Dans une vidéo diffusée sur la chaîne nationale, Ahmed Kinda, ancien commandant des forces spéciales du Burkina Faso, explique comment l’opération a été planifiée, avec quelles ressources humaines et matérielles.
Un extrait vidéo a été diffusé le 29 septembre par la chaîne nationale RTB. D’une durée de 4 minutes, il montre 3 hommes.
L’un d’eux, Ahmed Kinda, ancien commandant des forces spéciales du Burkina Faso, explique comment l’opération a été planifiée, avec quelles ressources humaines et matérielles.
Il affirme avoir demandé 150 “mercenaires centrafricains”, de l’armement et du matériel de communication. Le groupe devait être équipé de fusils AK-47, ainsi que de 10 mitrailleuses lourdes PKM, de 10 lance-roquettes RPG-7, de 4 mortiers.
L’homme dit avoir été interpellé à une gare routière à Niamey le 30 août, alors qu’il attendait des personnes censées lui présenter les caches d’armes.
️Le complot a été déjoué, avait fait savoir le 23 septembre le ministre burkinabé de la Sécurité. Les autorités ont alors promis de fournir prochainement des preuves matérielles.
Source: https://fr.sputniknews.africa/
Ahmed Kinda doit nous dire le role de la tres maudite France dans son aventure aveugle et apatride!
Il est assez probable que cette marionnette du pouvoir en place à Ouagadougou en sait aussi long que moi sur cette sur opération de déstabilisation. À savoir, rien. On est sans doute en train de fabriquer les « preuves matérielles » adéquates. Ce qui, évidemment, prendra du temps. À qui veut observer calmement les choses, cette entreprise, pour peu qu’elle ait une réalité, ressemblerait comme deux gouttes d’eau au putsch qui a assis sur son trône le colonel au pouvoir. Pas de quoi s’émouvoir.