Les autorités de transition au Burkina Faso ont décrété le 13 avril la “mobilisation générale” afin de “donner à l’État tous les moyens nécessaires” pour faire face aux attaques djihadistes qui endeuillent régulièrement le pays.
Pour contrer la menace terroriste au Burkina Faso, le gouvernement a adopté un décret portant mobilisation générale et mise en garde. Il s’agit surtout à travers ce décret de donner un cadre juridique, légal à l’ensemble des actions à mettre en œuvre pour faire face à la situation que vit le Burkina Faso, indique un communiqué de la présidence, publié à l’issue du conseil des ministres.
“Face à la situation sécuritaire à laquelle fait face le Burkina Faso, le salut de la Nation repose sur un sursaut national de l’ensemble des filles et des fils en vue de trouver une solution”, a affirmé le ministre de la Défense et des Anciens combattants, le colonel-major Kassoum Coulibaly.
Les autorités qui ont également décrété la “mise en garde” auront notamment “le droit de requérir les personnes, les biens et les services, le droit de soumettre à contrôle et à répartition les ressources au ravitaillement” et “le droit d’appel à l’emploi de défense, à titre individuel ou collectif”, précise le compte-rendu du conseil des ministres, jeudi soir.
Selon la loi portant sur l’organisation de la défense nationale, “en cas de danger menaçant la sécurité et l’intégrité territoriale, la sécurité des institutions et celle des populations, le chef de l’État peut, outre l’état d’exception, décréter pour tout ou partie du territoire national: la mise en garde, l’état d’urgence, la mobilisation générale”.
Mardi 11 avril, le ministère de la Défense a lancé une opération baptisée “greniers vides” appelant tous les militaires du pays, actifs ou retraités, à donner leurs uniformes pour les soldats actuellement sur le terrain.
Le Burkina Faso est pris depuis 2015 dans une spirale de violences djihadistes apparues au Mali et au Niger quelques années auparavant et qui s’est étendue au-delà de leurs frontières.
La semaine dernière, 44 civils ont été tués lors de l’attaque de deux villages du nord-est du pays près de la frontière nigérienne.
En février, le capitaine Traoré a fait part de sa “détermination intacte” à combattre les djihadistes, malgré la multiplication des attaques. La semaine dernière, un nouveau chef des armées, le colonel-major Célestin Simporé, a été nommé et a affirmé vouloir accentuer l’offensive pour forcer les djihadistes à “déposer les armes”.
Source: https://fr.sputniknews.africa/
l’homme burkinabe est différent de l’homme malien.
le malien de assimi/choguel est guelard, faiblard, menteur, corrompu, et meme temps un voleur. Donc un mobilisation au mali sera peine perdue.
“…“Face à la situation sécuritaire à laquelle fait face le Burkina Faso, le salut de la Nation repose sur un sursaut national de l’ensemble des filles et des fils en vue de trouver une solution”…”
ON DEVRAIT EN FAIRE DE MEME AU MALI TOUT EN INTERDISANT TOUS CES SOIT-DISANT VIDEO-MAN OU AUTRE ACTIVISTE COMME RASBATH.
EN FAIT DEPUIS 2012, APRES L’INVASION DU NORD NORD PAR DES “BATRACIENS” SOIT-DISANT REBELLE, LA “RAISON D’ETAT’ AURAIT DU PRIME POUR TOUT, CAR FACE A L’EXISTANCE OU AU DANGER DE DISPARITION DISPARUTION DU PAYS, LA LIBERTE “INDIVIDUEL” EST UN LUXE DONT IL FAUT SE PASSER. ON CHERCHE D’ABORD LA LIBERTE COLLECTIVE POUR REPRENDRE LE PAYS, POUR ENSUITE SE SOUCIER DE LIBERTE INDIVIDUELLE
Tres bon point tout a fait d’accord avec toi nous devrons faire de meme au Mali pour defendre notre Nation, notre Maliba!
tu as oublier de mentionner les autres videomen tels que sekou tounkara.
Excellente decision, les ecerveles de jihadistes/terroristes les ennemis d’Allah seront traques, braques et tues sans pitie partout au Mali, au Burkina et au Niger.
Toujours aussi fada
Les pays sahéliens n’arrivent déjà pas à mobiliser le peu de force qu’il y a dans leurs armées, que va changer une mobilisation ?
Tu es un sans cervelle
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