PARIS (Reuters) – Les rebelles tchadiens ont annoncé jeudi qu’ils allaient reprendre les armes contre le président Idriss Déby, qui n’a pas engagé de négociations avec eux depuis qu’ils ont cessé le feu voici plus de deux ans.
L’Union des forces de la résistance (UFR, coalition de rebelles) avait déposé les armes après que Tchad et Soudan avaient accepté de mettre fin à leur guerre par procuration en 2010 en cessant de soutenir les guérillas sur le territoire de l’autre.
“Nous sommes fatigués d’attendre. Nos partisans sur le terrain sont fatigués et nous poussent à entrer en lutte, étant donné le refus obstiné de Déby. Nous devons reprendre le combat”, a déclaré à Reuters Timane Erdimi, chef rebelle tchadien, par téléphone depuis Doha au Qatar.
Idriss Déby s’est emparé du pouvoir en 1990 à la faveur d’un putsch militaire et a remporté depuis cette date une série d’élections dont l’équité a été mise en doute par les observateurs internationaux.
Erdimi était le chef de l’une des organisations de guérilla réunies au sein d’une coalition qui, en février 2008, a attaqué la capitale N’Djamena et assiégé le président dans son palais.
Les rebelles avaient fini par se retirer, en accusant la France, qui dispose de troupes et d’avions militaires au Tchad, de soutenir Déby. Paris avait déclaré que ses forces avaient apporté un soutien médical et logistique à l’armée tchadienne et lui avaient fourni des renseignements, mais qu’elles n’avaient pas participé directement aux combats.
Les ennemis de Déby estiment que les trois élections organisées depuis le coup d’Etat n’ont pas été équitables et qualifient le président de corrompu et de dictateur.
“Les problèmes ne peuvent pas être résolus sans négociations entre les deux camps”, a dit Erdimi, qui vit en exil à Doha depuis que le Soudan a normalisé ses relations avec le Tchad.
Selon Erdimi, neveu et ancien collaborateur de Déby, tous les rebelles n’ont pas déposé les armes, et ils se regroupent actuellement entre la ville de Tissi, dans le sud-est du pays, et la frontière libyenne dans le nord du pays.
“L’UFR disposait de 6.000 hommes et de 300 véhicules en juillet 2010. Même si nous n’en avons que 50% désormais, c’est tout de même quelque chose”, a-t-il dit.
John Irish; Eric Faye pour le service français, édité par Tangi Salaün
Reuters
Vivement que l’Iran accède à sa bombe et l’essaye sur le QATAR, ce minuscule Etat trop voyou!
Vivement que l(Iran accède à sa bombe et l’essaiye sur le QATAR, ce minuscule Etat trop voyou
Here we go again. Le qatar.Le Qatar a un ajanda imperialist. Il veut creer un autre conflit au Tchad en aidant le neveu de Idriss Depuis rebelle Tchadian refuge’ au Qatar a reprendre les armes comme ca le Tchadian seront obliger de se retiter du Mali pour faire face a leur propres rebelion.
Ca suffit Rebelion, Coup D’Etat, Milice Congolais, Ruandais, Angolais, Ivoirien, Djahadist Malien, on en a mare , Ca suffit, please Dieu aide les enfants de l’Afrique a comprendre que seule l’ecole, la Democratie, L’Etat de Droit seront les solutions. Il est temps de changer.
Come on …..
Au Mali on a besoin d’un candidat INDEPENDANT, sans Parti, NO more ADEMA, PARENA,CNID, URD, UDD,NO more, no more, no more…No no no .
QU’ILS ESSAIENT POUR VOIR!!! VOYEZ VOUS CA, CES REBELLIONS EN AFRIQUE N’ONT JAMAIS ETE POUR L’INTERET SUPERIEUR DE LA NATION, MAIS POUR CELUI DE QUELQUE ENFOIRES SE FICHANT PAS MAL DU PAYS. A ENTENDRE CET APATRIDE, ON SE REND COMPTE QU’IL A FINI DE BOUFFER LA FORTUNE A LUI DONNE LORS DE LA SIGNATURE DES CESSE-LE FEU. IL A LES POCHES VIDES, AYANT TOUT DEPENSE DANS L’ALCOOL, DROGUE ET PROSTITUES IL VEUT A NOUVEAU PILLER SON PAUVRE PAYS.
SANOGO VA ALLER TE REGLER TON COMPTE AU QATAR. 😳
La patience paye pour celui qui sait attendre et le combat n’est pas une solution dans le contexte actuel ou beaucoup de pays africains sont déjà fortement “déstabilisés”…Il y a d’autres moyens que le combat…Des moyens qui restent pacifiques mais qui avec le temps s’étoffent et commencent a prendre du poids…
Il faut d’abord rallier le plus de monde possible a sa cause, par des manifestations, par la mise en place d’organisations…afin qu’au niveau international vos revendications soient entendues…
Prendre les armes c’est prendre le risque comme dit 1FILSDUMALIBA de déstabiliser et détruire votre pays… Le combat doit rester l’ultime recours, la dernière nécessité…
C’est que un coup à ce Deby rapatrie dare dare ses troupes qui chassent les barbus dans le nord Mali 🙄 🙄 peut etre serait il temps que Sanogo apprenne trés vite a se servir d’un fusil pour aller les remplacer
Dialoguez c’est la seule solution. Sinon vous allez detruire votre pays et vous entretuez juste pour le pouvoir et l’argent. Cela serait tres dommage.
Comments are closed.