L’envoyé spécial onusien participera à la réunion de la CEDEAO sur le Mali et la Guinée-Bissau

12

(Xinhua) – Le représentant spécial du secrétaire général pour l’Afrique de l’Ouest, Said Djinnit, participera à la réunion du Conseil de sécurité et de médiation de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO), qui aura lieu dimanche à Abijdian, en Côte d’Ivoire, a indiqué vendredi un porte-parole de l’ONU.

Dans un communiqué publié par le bureau du porte-parole, le secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-moon s’est dit convaincu qu’était important de s’assurer que les décisions prises dans le cadre du processus de médiation au Mali et en Guinée-Bissau favorisent pleinement le retour rapide de l’ordre constitutionnel dans ces pays et y envoient un message de principe clair contre la prise anticonstitutionnelle de pouvoir.

“Les Nations Unies appellent de nouveau au strict respect des principes démocratiques. Elles appellent également les militaires des deux pays à retourner dans leurs casernes, à s’abstenir de toutes implication politique, et à respecter les autorités civiles et l’état de droit”, lit-on dans le communiqué.

Kadre Desire Ouedraogo, président de la Commission de la CEDEAO, a annoncé le 15 mai que l’organisation sous-régionale était prête à déployer des troupes au Mali et en Guinée-Bissau.

Selon lui, les actuelles options pour la CEDEAO comprennent une résolution pacifique à la crise et un éventuel recours à la force visant à mettre fin à l’actuelle crise dans les deux pays.

Publié le 19 mai 2012 à 16h52

Commentaires via Facebook :

12 COMMENTAIRES

  1. Il y a plein de pays sans armée (26) et qui se portent très bien… Si en plus le peu d’armée qu’il y a délire… Autant la supprimer et retrouver une paix basée sur autre chose que sur la force.
    Costa Rica, Panama, Haïti et Dominica ont osés le faire alors qu’ils étaient en pleine crise. Je ne préjuge d’aucune situation sur le terrain et toute personne a droit à la sécurité, mais dans ces limites, cela vaut la peine d’y réfléchir !

  2. Beaucoup ne comprenne que par leur cul il me semble.
    A qui la faute aujourdhui, apres 23 ans le Mali n a meme pas une armée?
    Est ce la faute de Sanogo ou le couple ATT-Diacounda et sa clique?
    le Mali se reveille un bon matin de Janvier 2012, piannnnnn…….y a rien pas d armée, quelle honte? Le Mali a nu! le seul pays au monde qui n as pas d armee digne de le defendre. Un pays sans defense, sans rien, un territoire sans defense, on peut meme pas defendre nos terres, les terres de nos aieux.
    Un pays sans armée, en plus avec un general(de merde) ATT a sa tete, quelle honte. Lui meme n osa pas aller au front. Putain! en plus face seulement a une centaine de bandits. L armée Malienne n a rien pu, elle a pris ses jambes sur son cou….et elle detala comme des poules sorties de leur paniers….
    Y a rien, on laissa tomber le peuple(du nord), heureusement que ses bandits s arreterent aux frontieres de l Azawad, sinon ils etaient capable de prendre tout le Mali entier, parcqu en face y a rien, y a pas d armee, rien zero….

    A qui la faute? Est ce celui qui a 5 mois ou ceux qui ont regner 23 ans sur la chaise. A qui la faute??

    Pendant les 23 ans on forma une armee des poulets, fuyant aux premiers tirs….
    jettant l uniforme et se cachant sous les jupes des femmes et se melant aux enfants….La faute a qui??? A Sanogo!!!Hein!!!!

  3. Source RFI, apparament, Diouncounda Traore va diriger la transition (selon l’es junte).
    Si le Maliba doit sortir de cette crise et la recuperation su nord le plus rapidement possible en depend, pourquoi pas, meme c’etait aps la personne de mon choux pour diriger cette transition que je souhaiterai plus apolitique et neutre. Mais il faut des compris et des saacrifices de tout un chacun en mettant de cote tout et si la nation doit retrouver son integrite territoriale et la paix tant mieux. Je ne peux que souhaiter bonne chance a lui et au gouvernement, le peuple malien sera le meilleur juge.

  4. les aigris vous êtes là?
    alors partez avec votre sanogo avant qu’il ne soit trop tard

  5. cette ONU, était certainement dissoute quand des rebelles faisait tuer n’impote comment les civils et militaires maliens, quand ces groupements de bandits occupaient le territoire malien et empecher des populations civiles à vacer dans leur occupation, cette ONU à meriter le meilleur prix de course de 100m en intervenant en libye, soit disant que des civls sont seulement menacés mais pas tués, ni avoir faim? c’est deux poids deux mesures, a quoi bon d’investir au Mali en bombardant les rebelles car au finich 0 petrole ou diament à partager, OK, après vous venez participr à des reunions de vos émissaires pour imposer dioncounda traoré au Mali comme vous l’vez fait pour ouatara enRCI, et trouver un job à temps plein pour vos mecenaires au nord du Mali. Merci pour vos initiatives voilées, ni vous, ni vos bandits de soldats ne mettrons pieds dans notre pays car vos traces sont meurtrières et nya que inscurité, tueries, anarchie qui règne après vos passages, vous navez rien arranger dans l monde, j’en veux à ceux qui ont eu l’initiativ de crer cette milice des usa pour la trreur sur la terre. Pardon soyez raisonnable et mettre à la disposition du Mali largent prévus pour payer vos meceneurs pour veni occuper le Mali, nous nous dbouillerons tout seul, pardon ces gens qui attaquent le Mali aujourd’hui sont également vos protgés et vos fournisseurs de drogues, on le sait donc, arretez de faire perdre le temps au peuple malien pour ne pas faire la guerre, merci pour vos double face, et vos couteaux à double tranchant,

  6. SACHEZ QUE LE PEUPLE MALIEN VEUT PLUS DES ANCIENS DIGNITAIRES QUI N’ONT RIEN FAIT POUR LE MALI
    VOUS DEVEZ SAVOIR QU’AU MALI LA CORRUPTION ET LE DETOURNEMENT DE BIENS PUBLICS ETAIENT UNE SITUATION QUI A ATTEINT LE SOMMET D’OU LA RUPTURE AVEC LE PEUPLE.
    ON VEUT PLUS CE CES MESSIEURS, NOUS VOULONS UNE VRAI DEMOCRATIE OU LA JUSTICE REGNE. NOTRE DEMOCRATIE ETAIT SANS JUSTICE? L’IMPUNITE TOTALE.

    • La seule crainte des gens , mon bon monsieur , c’est je crois d’avoir l’intuition qu’ils sont en train d’assister au remplacement d’un “parrain ” repus , par un autre qui semble avoir trés faim ….. NON ? 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆

    • Toi le bâtard tu penses que il y a quelqu’un de nouveau? Alors ton père on doit le foutre dehors ou l’amener au nord. Tous les cadres et citoyens du Mali ont participe de pres ou de loing a la gestion du pays ou Prut proche. Tu nous en merde fils de chien. Tu es nuisible a la Société.

  7. La transition politique au Mali et la constitution du 25 février 1992: l’intrus et les violations de droit.

    Le peuple souverain du Mali s’est doté d’une loi fondamentale qui stipule dans son préambule qu’il  “….affirme sa volonté de préserver et de renforcer les acquis démocratiques de la révolution du 26 mars 1991…”

    Dans son article 26 cette loi fondamentale dit que “la souveraineté nationale appartient au peuple tout entier qui l’exerce par ses représentants et par voie de référendum. 
    Aucune fraction du peuple ni aucun individu ne peut s’en attribuer l’exercice”.

    Par ailleurs l’article 25 cite les institutions de la république du Mali qui sont au nombre de 8: 

    -le président de la république, 

    -le gouvernement, 

    -l’assemblée nationale, 

    -la cour suprême,

    -la cour constitutionnelle,

    -la haute cour de justice, 

    -le haut conseil des collectivités territoriales et

    -le conseil économique et social.

    Dans son article 62, “les députés bénéficient de l’immunité parlementaire”. 

    Pour l’article 121, “les fondements de tout pouvoir en république du Mali réside dans la constitution…..
     …..Tout coup d’état ou putsch est un crime imprescriptible contre le peuple malien”. 

    Mes chers amis, si réellement nous sommes régis par la constitution du 25 février 1992, tous les membres du CNRDRE doivent passer devant la justice malienne pour “crime imprescriptible contre le peuple malien” si jamais le président Dioncounda ne promulgue pas la loi  (article 40 de la constitution) qui les amnistie pour le coup d’état du 22 mars 2012.

     Leur première violation de la constitution malienne.

    Et en matière pénale, la complicité de crime est passible de poursuites judiciaires tout comme l’auteur principal du crime.

    En arrêtant arbitrairement des honorables députés, représentants du peuple souverain à l’assemblée nationale du Mali, qui sont pourtant protégés par l’immunité parlementaire (article 62 de la constitution), le CNRDRE et ses membres ont encore violé notre loi fondamentale.

    Ils ont continué à piétiner notre constitution (en violation des articles 9 et 10) en arrêtant arbitrairement des citoyens maliens, sans ouverture d’une information judiciaire à leur encontre, et au mépris des droits de la défense.

    Ils ont pris du plaisir, à bafouer la liberté de la presse, par des intimidations et des arrestations arbitraires de journalistes et d’hommes de presse, dont la seule raison réside dans la restriction de ladite liberté de la presse, au mépris de l’article 7 de notre constitution.

    N’étant pas une institution de la république (article 25 de la constitution), le CNRDRE ni aucun de ses membres, ne peut, du point de vue du droit malien, exercer aucun pouvoir en république du Mali, car selon l’article 121 de notre constitution, “les fondements du pouvoir résident dans la constitution”.

    Et l’article 30 fait état d’élection au “suffrage universel direct” pour devenir président de la république du Mali.

    Du moment où le CNRDRE n’est mentionné nulle part dans cette constitution, il n’a aucun droit pour exercer aucun pouvoir en république du Mali, puis qu’il n’est élu nulle part en république du Mali.

    Par ailleurs, le CNRDRE ni aucun de ses membres, n’étant ni représentant élu du peuple souverain du Mali, ni une instance nommée par un quelconque pouvoir constitutionnel (exécutif, législatif et judiciaire), ils ne peuvent, du point de vue du droit malien, organiser aucune convention (soit-elle nationale, régionale ou katoise) ou tout autre attroupement (à caractère politique, civil ou militaire) qui sera de nature à décider de l’avenir politique de la république souveraine du Mali.

    Le CNRDRE ou un de ses membres ne saurait s’attribuer l’exercice de la souveraineté du peuple malien comme le précise l’article 26 de notre constitution.

    A moins que l’intrus ne veuille récidiver, perpétuellement, dans la violation de notre loi fondamentale, je ne vois pas mes chers amis, comment et pourquoi le président Dioncounda (dont la désignation est clairement définie dans l’article 36 de la constitution, qui précise un délai de 40 jours pour les élections, mais ne délimite pas l’intérim en cas de non élection dans ce délai) doit troquer sa présidence de la république du Mali, pendant notre transition politique, contre une convention anticonstitutionnelle d’une entité illégale qu’est le CNRDRE et qui croule sous le poids d'”un crime imprescriptible contre le peuple malien”.

    Mes chers amis, l’avantage du droit, c’est qu’il est clair, limpide et net, en fait, pour ceux qui se soucient du droit.

    Et pourtant cela devrait être le cas pour tous les citoyens car nul n’est sensé ignorer la loi.

    • Kassin , les courageux du “repli tactique” ,maintenant à l’affût derrière des ordinateurs ,vont forcément estimer que toi , tu réfléchis trop ! ! ! ! ! 😆 😆 😆 😆 😆 C’est donc trés bien de mon sens , que tu aies conclu par “””””” l’avantage du droit, c’est qu’il est clair, limpide et net, en fait, pour ceux qui se soucient du droit.”””””” 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆

      • 😆 😆 😆 Le “DROIT”,Mr Kidal infos voulait des elections a tout prix au mepris de ce meme droit,quand nos militaires se faisaient egorger,….Vive l’hypocrisie !!! 😳 😳 😳

Comments are closed.