L’Afrique vient de prendre une position forte concernant 157000 milliards offerts par l’Occident dans le cadre de la COP 29.
En effet, lors de la COP29, l’Afrique vient de marquer son opposition ferme à la proposition occidentale de financement climatique, estimée à 157000 milliards de francs CFA annuels (250 milliards de dollars).
Il convient de noter que cette décision montre que l’Afrique affirme désormais ses exigences avec une détermination inédite.
La proposition, bien que représentant plus du double des engagements précédents fixés à 100 milliards de dollars annuels, se heurte à une réalité implacable : l’insuffisance criante face aux besoins réels du continent.
Ali Mohamed, porte-parole des négociateurs africains, n’a pas mâché ses mots en qualifiant cette offre d’ »inacceptable et inadaptée » pour la mise en œuvre effective de l’Accord de Paris.
L’Alliance des États insulaires (AOSIS) fait chorus avec l’Afrique, dénonçant ce qu’elle considère comme un mépris manifeste envers les populations les plus vulnérables.
Cette convergence des positions renforce la légitimité des revendications africaines, qui oscillent entre 600 et 1300 milliards de dollars annuels, soit près de quatre à huit fois la proposition actuelle.
La position africaine s’appuie sur une analyse rigoureuse des besoins en matière d’adaptation et d’atténuation climatiques.
Le continent, qui supporte de manière disproportionnée les conséquences du dérèglement climatique tout en étant le plus faible émetteur de gaz à effet de serre, exige une répartition plus équitable des efforts financiers.
Cette situation provoque une prolongation inattendue de la COP29. Les négociateurs africains insistent particulièrement sur la nécessité d’un financement public direct substantiel, accompagné de mécanismes concrets pour réduire le coût du capital et faciliter l’accès aux instruments financiers non basés sur la dette.
Source: https://yop.l-frii.com/
Les occidentaux racistes esclavagistes colonialistes et imperialistes se sont enrichis du commerce triangulaire, du genocide des Indiens, de la colonisation et du neocolonialisme et n’ ont rien paye et maintenant ils s’ enrichissent en polluant le monde entier et encore ils ne veulent pas payer, quelle arrogance et quel manque de respect pour la vie humaine de la part des donneurs de leçon????
Ce refus, assez stupide, cadre bien avec la méfiance que l’Afrique semble éprouver envers l’Occident, tenu responsable de tous les maux d’un continent qui sombre. C’est vrai de la zone subsaharienne, qui a rompu les amarres, à l’encontre de l’évidence. L’AES, repliée sur elle-même, qui doit gérer le quotidien d’une population minée par les conflits ethniques et les aléas climatiques, devra donc affronter seule des défis d’une ampleur inédite. Une folie aux conséquences alarmantes dont, une fois de plus, seuls les plus démunis feront les frais. Quel gâchis !