Figure de l’industrie du jeu sur le continent africain, Michel Tomi avait été mis en examen par les juges d’instruction en juin 2014 pour corruption d’agent public étranger, faux et usage de faux, abus de confiance, recel d’abus de bien social, complicité d’obtention indue d’un document administratif et travail dissimulé.
L’enquête s’intéresse à ses puissants relais et à ses liens avec des hommes au pouvoir dans plusieurs pays. Parmi eux, le président malien, Ibrahim Boubacar Keita, dont les enquêteurs pensent qu’il a reçu des cadeaux de l’homme d’affaires corse.
Michel Tomi est soupçonné d’avoir joué un rôle pour que des sociétés de proches obtiennent des marchés, notamment l’entreprise française Marck (uniformes militaires) avec le Mali et le Cameroun, la société de sécurité Gallice au Mali, et des entreprises chinoises au Mali, Tchad, Sénégal, Gabon et en République démocratique du Congo, a indiqué une source proche de l’enquête.
Les patrons des sociétés Marck, Philippe Belin, et Gallice Security, Frédéric Gallois, un ancien patron du GIGN, sont aussi mis en examen, tout comme deux femmes, proches de Michel Tomi, soupçonnées d’avoir obtenu la nationalité française de manière irrégulière.
L’homme d’affaires conteste les faits. Ses avocats avaient aussi formulé des recours devant la chambre de l’instruction de la cour d’appel de Paris pour faire annuler la procédure, mais les magistrats les ont tous rejetés, ont-ils expliqué lundi à l’AFP à la sortie du délibéré rendu à huis clos.
La défense de Michel Tomi contestait notamment la compétence territoriale des juges français, s’agissant de marchés conclus dans des pays africains. Ils soulevaient aussi l’immunité présidentielle du chef de l’Etat malien, celui-ci ne pouvant être considéré selon eux comme un agent public étranger. A ce titre, ils demandaient l’annulation de toutes les écoutes téléphoniques de Michel Tomi où apparaissent des conversations avec les présidents malien et gabonais.
“Nous allons nous pourvoir en cassation. Cette question doit être tranchée par la Cour de cassation”, a indiqué à l’AFP l’un des avocats de Michel Tomi, Me Philippe Dehapiot.
Michel Tomi, un ancien proche de Charles Pasqua, a déjà été condamné pour corruption active. Les juges l’avaient reconnu coupable dans l’affaire du casino d’Annemasse (Haute-Savoie), pour son rôle dans le financement de la campagne électorale des européennes en 1999 au profit du RPF, cinq ans après avoir obtenu l’autorisation d’exploitation de la salle de jeux de la part du ministre de l’Intérieur de l’époque, Charles Pasqua.
arb/nal/jf/phc
La vérité finira par être sue.En tout cas avec la race du Président que nous avons élu,les maliens iront de déception en déception.C est le propre du complexé du pseudo Bourgeois Négrier,du bouffon sans pareil. IL EST CAPABLE DE TOUT : exemples:
– Il reçut de Tomi la voiture Range Rover
– Il reçut encore des” lunettes de vedette”, bien noires, bien fumées….
-Il reçut des chaussures, des costumes, des fi..es venant de la mafia…et la DGSE en sait quelque chose….quand il prit l’argent à Paris…quand la mafia l’hospitalisait à Marseille ….HO La la c’est la honte.
Pauvre de nous et ce même boubeye Avec son vilaine nez est encore a ses cotés c’est pour l’avoir a l’oeil que IBK l’a rappellé il a peur de lui tout bamako est au courant de sa Garde a vue de paris pour ses histoires de commissions a la CON!! Un vrai charognard ce Monsieur une chose est sur il va payer un jour pour tout ses complots et mensonges IBK et son fiston Aussi ne vont pas l’emporter au paradis c’est des maudits nous ne meritons pas cela non !! Dieu est grand!!!
ibkalamité a la diarrhée ce matin!!!!!!!!!!!!!!
Les choses claires désormais. Les enquêteurs savaient déjà que I.B.K et son ancien Ministre de la défense, Boubèye Maïga, étaient de connivence avec des vendeurs d’uniformes et d’équipements militaires envoyés par Tomi. C’est bien en allant encaisser les commissions qu’il devait partager avec I.B.K, que Boubèye a été alpagué par les policiers Français à Paris. Il ne se savait pas sur écoute, lui qu’on prétend être un homme des renseignements. Les Maliens ne finiront pas d’être étonnés par les agissements de ces hommes, qui depuis bientôt trois ans, continuent de piller les caisses de l’état. Tout le budget destiné à l’équipement de notre armée est passé sur leurs comptes bancaires. Toutes les personnes citées dans l’article ont séjourné à Bamako, où elles ont rencontré I.B.K, Boubèye, Kagnassy et autres collaborateurs du Président, notamment son fils qui, tous ont bénéficié de parts de commissions sur les achats de soit disant matériels militaires pour l’armée. En guise d’équipement, ces sont des chaussettes à cinquante mille francs qui ont été livrées. Ces pourritures ont tué notre armée. Les Maliens comprennent à présent, les vraies raisons du déficit de moyens de leurs soldats, qui tombent chaque jour comme des mouches. Aussi, l’on comprend mieux maintenant, pourquoi I.B.K et son complice sont inséparables. Boubèye a été entendu deux jours durant par les juges du pôle financier, chargés de la lutte contre la corruption et la délinquance financière. Les masques sont tombés, voilà le vrai visage de ceux qui nous gouvernent, et qui prétendent lutter contre la corruption!
La vérité finira par être sué.En tout avec la race du Président que nous avons elu,les maliens iront de déception en déception.C est le propre du complexé du pseudo Bourgeois Negier,du bouffon sans pareil. IL EST CAPABLE DE TOUT FAIRE
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