L’historien et l’homme politique ivoirien Laurent Gbagbo et non moins ancien président de Côte d’Ivoire, est un écrivain très prolixe. Né le 31 mai 1945 à Mama (village de la Sous-Préfecture de Ouragahio, département de Gagnoa) obtient son baccalauréat de philosophie au Lycée Classique en 1965, puis une licence d’histoire à l’Université d’Abidjan en 1969. Il devient en 1970 professeur d’histoire au Lycée Classique d’Abidjan Cocody.
Chercheur à l’Institut d’Histoire d’Art et l’Archéologie Africaine (IHAAA) à partir de 1974, Gbagbo est également titulaire d’une maîtrise d’histoire de la Sorbonne. Il soutient en 1979 une thèse de Doctorat en Histoire intitulée : « LES RESSORTS SOCIO-ECONOMIQUES DE LA POLITIQUE IVOIRIENNE ». Laurent Gbagbo, c’est aussi le syndicaliste et l’homme politique. Il a connu les affres de l’opposition et l’exil. En 1982, il a crée le Front Populaire Ivoirien dans la clandestinité. Au delà de son statut d’historien et d’homme politique, Laurent Gbagbo a beaucoup écrit pour la postérité. Parmi ses publications, on peut noter : Soundjata, lion du Manding (1971), Réflexions sur la Conférence de Brazzaville (1982), Côte d’Ivoire : Economie et Société à la veille de l’indépendance (1940-1960), Côte d’Ivoire : Pour une alternative démocratique (1983), Propositions pour gouverner la Côte d’Ivoire (1987), Côte d’Ivoire, histoire d’un retour (1989), Agir pour les libertés (1991), Le temps de l’espoir (1995), Sur les traces des Bétés (2002).
Cependant, la ligne éditoriale de « Bonne Lecture » nous recommande de faire une étude minutieuse sur ces écrits pour mieux éclairer nos lecteurs. Pour ce faire, nous allons solliciter le concours des grands lecteurs pour mieux éplucher les œuvres de Laurent Gbagbo. En attendant, nous les laissons sur leur soif de connaître. A très bientôt.
Mamadou Macalou
Certains intellectuels sont des démagogues qui écrivent autrement qu’ils ne pensent et n’agissent. C’est le cas de Laurent Gbagbo, un idiot comme Cheikh Maudit Diarra du Mali.
Un idiot aurait mieux dirigé que ces 2 malheureux et leur cupidité du pouvoir est historique.
Marx appelle leur cas une conscience malheureuse, c’est à dire une connaissance dont ils n’ont pas conscience. Leur âme ne peut que s’en trouver ruinée comme le dit Rabelai “ Science sans conscience n’est que ruine de l’âme ”.
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