Etats-Unis: Un allié de Trump déclenche une polémique en souhaitant la mort de Barack Obama

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Donald Trump en Pennsylvanie, le 22 octobre 2016. - Mandel Ngan / AFP

RACISME Carl Paladino, un allié de Donald Trump, souhaite que Barack Obama « contracte la maladie de la vache folle et meure »…

Un homme d’affaires américain, coprésident de la campagne de Donald Trump dans l’Etat de New York, a déclenché une vive polémique en souhaitant la mort du président sortantBarack Obama et en tenant des propos à caractère raciste concernant la First lady.

ladino, former New York gubernatorial candidate, speaks to reporters in the lobby at Trump Tower, Dec. 5, 2016 in New York City. (Photo: Drew Angerer, Getty Images)
ladino, former New York gubernatorial candidate, speaks to reporters in the lobby at Trump Tower, Dec. 5, 2016 in New York City. (Photo: Getty Images)

Interrogé sur ce qu’il aimerait voir se produire en 2017, Carl Paladino a répondu espérer qu’Obama « contracte la maladie de la vache folle après avoir été surpris ayant des relations avec une Herford » (écorchant semble-t-il la race bovine Hereford) et qu’il « meure avant son procès ». Puis questionné sur ce qu’il aimerait voir disparaître l’an prochain, l’ancien candidat républicain au poste de gouverneur de New York en 2010 a répondu : « Michelle Obama ».

« J’aimerais qu’elle redevienne un homme et qu’elle soit relâchée dans la brousse du Zimbabwe pour qu’elle vive confortablement dans une grotte avec Maxie le gorille », a-t-il déclaré à l’hebdomadaire new-yorkais Artvoice, qui a posé les mêmes questions à différentes personnalités à l’aube de 2017.

Polémique sur les réseaux sociaux 

Les remarques de celui qui a été reçu à la Trump Tower (résidence principale du président élu à New York) en début de mois ont rapidement enflammé les réseaux sociaux et suscité des réactions d’élus. Le gouverneur de l’Etat de New York Andrew Cuomo, qui a battu le républicain en 2010, a qualifié ces commentaires de « racistes, laids et répréhensibles ».

Le président élu Donald Trump n’a pas personnellement réagi, mais une porte-parole citée par le New York Times a déclaré que les commentaires de Paladino étaient « totalement répréhensibles et n’ont pas leur place dans notre discours public ».

Carl Paladino, right, served as a co-chairman in President-elect Donald J. Trump’s New York State election campaign and has been an ardent Trump supporter. (Lori Van Buren/Times Union)

Face aux réactions suscitées par ses commentaires, Paladino a publié une lettre ouverte dans laquelle il estime que ses remarques « n’ont rien de raciste ».

Le promoteur immobilier de Buffalo en a profité pour s’en prendre de nouveau au couple présidentiel, traitant Barack Obama de « lâche peureux » et estimant que Michelle Obama devrait « aller quelque part où elle sera heureuse ».

20minutes.fr – V.R.B. avec AFP – Publié le

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2 COMMENTAIRES

  1. C’est un malade mental qui n’a sa place que dans un centre psychiatrique. Il est complètement ignorant ce Monsieur.

  2. 1 – Qu´Obama « contracte la maladie de la vache folle et meure »… et du coup ce serat du racisme!!!

    2 – Les mauvais perdants de soi-disants Démocrates, qui n´ont pas encore digéré leur déculotté et surtout lorsq´au courant de la semaine des Grands électeurs Démocrates glissent en plus ds le camp Républicain…!!!

    3- Cette histoire est close, Chers M et Mme Démocrates et supports. M Obama ferait mieux d´extirper ses homosexuels de l´Afrique ou de tenir ne serait ce que sa promesse de fermer pour de bon Guantamo…sinon le reste semble trop compliue pour lui à la Maison Blanche…

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