EN DIRECT. Les bourses se reprennent après la victoire Donald Trump

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"Je serai le président de tous les Américains", a déclaré Donald Trump dans son premier discours de président élu, aux côtés de son futur vice-président Mike Pence. © © Mike Segar / Reuters

Après avoir ouvert en forte baisse les bourses européennes contiennent leur chute et attendent les premiers signes de Wall Street.

16 h 35 – Manuel Valls : Trump ou un “besoin de frontières”…

Pour le Premier ministre français, la victoire de Donald Trump à la présidentielle américaine marque “le besoin de frontières”. “Que nous dit la démocratie américaine  et chacun, bien sûr, a son analyse ? Le besoin de frontières, le besoin de réguler l’immigration, la nécessité, bien sûr, (…) de combattre le terrorisme et de nommer le totalitarisme islamiste. Le besoin aussi de mieux redistribuer les richesses, le besoin de protection pour les classes moyennes qui vivent ce sentiment de déclassement”, a ainsi déclaré le chef du gouvernement, lors de la séance des questions à l’Assemblée nationale.

16 h 28 – Obama prendra la parole à 17 h 15

Le président des États-Unis Barack Obama s’exprimera mercredi à 12 h 15 (17 h 15 GMT) depuis la Maison-Blanche au lendemain de l’élection-surprise du milliardaire populiste Donald Trump à sa succession, a annoncé l’exécutif.

16 h 23 – L’Ohio, l’État où… tout a basculé !

Quand, à 23 heures, heure américaine, CNN a annoncé le succès de Donald Trump dans l’Ohio, les connaisseurs ont compris que l’élection était pliée… Michel Colomès revient ici sur ce moment décisif et sur le rôle joué par ce Swing State. 

16 h 10 – Quelle politique arabe pour l’administration Trump ?

Le 45e président des États-Unis renversera-t-il la table diplomatique et géopolitique ? À lire ses discours et déclarations, oui. Dans la réalité, ce sera moins spectaculaire que ses envolées de campagne ne le laissaient penser. Dans les capitales arabes, de Rabat à Amman, la victoire de Donald Trump interroge. Retrouvez ici l’analyse de notre correspondant à Tunis: Benoît Delmas .

16 h – La Cour suprême assurée de rester un bastion conservateur

L’une des premières décisions de Donald Trump consistera à nommer un nouveau juge à la Cour suprême en remplacement du magistrat Antonin Scalia, pilier de la droite conservatrice, décédé en février dernier. La victoire électorale de Donald Trump promet un ancrage conservateur durable de la Cour suprême des États-Unis, au grand soulagement des religieux traditionalistes, des militants des armes à feu ou des puissants intérêts financiers. Barack Obama a tenté, en vain, de désigner le progressiste Merrick Garland, mais le Sénat a refusé d’adouber ce juge. Si Hillary Clinton avait remporté mardi la Maison-Blanche, la haute juridiction siégeant à Washington aurait pu avoir une majorité progressiste pour la première fois depuis 1969.

15 h 45 – Réactions contrastées chez les grands patrons (européens)

Selon l’AFP, Richard Branson, patron de Virgin Group exprime des doutes après l’élection de Donald Trump à la Maison Blanche.  “Mes plus fortes inquiétudes concernent la possibilité d’une Cour suprême de plus en plus réactionnaire tandis que les progrès durement acquis autour de l’égalité, des droits des femmes, de l’immigration et du changement climatique seraient menacés”.
Marwan Lahoud, président du Groupement des industries françaises aéronautiques et spatiales (GIFAS) déclare de son côté: “si le président Trump met en application ce qu’a dit le candidat Trump, il va y avoir des changements majeurs de la posture de défense en Europe”. “L’élection américaine pose des questions sur l’avenir de l’Alliance atlantique, il faut voir quelle sera la position américaine mais on peut être assez confiant sur le fait que c’est un élément majeur de la défense de l’ensemble (de l’Europe) et on trouvera des accords”.
Matthias Müller, patron du groupe Volkswagen, espère que le scrutin américain n’aura pas d’impact négatif sur ses négociations avec les autorités américaines pour solder une partie du litige lié au scandale des moteurs diesel truqués et souhaite un accord dans ce dossier avant la prise de fonction de M. Trump en janvier. Pour Harald Krüger, patron du groupe BMW, il est encore trop tôt pour se faire une idée de ce que sera la politique économique et la politique extérieure des États-Unis. Mais “nous avons tous les trois (avec Daimler et Volkswagen) besoin d’un commerce mondial ouvert”.

15 h 34 – Timide reprise de la Bourse

Wall Street a ouvert en faible hausse. L’indice Dow Jones affiche + 0,14 %, et le Nasdaq – 0,71 %. La Bourse de Paris reprend des couleurs dans le sillage des marchés financiers américains (+ 0,35 %). En revanche, la Bourse de São Paulo, la plus importante d’Amérique latine, chutait de plus de 2 % mercredi à la mi-journée.

15 h 29 – Une prise de parole d’Hillary Clinton attendue

La candidate malheureuse s’exprimera à 10 h30, heure locale, depuis un hôtel de Manhattan à New York. Son colistier, Tim Kaine, doit l’accompagner.

14 h 51 – Le président mexicain assure Donald Trump de son “amitié”

Le président mexicain Enrique Peña Nieto se dit “prêt à travailler” avec Donald Trump, assurant sur Twitter que les deux pays sont “amis”, malgré les tensions apparues pendant la campagne. Son ministre des Finances, José Antonio Meade, a de son côté assuré que l’économie mexicaine avait la “force” suffisante pour affronter la “volatilité” des marchés après la victoire du candidat républicain et la chute record du peso mexicain. La bourse mexicaine plonge, de fait, de 3,18% après la victoire de Trump.

14 h 10 – Les bourses tourmentées, mais pas déprimées

Wall Street, comme le reste des places financières dans le monde, se montrait tourmentée mercredi à l’idée d’une présidence Trump et de son lot d’incertitudes sans toutefois céder à la panique avant l’ouverture. La bourse de New York devrait ouvrir en recul de près de 1,5 %. En Europe, les marchés se reprenaient un peu en début d’après-midi. Le CAC 40 reculait de moins de 1 % à 14 h 30, tandis que les Bourses anglaise, belge, allemande, espagnole, et hollandaise perdent entre 1 et 2 %.

14 h 10 – L’Europe inquiète

Les chefs de la diplomatie européenne se réuniront dimanche à Berlin pour évoquer l’élection de Donald Trump…

13 h 50 – Trudeau veut travailler avec Trump

Le Premier ministre canadien Justin Trudeau félicite Donald Trump et annonce qu’il veut “travailler de très près” avec lui.

13 h 33 – Les Chinois stupéfaits

Les Chinois accueillent la victoire de Donald Trump avec un mélange d’optimisme et de stupéfaction, se disant incertains de la manière dont le tribun aux diatribes anti-Chine traitera leur pays une fois au pouvoir.

13 h 21 – Le mauvais pronostic de Hollande

Le mois dernier, François Hollande assurait qu’une présidente allait être élue, déclenchant des applaudissements de son auditoire… Caramba, encore raté ! Une vidéo à revoir ici.

13 h 14 – Contre Trump, plus d’Europe !

Pour Étienne Gernelle, directeur du Point, le constat est clair, au lendemain de cette élection surprise : “Quand on ne peut plus se reposer sur un allié sûr, il faut s’armer soi-même.” Et cela passe, nécessairement et inévitablement, par un renforcement de l’Union européenne.

13 h 11

La Maison-Blanche vient d’annoncer que Barack Obama avait appelé Donald Trump pour le féliciter. Le républicain prendra possession du bureau ovale en janvier prochain.

13 h 06

Selon Emmanuel Macron, l’élection de Donald Trump à la Maison-Blanche est l’expression d’un “profond” et “sous-estimé” rejet du “système” et montre que “rien n’est jamais écrit à l’avance”. Pour l’ancien ministre de l’Économie, “cette élection montre que rien n’est jamais écrit à l’avance”. “Il faut toujours écouter ce que le peuple a à dire et non ce qu’on aimerait qu’il dise”, écrit le fondateur du mouvement En marche ! dans un communiqué, adressant au passage ses félicitations au président élu “en tant qu’alliés historiques de ce grand pays”, les États-Unis.

12 h 55

La chancelière allemande Angela Merkel avertit Donald Trump qu’une future “coopération étroite” entre leurs deux pays devrait se fonder sur les valeurs communes démocratiques et rappelle au président élu sa “responsabilité” au niveau mondial. “L’Allemagne et les États-Unis sont liés par des valeurs, la démocratie, la liberté, le respect du droit, de la dignité de l’homme indépendamment de sa couleur de peau, de sa religion, de son sexe, de son orientation sexuelle ou de ses convictions politiques”, a déclaré la chancelière à Berlin.

12 h 39 – Moyen-Orient : Donald Trump, un éléphant dans un magasin de porcelaine

Daech, nucléaire iranien, État palestinien ou relation avec l’Arabie saoudite, le nouveau président entend bouleverser la diplomatie américaine dans la région >>> Lire l’analyse de notre spécialiste Armin Arefi.

12 h 39 – Donald Trump président : pourquoi personne n’a rien vu venir

Les observateurs les plus pointus ont surestimé la démocrate et surtout mésestimé le ras-le-bol de l’électorat blanc >>> Lire notre article :  “Autopsie d’un aveuglement”.

12 h 13 – La responsable climat de l’ONU appréhende les relations avec Trump

La responsable climat de l’ONU a “félicité” mercredi pour sa victoire le président américain élu Donald Trump qui, au cours de sa campagne, avait qualifié le dérèglement climatique de “canular” et menacé d'”annuler” l’accord de Paris contre le réchauffement. “Nous avons hâte de collaborer avec son administration, afin de faire avancer l’agenda climatique pour le bénéfice des peuples du monde”, a déclaré dans un communiqué Patricia Espinosa, depuis Marrakech où se tient la 22e conférence de l’ONU sur le climat (COP22). Ségolène Royal, ministre de l’Environnement française, a quant à elle affirmé mercredi matin que Donald Trump ne pourrait pas revenir sur les accords de Paris.

12 h 07 – Benjamin Netanyahu enthousiaste

“Le président élu est un véritable ami de l’État d’Israël et je suis impatient de travailler avec lui en faveur de la sécurité, la stabilité et la paix dans notre région”, a dit le Premier ministre israélien dans un communiqué, qui ne fait aucune référence explicite au conflit israélo-palestinien ni à la promesse controversée de Donald Trump de déplacer l’ambassade des États-Unis de Tel-Aviv à Jérusalem.

12 h 07 – La Une de “Courrier International”

11 h 44 – Hollande : “Des leçons sont forcément tirées de tout scrutin”

“La France doit prendre ses responsabilités partout dans le monde, comme je l’ai fait depuis 2012”, a lancé François Hollande, qui a félicité avec un visage grave Donald Trump.  Il faut une “Europe unie, capable de s’exprimer”, a-t-il dit. “Des leçons sont forcément tirées de tout scrutin : une élection américaine va au-delà des seuls États-Unis. Nous devons regarder en face cette situation et, là encore, prendre conscience des inquiétudes qui sont provoquées par les désordres du monde.” “Nous devons trouver les réponses, elles sont en nous. Elles doivent être capables de dépasser les peurs, et de respecter les principes qui fondent la démocratie et le modèle social”, a prévenu le président, avant de conclure : “La France d’abord, la France en toute indépendance, et l’Europe avec elle.”

11 h 38 – Donald Trump et la question palestinienne

“La victoire de Trump offre à Israël la chance de renoncer immédiatement à l’idée de création d’un État palestinien”, a dit dans un communiqué Naftali Bennett, chef de file du lobby colon, partenaire essentiel de la coalition gouvernementale et connu pour son opposition à un État palestinien. “Telle est la position du président élu” Donald Trump et “telle devrait être notre politique, tout simplement (…) L’époque de l’État palestinien est révolue”, a-t-il ajouté. Un peu plus tôt ce mercredi, la présidence palestinienne réclamait l’inverse : “Nous sommes prêts à travailler avec le président élu sur la base d’une solution à deux États afin d’établir un État palestinien sur les frontières de 1967”, a dit le porte-parole de la présidence de l’Autorité palestinienne, Nabil Abou Roudeina. “L’instabilité continuera dans la région et dans le monde si on n’apporte pas une solution à la question palestinienne”, a-t-il ajouté. “La solution à deux États” fait référence à la création d’un État palestinien indépendant coexistant dans la paix et la sécurité avec Israël. Cette solution, censée résoudre l’un des plus vieux conflits de la planète, est la formule de référence des grands plans de paix internationaux.

11 h 05 – Alain Juppé : “La réponse n’est pas dans le populisme”

Le favori de la primaire de la droite et du centre a lui aussi réagi à l’élection de Donald Trump à la présidence des États-Unis. “La réponse n’est pas dans le populisme : le populisme, c’est mentir au peuple”, a-t-il dit, ajoutant que les Français voulaient qu’on leur dise la “vérité”. “Nous allons avoir besoin de réformes exigeantes que j’annoncerai très clairement si je gagne la primaire”, a poursuivi Alain Juppé. “Ensemble, nous les mettrons en oeuvre, dans un esprit de réconciliation”, a-t-il dit. Avant d’ajouter que “beaucoup” de politiques français étaient à la remorque des idées de Marine Le Pen…

11 h 02 – Sarkozy : “La France est et sera toujours l’amie des États-Unis”

“La France est et sera toujours l’amie des États-Unis, son alliée, mais une amie libre”, lance l’ancien président de la République française. “L’Europe et les États-Unis doivent travailler ensemble. Pour cela, il faut une Europe puissante”, ajoute-t-il. “La France doit jouer son rôle, doit rétablir son autorité, doit retrouver son rang”, ajoute le candidat à la primaire des Républicains, qui conclut :  “Il n’y aura pas de place pour l’impuissance, pour la faiblesse et pour les renoncements. (…) Le peuple américain a parlé. Sachons, nous aussi, en tirer toutes les conséquences.”

11 h 01 – La victoire de Trump, un bras d’honneur à “l’establishment”

Le monde va devoir apprendre à vivre avec un homme apparemment imprévisible >>> Lire l”analyse du rédacteur en chef du service international du “Point”.

10 h 17 – François Hollande s’exprimera après le conseil des ministres

Le président de la République française devrait prendre la parole en milieu de journée, indique l’Élysée. Jean-Marc Ayrault, le ministre des Affaires étrangères, s’est déjà exprimé : “Il va falloir essayer de savoir ce que veut faire ce nouveau président. Ce qu’il a dit jusqu’à présent provoque bien des inquiétudes”.

10 h 16 – Le message de l’Iran à Donald Trump

Le ministre iranien des Affaires étrangères, Mohammad Javad Zarif, a appelé mercredi le président américain élu Donald Trump à “respecter les accords” internationaux conclus par son pays alors que l’élection du candidat républicain fait peser des incertitudes sur l’accord nucléaire iranien de 2015. “Tout président des États-Unis doit comprendre les réalités du monde d’aujourd’hui. Le plus important est que le futur président des États-Unis respecte les accords, les engagements pris, non pas à un niveau bilatéral, mais à un niveau multilatéral”, a déclaré le ministre lors d’un déplacement dans la capitale roumaine, Bucarest.

10 h 09 – La Bourse de Moscou à la hausse !

Les marchés financiers russes sont passés dans le vert mercredi en fin de matinée, à contre-courant de la chute des grandes places financières mondiales provoquée par l’élection de Donald Trump, partisan d’un réchauffement des relations avec la Russie. Vers 9 heures GMT, l’indice RTS, libellé en dollars, prenait 1,17 % tandis que le Micex, en roubles, gagnait 1,02 %.

10 h 08 – Un “défi civique” pour François Bayrou

09 h 54 – Dominique de Villepin : “Ce qui est possible aux États-Unis est possible en France”

“La montée des populismes, la montée du mécontentement, le vote anti-système, on le sent poindre depuis des années, et donc cet avertissement, il faut être capable de l’entendre. (…) Il y a un monde qui vient que nous ne voyons pas venir”, a affirmé sur France Info l’ancien ministre. “Ce sont des jumeaux terribles, la France et les États-Unis, et ce qui est possible aux États-Unis est possible en France, même si le système refuse de le voir. Il y a une souffrance, un mécontentement, une incompréhension qui montent dans notre pays. Il faut être capable d’en tirer les leçons, et malheureusement nous avançons dans la mauvaise direction. Nous sommes un pays devenu néoconservateur.” Et Dominique de Villepin de conclure : “Il y a une leçon pour la France, qu’il faut tirer, pour le Quai d’Orsay, pour le président de la République, qui se sont trompés tout au long des dernières années.”

09 h 45 – Sans surprise, Vladimir Poutine félicite Donald Trump

Le président russe félicite le nouveau président républicain des États-Unis et espère un “dialogue constructif”, annonce le Kremlin. Vladimir Poutine a “exprimé l’espoir que (soit mené) un travail mutuel pour sortir les relations entre la Russie et les États-Unis de leur situation critique”. Il a également “dit être certain qu’un dialogue constructif sera établi entre Moscou et Washington, basé sur des principes d’égalité, de respect mutuel, de prise en compte réelle des positions des uns et des autres, dans l’intérêt de (leurs) peuples et de la communauté internationale”, selon le Kremlin.

09 h 40 – Jean-Luc Mélenchon regrette Sanders

09 h 34 – EN VIDÉO. La déclaration de victoire de Donald Trump

Donald Trump, tout juste élu président des États-Unis, s’est engagé mercredi, lors de son discours de victoire, à être “le président de tous les Américains”, sur un ton apaisé et rassembleur au terme d’une campagne très acrimonieuse qui l’a opposé à Hillary Clinton. “Je viens de recevoir un appel de la secrétaire d’État Clinton. Elle nous a félicités. (…) Et je l’ai félicitée, elle et sa famille, pour cette campagne très, très durement disputée”, a-t-il déclaré en ouverture de ce discours à New York. “Hillary a travaillé très longtemps et très durement”, a-t-il poursuivi, affirmant que les États-Unis étaient “redevables” envers Mme Clinton pour ses services. “L’heure est venue pour l’Amérique de panser les plaies de la division”, a-t-il dit.

 

09 h 30 – Raffarin : “Marine Le Pen peut gagner en France”

Jean-Pierre Raffarin, ancien Premier ministre, soutien d’Alain Juppé dans la primaire de la droite pour 2017 : “La ligne de front de la raison depuis le Brexit n’existe plus. Ça veut dire que l’information principale pour nous Français, c’est que Marine Le Pen peut gagner en France. Ça veut dire que le populisme extrême peut gagner”, a-t-il déclaré. Avant de conclure : “Ça veut dire que Mme Le Pen, avec des réponses simples, peut gagner en France.”

09 h 16 – Le président Trump a la majorité au Congrès

Les républicains ont remporté mercredi le Sénat et continueront ainsi de contrôler l’ensemble du Congrès des États-Unis, fournissant une majorité parlementaire sur laquelle le président élu Donald Trump pourra s’appuyer, selon plusieurs médias. En contrôlant la Maison-Blanche et le pouvoir législatif, les républicains auront la capacité de défaire les réformes du président Barack Obama et notamment sa controversée réforme de l’assurance-maladie baptisée “Obamacare”. La mainmise sur le Sénat, qui vient s’ajouter à celle de la Chambre des représentants, leur permettra par ailleurs d’avoir la haute main sur le processus de nomination des plus hauts responsables gouvernementaux et des juges de la Cour suprême.

09 h 13 – Qui est Melania Trump ?

Ancienne top model, l’épouse de Donald Trump s’apprête à devenir First Lady >>> Lire le portrait que Le Point lui consacrait il y a quelques semaines. 

09 h 04 – En France, la Bourse dévisse

La Bourse de Paris ouvre en baisse de 2,83 % à 4 350,07 points, tandis que celles de Londres et de Francfort perdent respectivement 1,87 % et 2,87 % à l’ouverture.

08 h 52 – “Je serai le président de tous les Américains”

Le président élu apparaît aux côtés de ses enfants et de son épouse, remercie ses soutiens et brandit ses deux pouces : “Je serai le président de tous les Américains.”

Republican presidential elect Donald Trump (L) arrives with his family to speak during election night at the New York Hilton Midtown in New York on November 9, 2016. / AFP PHOTO / Mandel NGAN © MANDEL NGAN

 

08 h 41 – Douglas Kennedy : “Le plus grand choc de ma vie”

L’écrivain américain réagit aux résultats de Donald Trump, quasiment assuré de succéder à Barack Obama à la Maison-Blanche >>> Lire notre interview

08 h 41 – HiIlary Clinton reconnaît sa défaite

La candidate démocrate à la présidence des États-Unis a reconnu sa défaite dans un appel à Donald Trump.

08 h 34 – Gilles Boyer trolle Nicolas Sarkozy

Le conseiller d’Alain Juppé a posté un message acerbe sur Twitter, en référence à la polémique sur la laïcité et les frites à la cantine lancée mardi par Nicolas Sarkozy.

08 h 32 – Donald Trump remporte le Wisconsin

Donald Trump remporte l’État clé du Wisconsin, selon les médias américains.

08 h 25 – Jean-Frédéric Poisson félicite Donald Trump

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4 COMMENTAIRES

  1. En fait la démocratie est bien ancrée dans la politique américaine… ! Depuis le tandem Ronald REAGAN-Georges BUSH père. Aucun Parti politique aux USA n’a plus gagné trois fois de suite les élections présidentielles. Mais nous sommes tellement manipulés par la presse et les médias en général que pauvres de nous consommateurs, finissons par croire à tout et à n’importe quoi.
    Au départ on donne un parti politique ou son Candidat très haut dans les sondage… Mais plus le jour du vote arrive, les mêmes médias commencent à nous dire que l’écart entre les deux concurrents diminue. Le jour J du vote, on nous dit que l’écart se resserre entre eux. Et pendent le vote et l’approche de l’annonce des résultats, on nous dit qu’ils seraient au coude à coude…, pour finir par nous que celui qui n’était pas favori au départ est en train de dépasser le favori des sondage… Oh surprise c’est le non favori qui l’emporte à l’arrivée… Ah, quel suspense… on n’en pouvait plus… !

  2. C’est si sidérant, étonnant que des chefs d’Etats surtout européens ont du mal a admettre la réalité et être ne serait qu’un peu élégant comme Mme Clinton. Leur indignation, leur frayeur & stupeur, leur mécontentement signifient simplement qu’:

    1- Ils n’ont aucun respect envers le peuple US et par là,
    2- Ils méprisent leur propre peuple, ne les respectent pas,
    3- Ils sont dans le nihilisme généralisé comme décrit tant de fois,
    4- Ils sont des dénégateurs du siècle,
    5- Ils sont dans une logique d’idéologie dominante sans espace de liberté pour autrui,

    6- Ils sont tous dans le politiquement correct fondé sur le mensonge, la calomnie, la guerre, la terreur avec un appui médiatique sans précédent…
    7- Ils sont une mare en attente vraiment de purge…

    8- Et en ce qui concerne cette France il faut rappeler tout de même qu’elle a voté non au Traité en 2005 et qui et qui ont dit que le peuple francais aura quand même ce traité? Sarkozy et Hollande s’entendent comme cochons dans les clystères du Sénat, sauf que M Sarkozy fut plus malin que lui à l’AN, ils ressortent, on change la place d’une virgule, on fait descendre un paragraphe, on remonte un autre à Lisbonne et on le redonne aux Francais qui n’en voulaient. M Valery Giscard d’Estaing, un européeniste convaincu, dira lui même qu’au fond c’était la même chose!

    Alors un peu de respect!

  3. Je suis tenté de dire qu’il n’est pas possible que Hillary Clinton ait été battue. Je dirais même pire, en me demandant si Donald Trump n’avait pas raison quand il disait que l’élection est truquée. D’ailleurs dirait-il la même chose ce matin… ? Ou depuis le Brexit, les sondages ne valent plus rien en Occident… !

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