Il est entendu que les terropolisariens tentent, depuis peu, de redorer leur blason éculé suite aux multiples revers diplomatiques et aux manifestations quotidiennes dans les camps de la honte où sont séquestrés des centaines de milliers de sahraouis marocains et d’autres originaires des pays subsahariens.
Preuve en est la vidéo relayée sur les réseaux sociaux, le 25 juillet 2019, au cours de laquelle Brahim Ghali, chef imaginaire d’une fantomatique RASD, a rameuté ses sbires de Tindouf en vue de reprendre les armes contre le Maroc.
Dans cette vidéo, le cabot polisarien, âgé de 73 ans et assis sur fauteuil recouvert de l’emballage plastique, a aboyé que la guerre contre le Maroc est inéluctable et qu’il s’agit d’une étape incontournable dont il faut tout simplement décider du temps, du lieu et de la manière ; un glapissement faisant penser au comique de situation dans le film « The Dictator »
Ces aboiements belliqueux et enragés de Brahim Ghali ont provoqué ironie et sarcasme sur les réseaux sociaux, dont ceux des internautes sahraouis. Ce à quoi le chef des séparatistes n’a pas trouvé de riposte que de prétendre qu’il s’agit de commentaires provenant hors des camps de Tindouf.
Il est clair que ce conseil de guerre, régenté cavalièrement par Brahim Ghali, ressemblait plus à une réunion de parents d’élèves d’une école primaire de Tindouf où à l’écoute des résolutions du président de l’amicale, les élèves ont du souci à se faire et gare aux jeunes qui oseront contester l’autorité du président de l’amicale, ils subiront le même sort que Fadel Breika, Moulay Abba Bouzeid et Mahmoud Zeidan.
Ces menaces de déclaration de guerre ont laissé de marbre les autorités marocaines. Il est vrai qu’il ne faut guère prêter attention et prendre au sérieux cette énième provocation belliqueuse des séparatistes et se contenter de faire sien le proverbe chinois : « La bave du crapaud n’atteint pas la blanche colombe » ?
Quant à l’oligarchie vert-kaki algérienne fossilisée et placée sous la botte de leur compère, le Général-Président algérien, Ahmed Gaïd Salah, elle s’est permise d’insulter l’intelligence du peuple algérien en plaçant « l’université d’été des cadres du polisario », qui se tient à Boumerdès du 27 juillet au 07 août 2019, sous le thème « Peuples algérien et sahraoui : fraternité, serment et fidélité ».
Une énième imposture de cette oligarchie algérienne, cramponnée au pouvoir envers et contre le peuple algérien engagé de puis le 22 février 2019 dans un brave combat contre le régime en place depuis 1962.
Il est, par conséquent ahurissant de voir, aujourd’hui, la volonté du peuple algérien confisquée et détournée au profit de la bande de mafieux de Rabouni tout comme le sont encore et toujours les séquestrés sahraouis marocains des camps de la honte de Tindouf.
Il est indéniable que la RASD n’a jamais bénéficié d’un quelconque soutien, sous quelque forme que ce soit, de la part du peuple algérien et ce dernier a même fêté avec le peuple marocain sa victoire historique en finale de la Coupe d’Afrique des Nations tout en réclamant l’ouverture de la frontière terrestre commune avec le Maroc.
Ainsi, l’oligarchie algérien au pouvoir à Alger, et en premier lieu Gaïd Salah, devrait savoir que « les plaisanteries les plus courtes sont les meilleures ». Les plus courtes, certes, mais surtout pas celles de mauvais goût semant la terreur et la panique chez ses paisibles voisins !
Mais à qui le dire ? Sûrement pas à ces écervelés, doublés de mauvais plaisantins, du Club des Pins, QG algérois des généraux algériens, et à Rabouni. Ces terroristes daechiens de Rabouni et ceux du Club des Pins, déguisés en gangsters américains et vêtus de treillis, brandissant des armes, tentent de faire croire qu’ils s’apprêtent à perpétrer un acte de guerre contre le Maroc.
Ils semblent oublier que les Forces Armées Royales marocaines sont prêtes à riposter contre toute atteinte à son intégrité territoriale et à sa souveraineté nationale. Ces généraux de salons algériens ont-ils oublié la raclée reçue en 1963 lorsque feu le Général Driss Ben Omar demanda à Feu Sa Majesté le Roi Hassan II l’autorisation de marcher sur Alger mais aussi celles reçues au Sahara Marocain. Des conflits algéro-marocains qui ont fait de nombreux morts algériens ainsi que des centaines de prisonniers que le défunt Roi Hassan II libéra par la suite.
Finalement, « Que Dieu maudisse qui n’a pas honte ! ». Résultat des courses, ces imbéciles auront à répondre de leur « farce » insipide, bête et méchante, devant le peuple Algérien.
Farid Mnebhi.