La supercherie des allégations insidieuses et fallacieuses de la dénommée Sultana Khaya, instrumentalisées de manière outrancière par les ennemis du Maroc, ont été mises à nu et lui ont valu une désapprobation d’une responsable onusienne.
Sultana Khaya, cet agent de l’Algérie qui se présente comme étant une militante des droits de l’Homme et membre de «l’Instance Sahraouie Contre l’Occupation Marocaine » (ISACOM), une organisation factice inféodée à l’Algérie, n’est finalement qu’une indécrottable perfide démasquée qui promeut la violence.
Après le scandale de sa possession d’un fastueux appartement au somptueux quartier Calle Angelita Rodríguez Preciadoà Alicante, au sud-est de l’Espagne, des photos de cette pseudo militante ont déclenché un tollé général sur les réseaux sociaux.
Il s’agit de photos partagées par les internautes, de Sultana en treillis militaire, avec une Kalachnikov en bandoulière. Qui plus est, Sultana Khaya, qui n’a jamais caché sa sympathie pour les ennemis de la nation, a toujours diffusé des appels incitant à la violence armée contre les civils au Sahara marocain, ce qui est contraire à son supposé militantisme pacifique.
Ces clichés exhumés sur les réseaux sociaux lui ont, finalement, coûté cher, cette fois, et entamé considérablement la crédibilité de son activisme sibyllin, qui n’est finalement qu’un antagonisme envers le Maroc.
Des sources dignes de foi ont affirmé à la rédaction que la Rapporteuse Spéciale sur la situation des défenseurs des droits de l’Homme, Mary Lawlor, a assuré à son équipe que la sulfureuse Sultana ne relève plus de son mandat. Outrée par les scandaleuses photos de l’intéressée, tout sourire, arborant une arme de guerre et vêtue d’un uniforme militaire, la Rapporteuse onusienne a décidé d’extraire le cas de Sultana Khaya de son mandat.
En outre, la Rapporteuse Spéciale s’est rattrapée, hier, en retirant sa photo d’une publication sur Twitter rendant hommage aux femmes militantes, à l’occasion du 8 mars, journée internationale des droits des femmes.
Aujourd’hui démasquée, Sultana aura assurément du mal à cacher ses pernicieuses velléités et son prétendu activisme éphémère nourri de violence et d’appels à la haine.
Ne semblerait-il pas nécessaire, aujourd’hui, de traduire devant la justice cette traitre qui s’érige en militante pacifique ? Elle doit répondre de ses actes devant la justice.