Ces dirigeants africains qui ont tenu tête aux leaders occidentaux, en disant non à l’homosexualité, méritent soutien et accompagnement.

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Les dirigeants des nations africaines opposés à la pratique de l’homosexualité méritent d’être encouragés et accompagnés dans leur combat. En dépit des pressions qui sont montées à longueur des temps contre leurs positions par les présidents et autres leaders des grandes puissances, ils sont restés fermes sur leur conviction.  Face à cette malédiction, nul ne doute que ces leaders  africains ont conscience de l’existence de  Dieu et ils sont dans leur droit d’imposer leur total refus à la pratique de l’homosexualité dans leur pays respectif.

L’Afrique ne doit pas toujours subir…

Les dirigeants du continent (Présidents) qui ont su dire non à la pratique de l’homosexualité dans leur pays tout en bravant le fer face à l’occident, refusant d’adhérer à des traités méprisants pour l’humanité sont et demeurent des dirigeants qui ont compris le vrai sens de l’existence de l’Homme et qui méritent soutien et accompagnement. Jamais, l’on ne doit traiter avec les diables. Les diables ne sont pas africains, mais ils semblent être plutôt occidentaux.

Le Président Uhuru KENYATTA

Cela est connu et compris par tous, au Kenya, le Président Kenyatta n’est pas passé par quatre chemins pour rappeler à l’homme le plus puissant de la planète qu’en dépit de sa barbarie, sa pauvreté et son sous-développement, l’Afrique dispose de ce qu’on appelle : la dignité oui une dignité humaine.

Uhuru KENYATTA : « Un courage qui mérite d’être saluer ».

Ainsi, lors de la conférence de presse conjointe, Barack OBAMA, puisqu’il s’agit de lui, dans son ignoble combat de l’« égalité des droits » pour les homosexuels en Afrique,  s’est trouvé face à un président intransigeant sur les questions de mœurs.   Que ne fut grande sa surprise, d’entendre Kenyatta lui ramener à l’ordre en ces termes : « Il faut bien admettre que nous ne sommes pas d’accord sur certaines choses que notre culture et nos sociétés n’acceptent pas ».

Robert Mugabe : Un défenseur de la cause humaine dans le sens humain.

Au Zimbabwe, Robert MUGABE disait à David CAMERON, le premier  ministre britannique au moment des faits  « d’aller en enfer » suite à ses tentatives de convaincre les pays africains à accepter le mariage entre personnes de même sexe.

Au fort de ses 93 ans, pour les occidentaux et ses dirigeants qui semblent oubliés l’existence de  Dieu, le Président Robert MUGABE est perçu comme l’incarnation du diable en personne. Pour eux, aucun qualificatif n’est assez pour eux pour salir l’image du Président MUGABE.

Car la position du Président MUGABE est connue de tous sur la question de l’homosexualité et le slogan MUGABE est : « aller en enfer ». Il a donné la leçon à David CAMERON avant d’ajouter : « La nature est la nature, elle a créé le mâle et la femelle. Donc soyons raisonnables dans nos comportements, nos agissements, nos faits et actes ».

« Vous, David CAMERON, suggérez-vous que vous ne savez pas ça, ou est-ce qu’il y a une sorte de démence, ou cela fait-il partie de la culture des Européens…».

Face à la stupéfaction de David CAMERON, Robert MUGABE enfonce le clou : « Selon leurs journaux, c’est l’un de mes péchés. Que j’ai dit qu’ils étaient égaux aux gays. Oui, j’ai dit, qu’ils étaient des gays et pires que des porcs et des chiens. Même les porcs en tant qu’animaux malpropres, savent, qu’il y a des mâles et des femelles. Dans le Coran et dans la Bible, le mariage relie ou unit un homme et une femme. Voilà comment nous sommes nés, c’est pourquoi nous rejetons catégoriquement cette pratique et nous vous disons à haute et intelligible voix d’aller en enfer »

Le Président Yahya JAMMEH de la Gambie, avant son départ du pouvoir était du côté de ses pères : MUGABE et KENYATTA.

 

L’ancien président gambien, Yahya JAMMEH n’hésitait pas à dire, à qui voulait l’entendre que les gays et lesbiennes n’étaient pas autorisées à fouler le sol de son pays : la Gambie. Même traitement pour les touristes en vacances dans le pays. Selon le président JAMMEH, les homosexuels seront immédiatement emprisonnés dans les prisons de femmes. Il ajoute que l’homosexualité est contraire à l’islam et Dieu ne l’aime pas. Tout ce qui est banni par  Allah, doit est être banni par l’humain.

Le non-respect des principes de l’humanité est contraire l’existence humaine. Il a ajouté, souhaiter que beaucoup d’enfants naissent en Gambie et son refus pour des pratiques homosexuelles était sans concession. Enfin, il ne manquait pas de lancer la menace d’une extrême violence avec des mots durs et des menaces tels que : « Si l’on attrape un homosexuel ou une homosexuelle en Gambie, la personne regrettera d’être née».

Et malgré les pressions des ONG et associations en faveur des homosexuels, le président JAMMEH a déclaré qu’il préférait manger de l’herbe que de se soumettre à une quelconque acceptation de l’homosexualité en Gambie. Voici des dirigeants qui méritent d’être soutenus et accompagnés dans ce combat contre la pratique de l’homosexualité. Amadingué Sagara

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1 commentaire

  1. Les occidentaux se sont couché… un peu comme Ferjou (nom qui sonne bien le bled…) la taupislamique étrangement discret ou muet quand il s’agit de parler de la culture religieuse barbare qui pose tant de problème dans de nombreux pays…

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