Une cour d’appel fédérale des Etats-Unis déboute l’équipe de Donald Trump qui demandait à ce que soit bloquée l’annonce de la victoire de Joe Biden en Pennsylvanie. Donald Trump avance encore un plus vers la sortie, poussé par la réalité : il a perdu l’élection présidentielle.
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Le juge Stephanos Bibas, résumant l’opinion de ses confrères a précisé :
« Des élections libres et justes sont le poumon de notre démocratie. Des accusations d’iniquité sont graves. Mais affirmer qu’une élection est injuste ne suffit pas à l’établir. Les accusations doivent comporter des allégations spécifiques puis des preuves. Nous n’en avons pas dans cette affaire »
.
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En rejetant cet appel, les trois juges de la cour d’appel du troisième circuit infligent un nouveau revers significatif au président sortant et à ses conseillers. Mettant à mal leur espoir de pouvoir inverser l’issue de l’élection présidentielle du 3 novembre dernier.
L’affaire peut encore être portée devant la Cour suprême des Etats-Unis.
« Trump ouvre une période extrêmement dangereuse »
Donald Trump continue de se dire victime d’une « élection truquée », même s’il a cependant assuré qu’il respecterait le vote du collège électoral américain, le 14 décembre prochain.
SOURCE: https://www.nouvelobs.com/
UN MOMENT D’HISTOIRE S’EST JOUÉ HIER :
– UN SECOND GETTYSBURG, QUI A RENVERSÉ LE COURS DE LA BATAILLE ÉLECTORALE
Vendredi, 27 novembre, 2020 – 18:36
Les législateurs républicains de Pennsylvanie ont tenu hier une audience sur l’intégrité des élections qui s’étaient déroulées dans leur Etat.
Elle a marqué un tournant décisif dans la bataille pour la Maison Blanche. Des témoins ont été auditionnés.
Rudy Giuliani, l’avocat personnel du président, et Jenna Ellis, la conseillère juridique de l’équipe de la campagne de Trump, participaient à cet événement qui n’avait pas été officiellement organisé par le corps législatif de l’Etat de Pennsylvanie, le plus important des sept Etats clefs, mais par un groupe de sénateurs du GOP, le Grand Old Party ou parti républicain.
Un moment saillant fut l’exclamation de Giuliani: “Pour commencer, je n’aurais jamais permis à une entreprise de Francfort qui a des liens directs avec Hugo Chavez et le Venezuela, de compter nos votes.”
C’était là une confirmation du raid de SCYTL, le méga tabulateur installé en Allemagne sous contrôle secret de la CIA.
Des rumeurs avaient circulé à ce sujet, faisant état d’un raid de l’armée américaine.
Mais non, l’installation se trouvant sur sol allemand, il fallait une autorisation du gouvernement allemand.
Une unité européenne-américaine conjointe sous le commandement d’USEUCOM avait donc été expédiée pour saisir le serveur de l’ordinateur, opération dont avaient été exclus la CIA et le FBI qui, selon les dires de Powell rapportés dans un article précédent, avaient joué un sale jeu dans toute l’affaire de fraude.
Un autre bon moment, qui égaya l’assistance, fut quand Giuliani démontra que sur 1,4 millions de bulletins qui avaient été envoyés, 2,5 millions avaient été reçus, comme l’illustre de manière amusante cette petite caricature :
Le président Trump intervint en fin de séance, par lien vidéo depuis la plateforme Zoom, pour remercier les participants de leur mobilisation, les témoins pour leur courage et Giuliani pour son énergie et sa bravoure.
N’était-ce pas lui qui avait vaincu la maffia dans un procès épique, il y a 30 ou 40 ans ?
Twitter, bien évidemment, s’empressa de suspendre le compte du Sénateur républicain de la Pennsylvanie et président de la session, prouvant que l’adversaire n’en mène vraiment pas large.
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