Lors de son discours aux ambassadeurs mardi, Emmanuel Macron a officialisé le Conseil présidentiel pour l’Afrique. Promesse de campagne, ce groupe de travail est destiné à mieux identifier les défis auxquels est confronté le continent.
Avant de s’envoler pour la capitale du Burkina Faso, le chef de l’État réunira sans doute le tout nouveau Conseil présidentiel pour l’Afrique (CPA), dont il a officialisé, mardi, la mise en place. Promesse de campagne du candidat Macron, cette structure “inédite”, “tournée vers les attentes de notre jeunesse” et composée “de personnalités engagées issues de la société civile” doit en effet permettre au président Macron de préparer ses visites d’État sur le continent.
“Ni un nouveau think tank ni un fan-club africain”
“Ce ne sera ni un nouveau think tank ni un fan-club africain du président de la République” mais une instance chargée de conseiller le chef d’État et de faire remonter des propositions, a fait savoir l’Élysée. Concrètement, indique Jeune Afrique, “le CPA rencontrera notamment Emmanuel Macron avant chacun de ses déplacements en Afrique et travaillera également à l’élaboration des discours importants prononcés en rapport avec le continent. Son premier chantier : le discours de politique africaine que prononcera le président français en novembre et sur lesquels le CPA sera invité à collaborer.”
En se dotant d’un tel groupe de travail, la présidence espère ainsi faire montre d’une meilleure expertise de l’Afrique et éviter également des impairs diplomatiques, comme ce fut le cas, en 2007, pour Nicolas Sarkozy dont le controversé discours de Dakar entacha durablement ses relations avec le continent.
Parmi les 11 membres – tous bénévoles, précise-t-on à l’Élysée – qui composent ce groupe de travail figurent notamment le footballeur franco-béninois Jean-Marc Adjovi-Boco, la chercheuse kényane Yvonne Mburu, l’avocat français Yves-Justice Djimi ou encore Jules-Armand Aniambossou, ancien ambassadeur du Bénin en France et ex-camarade de promotion d’Emmanuel Macron à l’ENA.
L’Élysée fait le pari que le CPA s’inscrive dans la durée. “Notre objectif était de créer quelque chose qui survivra au président Macron et qui aura donc une existence institutionnelle”, a confié à Jeune Afrique une source proche du chef de l’État.
Par france24.com/fr/
C’est tout simplement une nouvelle maniere de controler l’Afrique et son Devenir.Je dis NON au CPA.
“C’est en Afrique que se joue largement l’avenir du monde.” a dit Macron, on doit rectifier cette declaration car en verite “C’est en Afrique que se joue l’Avenir de la France”
“C’est en Afrique que se joue l’Avenir de la France”
Bravo KINg!!!!
C’est exactement ce qu’il fallait comprendre!!!!
E, gros, la franSS doit continuer à dominer les pays francfous pour sa survie!
Le pede juif et sa bande d’encules de sa race de vendus juifs francais ont ils entendus dire que ca se fait de refaire des elections comme au Kenya quand on a triche et qu’on est conteste plutot que de vouloir faire taire sa contestation, et de donner des lecons de morale a l’afrique? Bande de pedes juifs!!!
Vous etes bien vulgaire. On peut etre en desaccord sans se montrer si haineux, on ne retient rien d autre de votre message que cette haine, et venant d une femme en plus.
Solo, Mariam n’est pas vulgaire!!!
C’est la situation lamentable d’esclavage de lafrique francofolle en 2017 qui est vulgaire!!!
Tout ça à cause de nos ba biens de sous dirigeants lâches!
la reponse?…
ben, la bonne il ne faut pas qu’ elle s echape des griffes de la france vampirique!…
Tres bien dit car la France sans l’Afrique n’existe pas economiquement, politiquement et sociallement.
………….BON +++++++++++++ ET L INVERSE ?
Comments are closed.