L’opération de Koursk est à l’image de cette guerre qui n’aurait jamais dû advenir, une zone frontière qui est restée depuis toujours aussi peu significative que celle qui aujourd’hui sépare la Drome de l’Ardèche, des familles confondues. Qui est responsable de cette ultime aventure sanglante dans laquelle on tue des hommes, on détruit des foyers pour faire un coup publicitaire, de malheureux Ukrainiens, chauffés à blanc dans la haine absurde du Russe depuis le début des années 2000 encadrés par la logistique de l’OTAN, avec un matériel sophistiqué qu’ils ont abandonné dans leur fuite éperdue. Cette histoire de Koursk est à l’image de la guerre fratricide installée au cœur de l’Europe par les dirigeants républicains sordides, avides, stupides qui se la jouent porteurs des valeurs démocratiques contre la tyrannie, et vendent ce leurre pour dépouiller les peuples, tous les peuples à commencer par le leur. La France donnant d’elle une image grotesque, aussi dramatiquement puérile et effrayante que celle du pitre cocainomane monté comme un produit publicitaire, une marque pour un tel crime. Un monde politico-médiatique qui sans la moindre faille monte cette opération mediatico-publicitaire alors que la guerre est perdue, que l’on sait qu’il faut négocier et pas aux conditions relativement avantageuses de Minsk 1 et 2, non il faut capituler. Et on continue néanmoins de feindre cela au nom du peuple ukrainien, de la défense de l’Europe devant un ennemi que l’on s’est créé de toutes pièces, tout cela pour imposer une régression sociale sans précédent, pour gagner quelques points dans des sondages trafiqués, pour se créer un personnage de chef de guerre alors qu’on est l’objet de l’écœurement général. Qui est responsable d’un aussi abominable fiasco et continue à tenter de nous vendre sa salade ?
L’armée ukrainienne n’est quasiment plus présente en Russie mais elle a laissé son matériel. La région de Koursk vient de redevenir russe, une victoire stratégique pour Vladimir Poutine à l’approche d’éventuelles négociations visant à mettre fin à la guerre en Ukraine. Les Russes qui ne laissent jamais rien au hasard dans leur actes diplomatiques sont en train de préparer la célébration de la grande victoire du 9 mai, celle sur l’Allemagne nazie, celle où le drapeau tricolore de l’actuel Russie laisse la place aux étendards glorieux de l’URSS. Le président Poutine pour la première fois est apparu habillé en tenue militaire parce qu’il ne pouvait le faire que s’il avait rempli sa mission : protéger son pays de l’invasion que l’Europe de l’Ouest, flanquée de leur rejeton sanglant les USA, avait une fois de plus par trahison de la parole donnée menée depuis 1991 grâce à la trahison de Gorbatchev et des élites du PCUS passé à l’ennemi. Voilà ce dont sont convaincus les Russes et si vous prenez la peine de vous intéresser aux FAITS, leur histoire a plus d’arguments que celle que l’on nous conte pour nous inciter à une telle guerre.
La région de Koursk est désormais aux mains des Russes, la patrie a repoussé l’envahisseur, pas les Ukrainiens, mais l’OTAN, les USA, la logistique hautement sophistiquée qui a prétendu inventer un assaut victorieux, une monnaie d’échange… pour que les médias prennent le relais.
L’armée russe vient de reprendre le contrôle de la région de Koursk après sept mois de combats acharnés contre les forces ukrainiennes, ces dernières ayant finalement été contraintes de battre en retraite. Cette reconquête marque un tournant stratégique dans la guerre en Ukraine, alors que Moscou met un terme à l’une des offensives les plus aventurières menées par Kiev sur son territoire depuis le début du conflit.
Lancée en août 2024, l’opération ukrainienne dans la région de Koursk avait surpris le Kremlin par sa rapidité et son efficacité initiale, c’était en fait une opération commando dans laquelle les USA fournissaient la logistique en particulier la maitrise de la vision de la zone à envahir à des forces d’élite celle que l’on depuis des années nourris à la haine par un nationalisme hérité de la Seconde Guerre mondiale, des troupes de Bandera, l’OTAN, les USA savaient très bien à la tête de qui ils entraient dans le territoire russe s’attaquant à une population désarmée pour qui les Ukrainiens étaient des voisins. Cela allait avec l’incursion systématique d’opérations terroristes y compris celle menée par un ancien député communiste, écologiste, Ponomarev, qui a trouvé des relais jusque dans les locaux de l’Humanité pour mener à bien les repérages, j’ai désigné nommément Vadim Kamenka qui a été enrôlé dans ces opérations terroristes et au nom du journal de Jaurès est allé, nous en avons la preuve jusqu’à Samara. La presse française est devenue l’instrument de ces opérations qui dans le Donbass, à Odessa avait déjà abouti à l’assassinat de communistes et le secteur international du PCF a couvert cela, a joué le jeu sordide de l’atlantisme. Sans parler du rôle encore plus immonde de trafiquants d’armes qui s’étaient déjà illustrés en Géorgie sur le même mode aux côtés d’un tortionnaire cocaïnomane chassé par son peuple qui est venu jouer le gouverneur d’Odessa, avec d’autres pillards de son espèce. Tout le monde sait qui est Zelensky, qui sont ces gens-là et ils savaient le caractère fou, désespéré de la manœuvre de Koursk.
Pendant plusieurs mois, les forces ukrainiennes ont réussi grâce à la logistique des USA à maintenir leurs positions sur environ 1200 kilomètres carrés du territoire russe, notamment dans la ville de Soudja, devenue un point névralgique du conflit. Cependant, à partir de la mi-février 2025, la supériorité numérique et matérielle de l’armée russe a fini par s’imposer, rendant intenable la position ukrainienne.
L’armée russe a méthodiquement isolé la zone de combat en détruisant les axes de communication, rendant impossibles tout ravitaillement et l’envoi de renforts significatifs aux troupes ukrainiennes. Face à cette situation, Kiev a dû ordonner un repli stratégique, abandonnant du matériel lourd aux forces russes, dont des blindés Bradley et des chars Abrams fournis par les Américains.
Koursk comme la «guerre» en Ukraine a été une opération publicitaire, avec le mensonge systématique grâce à des médias aux ordres
Moscou a misé sur une stratégie implacable pour reprendre Koursk, mobilisant jusqu’à 70 000 soldats, selon l’Ukraine, mais n’oublions l’opération péril jaune que l’on a prétendu nous vendre pas seulement à nous Français mais surtout à la nouvelle administration Trump dont on subodorait la stratégie, laisser tomber cette guerre irresponsable pour aller affronter les Chinois en tentant au passage de se rallier les Russes.
Souvenez-vous de cette volonté d’internationaliser le conflit avec l’invention de 12 000 mercenaires nord-coréens, selon l’Ukraine qui n’arrivaient jamais qu’à faire prisonnier un russe au physique asiatique venu de la Sibérie. Pour cette publicité mensongère visant à internationaliser le conflit, Zelensky a bénéficié de ses complices habituels, la France, la Grande-Bretagne, la Pologne et leur système de propagande à qui il ne manque plus désormais le bouton de guêtre de l’Humanité et de la presse jadis communiste. Sans parler du «boulet» du secteur international du PCF. Eux aussi ont vu les petits hommes aux yeux bridés, et celui qui a apporté sa caution était le président sud-coréen qui peu à peu tentait une opération loi martiale dans son propre pays en affirmant qu’il y avait une invasion nord-coréenne dans son opposition au Parlement. À l’inverse du peuple français totalement inféodé à cette propagande les sud-coréens l’on fichu en taule alors que nous nous gardons Macron et nous laissons son gouvernement sénile nous affirmer que la dette exige que l’on meure au travail…
Il fallait écouter la presse française (si l’on peut dire de ce retour en force du pétainisme) retrouver les accents de la victoire derrière l’opération de Koursk que pas un seul militaire qui ne serait pas venu toucher son cacheton sur le plateau de LCI ne pouvait défendre, vu que c’étaient les conditions parfaites d’un chaudron, avec l’habituelle tactique russe du retrait piège.
Après avoir progressivement enfoncé les lignes ukrainiennes, les Russes ont appliqué une tactique classique consistant à encercler l’adversaire en exploitant sa faiblesse logistique. L’utilisation massive de bombes KAB, pouvant atteindre trois tonnes, et de drones filoguidés, insensibles aux brouilleurs ukrainiens, a joué un rôle décisif dans l’effondrement des positions ukrainiennes.
Les difficultés d’approvisionnement se sont accentuées à partir de février, lorsque la route R200, reliant la ville ukrainienne de Soumy à Soudja, est devenue impraticable sous les frappes russes. À ce moment-là, la 43e brigade ukrainienne n’avait d’autre choix que d’utiliser des véhicules légers, comme des pick-up, pour transporter ses obus d’artillerie, ce qui a considérablement ralenti le ravitaillement.
Avec la reprise totale de Koursk, Vladimir Poutine efface l’un des plus grands affronts subis par la Russie depuis le début de la guerre en Ukraine et qui a été rejoué sciemment sur le mode de la seconde guerre mondiale dans une zone historiquement marquée pour la mémoire russe. La présence ukrainienne dont chacun en Russie sait désormais qu’ils ont été enrôlés par l’OTAN pour prendre pied sur le sol russe, inédite depuis la Seconde Guerre mondiale, constituait une humiliation pour Moscou mais aussi un symbole, qui voit désormais sa souveraineté territoriale rétablie. Le choix de la reconquête lui-même n’a pas été fait au hasard dans le printemps qui mène à la célébration du 9 mai. Dans ces temps où la négociation est devenue incontournable, cette reconquête symbolique prive Kiev d’un levier stratégique dans d’éventuelles négociations futures. Désormais, l’Ukraine ne dispose plus de territoire russe à échanger contre les régions occupées par la Russie depuis 2014 et 2022 et celle-ci peut s’asseoir à la table des négociations en position de force et exiger de son véritable adversaire, celui sans lequel rien de tout cela ne serait arrivé, les USA, que soit récréées les conditions de la confiance qui ne seraient pas un nouveau Minsk 3. Éloigner Zelensky, Macron, Starmer de la table des négociations est une des conditions de cette confiance, c’est évident et on se demande quand le peuple français et surtout les communistes, ceux sincèrement épris de paix daigneront aboutir à un tel constat et feront le ménage qui s’impose dans leurs rangs en éliminant ceux qui vendus ou non les ont dupés depuis des décennies et dans toutes les guerres fiasco de l’empire, le massacre des communistes en créant la fiction des «rouges bruns» pour mieux faire monter effectivement l’extrême droite comme ultime refuge à la colère du peuple.
source : https://reseauinternational.net/
Kursk was NATO generals big failure that from onset fail to reach passage that would achieve ultimate goal. Russian perception despite Russian invincibility being violated was just perception that that led to result Russians set. Results likely will not ever be acknowledged as having occurred by NATO. For NATO it is crushing plus bitter defeat.
People of Books!
Henry Author Price Jr aka Kankan
Koursk! Les responsables d’un gâchis aussi criminel que contre-productif sont: Zelensky, Macron, Kier, Olaf, Joe Biden, Harris et Blinken