Le Président de la Transition, Son Excellence le Général d’Armée Assimi GOÏTA, Président en exercice de la Confédération des États du sahel a reçu en audience le mercredi 6 novembre 2024 les Chefs d’État-Major Général des pays membres de l’Alliance des États du Sahel (AES).
Cette rencontre s’inscrit dans le cadre de la coopération militaire renforcée entre les trois pays, le Burkina, le Mali et le Niger dans la lutte contre le terrorisme et la stabilité.
Cette entrevue au palais de Koulouba intervient après la validation par les chefs d’État-major Général des armées des trois pays d’un plan d’action concernant le pilier défense et sécurité élaboré par un comité des experts en charge des questions de sécurité.
A l’issue de l’audience, le Chef d’État-major général des armées du Niger, le Général de brigade Moussa Saloua BARMOU, a fait savoir qu’ils sont venus partager avec le Président GOÏTA le plan d’action relatif au pilier défense et sécurité en vue de prendre des orientations pour sa mise en œuvre correcte sur le terrain.
L’Officier supérieur Nigérien précise également que l’audience a été une occasion pour lui, et ses homologues, de parler des stratégies communes de sécurité, les opérations conjointes en cours, ainsi que les enjeux et défis auxquels font face les trois pays respectifs en matière de sécurité.
Source : Présidence
MAUDIT LÉPREUX KINGUI TAI TOI SALE BÂTARD DE LA TRÈS MAUDITE RUSSIE DEMANDE A TON PREMIER MINISTRE DE NE PLUS ÉCOUTER NI LIRE LES MÉDIAS FRANÇAIS EN CACHETTE
MOUAHAHAHAHA MÊME PAS HONTE VRAIMENT. SACRÉE CULOT QUAND MÊME
Adieu Serval, adieu Barkhane, adieu Takuba, adieu G5-Sahel, adieu MINUSMA! Que vive la Confederation de l’AES pour la souverainite, la liberté, la prospérité et l’independance des grands peuples du Sahel! BRAVO AUX GRANDS LEADERS ASSIMI, IBRAHIM ET TIANI
Les « grands leaders » ont l’air un brin empotés. Sans doute ont-ils conscience de n’être représentatifs que des forces très chétives, qui ont la plus grande peine à faire face aux coups violents assénés par des groupes dissidents. Tant au Mali qu’au Burkina Faso, les armées nationales ont été très inférieures à la tâche, incapables d’empêcher le massacre de centaines d’innocents.