Emmerson Mnangagwa et le président Robert Mugabe à Harare, le 12 décembre 2014.

Commentaires via Facebook :

2 COMMENTAIRES

  1. Le problème, c’est que le vice Président lui aussi voudra rester éternellement au pouvoir. Il s’est dit, que Mugabé est resté 37 ans, pourquoi lui aussi n’y passera pas le restant de ses jours. Au Zimbabwé, c’est une question d’anciens libérateurs. C’est à eux que le pouvoir est destiné dans leur entendement, donc, ils ne bougent pas. Mugabé, à cause de sa sale petite garce de femme, a tout perdu. Sa dignité, son honneur, son prestige et ce qui lui reste de popularité. Notre Mugabé, le Manden Mansa, le vaurien ne doit pas insister pour demeurer au pouvoir. Il a échoué sur toute la longueur, il ne doit pas se présenter aux élections à venir, s’il ne veut pas connaitre un sort identique à celui de son grand frère du Zimbabwé. Les Maliens ne doivent plus accepter que des grabataires assument la fonction suprême. Ce que IBK coûte en soins médicaux, en vols d’avion et d’hôtel suffisent largement à régler certains problèmes au Mali. Son voyage le moins cher a coûté 74 millions, c’est celui du Burkina où il est allé présenter les condoléances après l’attentat sanglant de restaurant Aziz Istanbul de Ouagadougou. C’est trop, pour une heure de voyage, Ouaga-Bamako aller-retour. Autrement, tous ses autres voyages se chiffrent en centaine de millions de francs. Or, en quittant le pouvoir, il pourra rester quelques temps se faire soigner en France, sans trop de frais pour le trésor public. Il doit refuser de se présenter aux prochaines consultations et demeurer en France pour un repos bien mérité si l’on peut s’exprimer ainsi, rester plus près de ses médecins, tout en soulageant le budget national de sa lourde charge médicale. Mais, connaissant le goût immodéré de l’homme pour le pouvoir, c’est la bouche ensanglantée qu’il lâchera le morceau comme disent les Maliens et comme vient de le démontrer Mugabé. Ils n’abandonnent pas ni dans la paix, ni à cause de Dieu.

  2. Mugabe a refuse de reflechir et il paye un joli prix a cause de son entetement, il doit partir et donner la place a son Vice president qui la merite, la politique au Zimbabwe est une question de merite et pas de coeur Robert, ciao.

Comments are closed.