Ces derniers jours, deux fuites impliquant des communications présumées du président Alassane Ouattara ont mystérieusement circulé sur les réseaux sociaux. Cette situation est pour le moins embarrassante et soulève plusieurs questions.
La première fuite est intervenue à l’occasion du sommet extraordinaire des chefs d’État de la CEDEAO, le 28 janvier, tenue par vidéo conférence sur le putsch au Burkina Faso. Cette réunion censé être à huis clos à toutefois enregistré des fuites. En effet, un audio présumé du président Ouattara relatant aux chefs d’États ouest africains sa dernière conversation avec le président Roch Marc Christian Kaboré, juste avant la chute de ce dernier a été publié sur les réseaux sociaux. Dans l’audio, le président Ouattara dit qu’il a recommandé à l’ex président Kaboré de jouer avec le temps en attendant qu’il mobilise les chefs d’Etat. En réponse, l’ex président Kaboré a fait savoir au président Ouattara qu’il démissionnerait et qu’il n’était pas venu en politique pour faire verser le sang de ses concitoyens.
Plusieurs jours après ces fuites embarrassantes, un nouvel audio attribué au président Ouattara a fait surface sur les réseaux sociaux. Cette fois-ci , on y entend le président ivoirien discuter des sanctions imposées au Mali avec l’ex Premier ministre malien Boubou Cissé. Les deux hommes parlent de façon moins flatteuse de la résilience de la junte malienne vis-à-vis des sanctions. Ils parlent également de l’attente par la Junte d’une aide Russe qu’ils jugent naïve. Si la justice malienne a ouvert vendredi 11 février une enquête sur l’authenticité de l’enregistrement, nombreux sont ceux qui y voient à travers cet échange un complot contre le Mali. Au-delà des spéculations, il est important de s’interroger sur les questions suivantes : quelles sont les personnes qui se cachent derrière ces fuites ? Quelles sont leurs intentions ? Comment ces échanges censés être confidentiels ont fuité?
Ce n’est pas la première fois que des fuites téléphoniques impliquent de hauts responsables ivoirien. Après le coup d’État raté de 2015 au Burkina Faso, une écoute téléphonique entre deux voix attribuées à Guillaume Soro, ex président de l’Assemblée nationale ivoirienne et Djibrill Bassolé, ancien ministre des Affaires étrangères burkinabé sont diffusées sur les réseaux sociaux. Suite à cette affaire, la justice Burkinabè avait lancé un mandat d’arrêt international contre Soro, l’accusant d’avoir soutenu le Coup d’État manqué du général Diendéré. Finalement, la justice Burkinabé a renoncé le 6 juin 2016 au mandat d’arrêt. L’affaire avait été réglée diplomatiquement.
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Allasane Ouattara doit etre expose pour toutes ses trahisons et ses acts apatrides, un veritable esclave de la France et un produit de la FrancAfrique, dommage que nous avons encore des enfants faux jetons de ce genre en Afrique!
We all know Ivory Coast President Ouattara is apathetic to common African. When you combine murderous apathy he indicate he possess in conversation to former Burkina Faso president with him being drug addict it is reasonable he is bad bad monster in leader of West African nation. We do not need anymore like him.
If withal Ouattara indicate could be made available by ECOWAS to stop forced resignation of Burkinabes president had been made available to annihilate terrorists plus reform corrupt governments of ECOWAS nations no sanctions imposed by ECOWAS against ECOWAS nations would now exist.
ECOWAS too often practice costly caucasian Western democracy governing style of stupidity. At this late date ECOWAS should have learned from China plus Russia that when stupidity of Caucasian western democracy rise if you do not act in kind instead be Greater Good practical that use of stupidity as trickery implode on user.
Henry Author Price Jr aka Kankan
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