L’horrible périple en Mauritanie pour une famille mitraillée

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Toute une famille française et tombée sur des voleurs qui n’ont pas hésité à tirer sur leur victimes, tuant trois membres de la famille, et blessent grièvement le père de celle-ci qui a pu témoigner. Selon la police mauritanienne, trois personnes sont interrogés dans le cadre de ce crime crapuleux.

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C’est entre Aleg et Maghta Lahjar, sur une route du désert mauritanien que la famille française a croisée le chemin de plusieurs criminels qui pour les dérober n’ont pas hésiter à tuer à l’arme automatique.
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rn Selon la police, trois Mauritaniens ont été interpellés à Aleg dans l’est du pays où a lieu hier le meurtre des quatre ressortissants français.rn

 Assez loin, puisque à environ 250 kilomètres au sud-est de Nouakchott, la capitale Mauritanienne dans une région plutôt calme et sécurisée, le pire est arrivée à toute cette famille que l’ambassade a confirmée être française.

rnLes français, au nombre de cinq allaient vers le Mali, lorsqu’ils s’étaient arrêtés sur le bord de la route afin de pique-niquer. Là selon le témoin hospitalisé, le père de famille trois hommes, un de peau claire, les deux autres de peau sombre sont sortis d’un pick up, armée et avec des turbans. Fusils d’assaut Kalachnikov AK-47, à la main, ils auraient tiré sur les Français sur le bord de la route, après avoir cherché à les voler. Ils ont saisit les sacs sans même les ouvrir, embarquant le tout ils prirent la fuite, laissant quatre mort et un blessé grave derrière -eux.rn

« J’ai été prévenu vers midi, raconte Ahmedou Ould Manah, le commandant de la compagnie de gendarmerie de la région du Brakna, cité par Le Figaro. On m’avait parlé d’un accident de la circulation, mais lorsque je suis arrivé sur place, j’ai retrouvé les douilles correspondant à l’AK-47. »

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Les Mauritaniens qui sont aux mains de la police sont deux hommes et une femme.

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« À l’heure actuelle, la piste privilégiée par les autorités mauritaniennes est celle du crime crapuleux », explique le porte-parole de la présidence. Ce dernier rappelle d’ailleurs qu’une opération similaire s’était déroulée il y a quelques mois à Nouakchott, lorsque la recette journalière du Port autonome avait été braquée par des hommes armés. L’attaque n’avait pas fait de victime, mais 59 millions d’ouguiyas (170 000 Euros) avaient alors été volés. « Jusque-là, on constatait l’existence d’une petite criminalité localisée, mais il est vrai qu’avec cette attaque meurtrière d’Aleg la situation devient inquiétante », précise le porte-parole de la présidence mauritanienne, d’autant plus que cette fois-ci le problème c’est que l’acte crapuleux a été commis sur une route habituellement calme.

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www.radinrue.com le 25 décembre 2007 par : e.L
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