Le continent africain représente un potentiel commercial énorme au niveau des petites et moyennes entreprises russes, mais reste pour le moment largement sous-estimé, avance auprès de Sputnik un entrepreneur russe, présent au Congrès africain international. Celui-ci plaide pour les règlements directs entre les banques russes et africaines.
Les relations russo-africaines ont “un grand potentiel”, soutient, auprès de Sputnik, Alexandre Bespalov, professionnel russe de la finance, qui prend part au Congrès africain international. L’événement consacré à la coopération des pays africains avec la Russie, se tient à Moscou ces 5 et 6 avril et se voit comme un propédeute du 2e sommet Russie-Afrique programmé pour juillet.
“Il y a des domaines prioritaires définis au niveau de l’État, ce sont l’énergie, l’agriculture, la logistique” et les finances, a indiqué M.Bespalov.
Mais que peuvent apporter les entreprises russes à l’Afrique? Pour Alexandre Bespalov qui a déjà une certaine expérience d’affaires au Zimbabwe, au Mozambique et à Sierra-Leone, leurs demandes sont nombreuses.
“Maintenant, de gros capitaux, auparavant investis dans les pays occidentaux, retournent en partie en Russie et recherchent de nouveaux champs d’application. Et le continent africain est un territoire très intéressant, largement sous-estimé par les entreprises russes, et il y a d’énormes perspectives de croissance, de mise en œuvre de projets d’investissement, y compris au niveau des petites et moyennes entreprises”, avance-t-il.
Des défis à relever
Après l’exclusion des banques russes du système SWIFT, les exportations, les importations et les investissements posent problème pour le monde des affaires russe, rappelle-t-il. Dans ce contexte, les règlements directs entre les banques russes et africaines seraient une solution. L’avantage de cette solution, abordé déjà lors du congrès, est qu’elle est réalisable “immédiatement”.
Utiliser des plates-formes technologiques russes qui peuvent remplacer SWIFT serait également une solution, mais, pour le moment, les banques étrangères ne se sont si pressées à s’y connecter. D’ailleurs, plusieurs pays acceptent déjà les cartes de paiement russes Mir .
Une autre issue, également discutée lors du congrès, est de créer une banque de règlement et d’investissement destinée à financer des projets en Afrique. Elle pourrait devenir un outil d’interaction entre les pays.
Désormais, tous les instruments utilisant les monnaies nationales et qui ne sont pas liés au dollar et à l’euro, sont pris en considération, résume l’entrepreneur.
Source: https://fr.sputniknews.africa/
LIKE WISE RUSSIANS ,AFRICANS AND BRASILIANS ARE NOT MONEY GREEDY PEOPLE AND ENJOY A LIFE TREND THAT CARES ABOUT OTHERS AND NATURE, THE CHINESES ARE DIFFERENT, ALL TOGETHER WE WILL CREATE SOMETHING DIFFERENT HUMAN CENTRED BUT VERY PERFORMENT AND STRONG, SURE.
It appear members of BRICS ( Brazil, Russia India China South Africa) are in steps plus stages moving toward a BRICS+ economic system. Instead of going through foreign investment houses they seek to directly invest in Africa in currency of two nations involved in investment. This should allow for lower interest rate to be charged us still lender will make more money as oppose to lending through foreign investment houses.
Could be somewhat win win investment managing.
Personally I believe Russia will help Negroid Africans realign their thinking about essentials of life plus draft live well agenda that is living well but is far more affordable as oppose to full of frivolous conditions passed off as essential found in Western Democracy list of essentials of living well. That is important condition that vary in position on list of what should have priority.
Henry Author Price Jr aka Kankan
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