Le général Oligui prête serment au Gabon en tant que “président de la transition”

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Le général Brice Oligui Nguema, qui a renversé Ali Bongo il y a cinq jours au Gabon, a prêté serment le 4 septembre comme président d’une “transition” dont il n’a pas fixé la durée, promettant d’installer des “institutions plus démocratiques” avant des “élections libres”.
Des militaires avaient annoncé le 30 août la “fin du régime” d’Ali Bongo Ondimba, qui dirigeait le Gabon depuis 14 ans, moins d’une heure après la proclamation de sa réélection lors de l’élection du 26 août, estimant qu’elle avait été truquée.
Le lendemain, ils avaient proclamé le général Oligui, 48 ans, président d’un Comité pour la Transition et la Restauration des Institutions (CTRI).
“Je jure devant Dieu et le peuple gabonais de préserver en toute fidélité le régime républicain”, “de préserver les acquis de la démocratie”, a déclaré devant des juges de la Cour constitutionnelle le général de brigade en costume d’apparat rouge de la Garde républicaine (GR), l’unité d’élite de l’armée qu’il commandait.
“Je jure devant Dieu et le peuple gabonais de préserver en toute fidélité le régime républicain”, “de préserver les acquis de la démocratie”, a déclaré le chef des militaires au pouvoir.
Le général Oligui a également promis des “élections libres” et “transparentes” à l’issue de la période de transition et s’est engagé à amnistier les “prisonniers d’opinion”.

Coup d’État au Gabon

Le 30 août, un groupe de militaires de haut rang a annoncé à la télévision nationale qu’il avait pris le pouvoir.
Les militaires, qui ont par la suite choisi Brice Clotaire Oligui Nguema comme chef, ont annulé les résultats des élections du 26 août, remportées par le Président sortant Ali Ben Bongo Ondimba, qui se retrouve “assigné à résidence, entouré de sa famille et de ses médecins”.

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10 COMMENTAIRES

  1. LES FEMMES AFRICAINES DOIVENT REFUSER TOUTES LES PLANIFICATIONS DE NAISSANCES IMPOSÉES PAR LES ENEMIS DE L HOMME NOIR ET SES DIASPORAS

  2. Toutes les juntes disparaîtront par A ou par B. Forcément il arrivera un moment ou une junte quitte le pouvoir par les armes ou par une volonté populaire. Les pouvoirs militaires sont révolus et ils ne peuvent plus perdurer longtemps à cause de la mondialisation et des sanctions des organisations internationales. Un coup d’Etat a toujours des conséquences négatives sur la population principalement un recommencement à zéro qui accentue la pauvreté, le sous développement, l’insécurité, le chômage et la frustration populaire. Seule la stabilité politique basée sur un pouvoir que détient les civils démocratiquement peut inciter les investisseurs à venir s’installer dans un pays avec des sociétés privées qui fonctionnent parfaitement, une cohésion sociale, une administration qui travaille etc. Sans cela le pays stagne à l’image du Mali, de la Guinée, du Burkina, du Soudan etc.

    • NOUS AVANÇONS PARTOUT ET SURTOUT DANS NOS TÊTES C EST ÇA L ESSENTIEL, EN MÊME TEMPS VOUS VOUS REGRESSEZ.

  3. Kinguiranke,Ali était à Saint-Petetsbourg.La france n’était pas content.
    Ali a essayé de s’éloigner de la france au profit de la Chine,Russie.
    La france a réagit.Une révolution de palais.Pas du peuple.
    Je crois que le cas Gabonais différent du Niger est plutôt inquiétant.
    Gabon le coeur de la france Afrique.

    • Moi je pense que le peuple Gabonais comprend tres bien le jeu esclavagiste de la FrancAfrique et il ne va pas accepter que ce jeu continue, meme si Ali Bongo avait essaye de chasser la France c’était pas tres clair, fort et efficace pour rompre les liens vicieux avec la maudite France, et je pense qu’en conclusion le vent du panAfricanisme souffle partout en Afrique (a travers les reseaux sociaux, les televisions et radios panAfricanistes, les discours des grands presidents comme Kagame, Assimi, Ruto, Hakainde, Tebboune, Ramaphosa, Ibrahim, Tchiani, Doumbouya, etc. et de la société civile PanAfricaniste) et autres leaders politiques comme Ousmane Sonko, Osso, Gbagbo, etc..alors le Gabon ne sera pas épargné du tout.

      • Encore une fois je suis d accord avec toi frère Kinguy, le peuple fera partir le Général Briss Brice Gombo Bongo Cousin de Ali, il partira avec la même France en soute ou lui en soute de la France. VIVE LE BRAVE PEUPLE NOIR D AFRIQUE ET SA DIASPORA, VIVE L AFRIQUE PEUPLÉE ET FORTE.
        G’Faaro

      • Mon cher Seydou,

        Ali Bongo ne roulait que pour lui et sa famille. Voilà ce qui l’attend:

        “Biens mal acquis : la fortune du clan Bongo en France bientôt restituée ?
        La justice française enquête depuis 2008 sur les biens mal acquis de la famille d’Ali Bongo qui a accumulé une fortune en France. Le président gabonais déchu risque de perdre son immunité. Un procès suivi d’une restitution au peuple gabonais pourrait avoir lieu en 2024 ou en 2025.”

        Mais cela te fait du mal que les choses changent. Alors continue à sortir des salades. Parlons de tes grands présidents : Kagame le tortionnaire milliardaire qui pille la RDC, Assimi le petit toutou de Poutine avec Traore son pote du BF avec qui il recherche des groupes électrogènes, Tebboune le vieillard du FLN que le peuple algérien “vénère, Ramaphosa chez qui on trouve des dollars planqués dans les canapés .

        C’est bien que le panafricanisme souffle sur les réseaux sociaux mais c’est mieux qu’il y ait une ampoule électrique dans chaque classe d’école et de quoi manger à la maison. mais cela tu t’en fous.

  4. Nous espérons que le général Brice Oligui Nguema, va se joindre tres vite a Assimi, Ibrahim, Doumbouya et Tchiani pour lutter pour l’emancipation Africaine, sa liberation, sa solidarité et sa prospérité.

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