Comme tout observateur intéressé par l’opération spéciale en Ukraine, je me suis interrogé à de multiples reprises sur le comportement général de l’armée russe, sur sa retenue, sur ses actions ou parfois son inaction, sur la placidité et le calme affichés par la gouvernance russe face à l’hystérie des gouvernances et des médias des pays membres de l’OTAN.
J’ai donc cherché de nouvelles clefs pour tenter de comprendre les événements et leur donner du sens. Le texte d’un blogueur russe, m’a interpellé hier parce qu’il correspondait assez bien au cheminement de mes réflexions. Je vous le livre tel quel, ci après, avant d’y ajouter un bref commentaire : https://t.me/actualiteFR
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« Autre tentative de compréhension de l’opération russe en Ukraine, qui replace au centre de la stratégie le but principal : non de changer l’Ukraine seule, mais de faire plier l’OTAN en vue de l’obliger à respecter ses engagements de 1991 (ou 1997) et de la ramener sur les lignes de front de l’époque. J’avais expliqué tout cela entre décembre et février 2021-2022 : https://telegra.ph/Ukrainefevrier-2022-04-12
« Dès le début de l’opération en Ukraine, j’ai commencé à me poser de nombreuses questions sur ses buts, ses objectifs et son résultat final. Les actions de notre armée et de nos autorités ont clairement indiqué que la Russie ne s’efforçait pas d’achever rapidement l’opération.
Voyez comme c’est étrange :
- Retrait volontaire des troupes près de Kiev ;
- Refus de la prise d’initiative ;
- Arrêt des opérations offensives et passage en défensif ;
- Négociations délibérément dénuées de sens ;
- Étranges échanges de prisonniers ;
- Frappes quasi-exclusivement contre des cibles militaires ;
- Refus catégorique d’endommager les infrastructures stratégiques « civiles » ;
- Référendums organisés à la hâte ;
- Refus d’attaquer les QG et centres de décision ennemis.
Et il existe de nombreuses autres bizarreries qui ne sont pas typiques des actions d’une équipe qui a l’intention de remporter une victoire rapide et décisive [notamment : pas d’attaque contre la DCA, contre les voies d’approvisionnement etc].
Évidemment, l’option la plus simple est de considérer que nos autorités sont des imbéciles. Bien sûr, qu’elles sont capables de mener une guerre normale. Pourquoi ne le font-elles pas ? De longues réflexions m’ont amené à la conclusion suivante :
Si l’on considère que l’opération n’est qu’une des étapes de la lutte contre l’Occident, il s’avère que la Russie n’a vraiment pas besoin d’une victoire rapide et décisive en Ukraine. L’armée est inutile trop en avant. Une défaite rapide et complète de l’Ukraine ne changera rien pour nous en termes géopolitiques. Nous aurons de nouveaux territoires et de nouvelles populations, mais l’alignement géopolitique mondial restera le même. Et nous serons toujours obligés de jouer selon les règles de quelqu’un d’autre, où des sanctions unilatérales nous seront imposées en toute impunité..
L’objectif semble être complètement différent : forcer l’Occident à jeter autant de ressources financières et militaires que possible dans le brasier. Dans la partie d’échecs, une pièce est sacrifiée afin d’attirer un adversaire dans un piège dont il ne pourra plus sortir. Et si nous gardons cet objectif à l’esprit, il devient clair pourquoi les États-Unis ont fait sauter nos gazoducs : sans eux, l’importance des gazoducs ukrainiens augmente considérablement. Il s’agit d’une tentative d’engager davantage les européens dans le conflit.
La seule question est de savoir quand la Russie considérera que l’Occident a été suffisamment ruiné sur son projet ukrainien pour que Moscou mette rapidement fin au conflit et reprenne les discussions avec un adversaire économiquement affaibli. Le but n’est pas de vaincre l’Ukraine (il ne s’agit que d’une tâche secondaire), mais de vaincre l’Occident qui a trop grignoté notre souveraineté (si des sanctions sont décrétées contre nous en toute impunité, alors c’est que nous n’avons pas assez de souveraineté).
L’Ukraine n’est dans ce cas qu’une victime de son propre régime politique, qui s’est permis d’entraîner le pays dans une confrontation entre de grands acteurs géopolitiques. Elle n’est même pas une pièce du jeu d’échec, mais seulement le plateau sur lequel le jeu se joue. »
Tant que la Russie arrive à encaisser les mobilisations, qui n’avaient pas fait partie du marketing de ce conflit en février, qu’elle arrive à reprendre l’initiative de temps en temps, suffisamment pour conserver le gros du conflit à l’intérieur des frontières de l’ex-Ukraine, et qu’elle maintient un ratio de pertes nettement en sa faveur, tout se passera bien.
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Commentaires DD : En 1990, l’ex-URSS s’est effondrée pour des raisons économiques. L’effondrement a été rapide et ses conséquences ont modifié pour longtemps les équilibres géopolitiques de la planète. La Russie aura mis plus de trente ans à se refaire une santé et à remonter la pente grâce à la détermination d’un homme providentiel, faisant passer les intérêts de son pays avant les siens, et réussissant à remettre sur pied l’économie de la Russie, à lui rendre sa fierté et sa cohésion, et à redonner à ses forces armées les capacités qu’elles avaient perdu.
Du côté occidental, trente années de désinvestissement dans le domaine de la défense pour les pays de l’UE, et de campagnes militaires coûteuses et contre-productives pour les USA ont considérablement détérioré les capacités de l’OTAN, tant sur le plan des effectifs d’active ou de réserve, que sur le plan de l’entraînement à la guerre de haute intensité ou sur celui des matériels majeurs, de leur maintien en condition, de leur disponibilité technique opérationnelle.
Sur le plan économique, les situations de surendettement chronique et sans limite de part et d’autre de l’Atlantique Nord, auxquelles s’ajoutent les coûts de presque trois années de gestion désastreuse de la crise sanitaire ont considérablement affaibli les fondamentaux des grandes économies occidentales à tel point que les signes de l’imminence d’une grande crise économique, financière et sociale se multiplient. Par ailleurs, de part et d’autre de l’Atlantique Nord, les populations des États membres de l’Alliance semblent de plus en plus divisées et réluctantes à sacrifier leur pouvoir d’achat, leur confort et leur niveau de vie pour se lancer dans des aventures guerrières à l’initiative d’une petite élite néoconservatrice et mondialiste US.
Dans le bras de fer OTAN-Russie qui se déroule sur le théâtre ukrainien, il y aura un vainqueur et un vaincu en fin de partie. Et c’est bien le degré de résilience économique et sociale de chacune des parties en conflit qui désignera le vainqueur.
Pour moi, le temps joue aujourd’hui en faveur de la Russie qui n’a donc aucun intérêt à précipiter les choses et qui ne prend d’ailleurs aucune mesure dans ce sens, d’autant que les gestions européenne et US suicidaires de ce conflit, par des sanctions boomerang, risque fort de provoquer, à court terme, un effondrement économique occidental durable tout à fait comparable dans son ampleur et dans ses conséquences à celui que l’ex-URSS a connu en 1990.
Si l’opération spéciale russe avait été menée de manière décisive et rapide avec signature d’un traité de paix en bonne et due forme, avec l’Ukraine, il n’y aurait eu que quelques modifications de frontières et la marche du monde aurait repris comme avant sans aucun changement de règles. Le monde hégémonique USA-UE-OTAN aurait repris très vite l’ascendant et ses mauvaises habitudes de vouloir régenter la planète entière par les menaces et les sanctions.
Si au contraire, après un hiver douloureux, une inflation à deux chiffres entraînant une baisse importante du pouvoir d’achat et du niveau de vie en occident, des faillites d’entreprises et des troubles sociaux qui ne peuvent que s’y multiplier, un effondrement partiel ou total de leur économie, les gouvernances des pays membres de l’OTAN réalisent qu’elles n’ont d’autres choix que d’accepter de nouvelles règles, celles du monde multipolaire tel qu’il se dessine aujourd’hui, alors seulement la Russie aura gagné la partie.
On ne le répétera jamais assez, l’enjeu du bras de fer OTAN-Russie dépasse largement les frontières de l’Ukraine. Pour la Russie et les États qui la soutiennent, il s’agit de neutraliser une fois pour toute l’hégémon « US-OTAN-dollar » et de revoir le fonctionnement des organismes qui lui sont plus ou moins associés et/ou soumis (FMI, OMC, et même ONU).
Pour y parvenir, il faut réussir à provoquer un effondrement partiel ou total des économies occidentales aux conséquences durables, susceptible de contraindre les gouvernances des pays membres de l’OTAN à composer.
Faire durer l’opération en Ukraine pourrait bien être la condition nécessaire et suffisante pour provoquer l’effondrement économique occidental. On comprendrait mieux, alors, l’attentisme d’une Russie qui semble bien prendre son temps…
Mais il ne s’agit encore, bien sûr, que d’une hypothèse parmi d’autres.
Source: https://reseauinternational.net/
DJO DADÉN, BAH DÉN….!
UN CLOWN MISÉRABLE….!
IL ENTERRE L’ OCCIDENT COLLECTIF FASCISÉ Á MORT….
EN PLUS :
Poutine s’est adressé au secrétaire des Nations unies, António Guterres pour signaler que la Charte des Nations unies donne à la Russie en tant que successeur légal du vainqueur de la Seconde Guerre mondiale le droit de son intervention.
En effet l’article 106 et 107 de la Charte des Nations unies lui donnent le droit de prendre toutes les mesures y compris militaires contre l’Allemagne, la Hongrie, l’Autriche, la Roumanie, la Bulgarie, la Finlande, la Croatie, la Slovénie, la République tchèque, la Lettone, l’Estonie, la Lituanie et l’Ukraine pour des tentatives de renaissance du nazisme. Voici la démonstration.
Le secrétaire général des Nations unies, António Guterres, a été surpris d’apprendre de Poutine qu’un article de la Charte des Nations unies autorise une opération spéciale russe en Ukraine. LA RUSSIE A LE DROIT DE PUNIR LES NAZIS PARTOUT (selon la Charte des Nations unies).
CHERCHEZ Á LE SAVOIR DANS LES CHAPITRES 7 ET 17 DE LA CHARTE DE L’ ONU….!!
LE MENSONGE CONVULTIF A RENDU L’ OCCIDENT FOU, Á JAMAIS…
LA FUITE EN AVANT DE L’ OCCIDENT FINIT DANS UNE PITIÉ INEXPRIMABLE….
je cite (((((Tant que la Russie arrive à encaisser les mobilisations, qui n’avaient pas fait partie du marketing de ce conflit en février, qu’elle arrive à reprendre l’initiative de temps en temps, suffisamment pour conserver le gros du conflit à l’intérieur des frontières de l’ex-Ukraine, et qu’elle maintient un ratio de pertes nettement en sa faveur, tout se passera bien.))))
LE PROBLèME EST LA LA RUSSIE NE CONTROLE PLUS RIEN !!!
POINT DE VUS MILITAIRE ELLE EST D7FAIT LE MORAL EST A 0+0=0
POUTINE SUPLIE QUE ON LE LAISSE GAGNER PAR INTERMEDIAIRE DE CEST ARTICLE
EN SE QUI CONCERNE LE RALENTISSEMENT ECONOMIQUE IL EST DèJA ANTICIPE ET CRèè PAR LA FED POUR VISER LES CHINOIS
😎 C EST LA RUSSIE QUI EST DERRIERE POUTINE TOUT COMME “L’ OCCIDENT” EST DERRIERE BIDEN! 😎
👤L OCCIDENT BIEN DÉFINI VEUT FAIRE LA GUERRE À LA RUSSIE!? ALLEZ Y! MAIS LAISSEZ LE RESTE DU MONDE EN PAIX! FAITES VOTRE GUERRE! PERSONNE NE VOUS AIDERA! QUAND VOUS AURIEZ FINI, VOUS VOUS METTREZ EN PHASE AVEC L HUMANITÉE ENTIÈRE! AUCUN NOIR NE DOIT SE BATTRE CONTRE LES RUSSES! AUCUN NOIR NE DOIT MOURIR POUR L OCCIDENT, ÇA SUFFIT ! ÇA SUFFIT! ÇA SUFFIT! 👤
😎NOUS PEUPLERONS NOS TERRES NOIRES D HOMMES NOIRS D ENFANTS NOIRS! NOUS SURVIVRONS LES AGGRESSEURS GENOCIDAIRES! ET OUI!!😎
https://m.youtube.com/watch?v=31qfVQqJGMQ
😎LE GRAND REMPLACEMENT ET EN FRANCE COMME EN EUROPE, LES DJIHADS EN AFRIQUE ,AU MALI! LES NAA MAA DENW ET LES GENOCIDES PARTOUT! 😎
👤VOUS DITES QUE POUTINE VEUT VAINCRE L OCCIDENT?! ALORS, L OCCIDENT NE S EST PAS MONTRÉ!? ET L OCCIDENT A ENVOYÉ L UKRAINE SE BATTRE À SA PLACE!? COMMENT CETTE UKRAINE RUSSOPHONE S EST VUE SACRIFIÉE PAR LES ABRAHAMIQUES OCCIDENTAUX!? À TRAVERS L ABRAHAMIQUE ZELENSKY!?
POUR QUE POUTINE, POUR DIRE LA RUSSIE, ILS PRÉFÈRENT LUI DONNER UNE PERSONALITÉE, UNE FACE, UNE TÊTE À ABATTRE, S IL LE POUVAIENT (COMME ILS L ONT FAIT AVEC KADHAFI, LUMUMBA, THOMAS SANKARA ET MANY OTHERS)ILS AURAIENT ÉLIMINER POUTINE! PERSONNE NE DIT QUE POUTINE EST BON OU MAUVAIS, MAIS CEUX QUI L ACCUSENT NE SONT PAS MEILLEURS À LUI! QU EST CE QU ONT FAIT LES YEMENITES ETLES NOIRS AU SAHEL POURQUE LEURS VIES COUTENT MOINS CHERES QUE CELLES DES UKOCCIDENT OU AUTRES BLANCS!? QUELLE HONTE À NOS OCCIDENTAUX! D AILLEURS, POUR QUE POUTINE FASSE LA GUERRE À L OCCIDENT, IL FAUDRA DÉFINIR CE QU EST L “OCCIDENT”, QUI SONT PRÉCISÉMENT CES PAYS QUI SE DÉFINISSENT PAR “OCCIDENT”, AINSI, LA RUSSIE ET CES PAYS SE BATTEONT ! LE MONDE OBSERVERA! IL N YA PLUS DE GUERRE MONDIALE! NON! LES AFRICAINS NE SE BATTRONT PLUS CONTRE QUI QUE CE SOIT POUR L EUROPE, POUR LA FRANCE ET MÊME POUR LES USA! PLUS JAMAIS UN HOMME NOIR NE DOITALLER MOURIR POUR CEUX QUI LES ONTDESHUMANISÉS DES SIECLES DURANT ET CONTINUENT!👤
Il est déjà dans une sale histoire le petit tsar…..il recule sur l’ensemble du front …….Il nous sort les antiques T62….il enrôle des prisonniers…. il en est réduit à mendier à l’Iran des drones ….Il se dit impatient d’aller aussi vite que possible et tout stratège digne de ce nom infirmerait les propos de ce site bien connu pour être conspirationniste de deuxième rideau.
Le yan de Xi ne soutient pas le rouble, Xi a fait un mauvais choix au début et le sait
Modi a laché le petit dictateur
Pour l’instant et pour de très nombreuses années l’USD et l’Euros ont de beaux jours devant eux
Pour l’instant c’est un échec surtout pour lui…….opération spéciale qui devait durer 72H00
Comprenne qui pourra mais c’est un fait….
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