La CIA avait une « taupe » dans l’entourage de Vladimir Poutine

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Cette thèse a été défendue coup sur coup par la chaîne d’information CNN et par le « New York Times », lundi.

Les accusations d’interférences russes lors de la présidentielle de 2016 avancées par le renseignement américain reposaient sur une source sûre : un espion haut placé dans la verticale du pouvoir de Vladimir Poutine. Cette thèse a été défendue coup sur coup par la chaîne d’information CNN et par le New York Times, lundi 9 septembre.

Le récit qu’ils en font met en évidence un recrutement remontant des décennies en arrière. Un pari réussi, compte tenu de la trajectoire du Russe concerné, qui a fini, selon ces deux médias, par accéder au second ou au troisième cercle des conseillers du président Poutine. Un poste suffisamment important pour pouvoir collecter des informations de première main sur la décision de Moscou d’intervenir discrètement dans la campagne présidentielle aux Etats-Unis, au bénéfice de Donald Trump.

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