Dans les eaux bouilleuses de la lagune ébrié : La brute et le méchant reculent face au bon

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Nous ne sommes pas au Zimbabwe et le régime politique ivoirien est présidentiel et non parlementaire. ADO, jusqu’à preuve du contraire ne sait pas battu pour des questions de prérogatives liés à la fonction de Premier Ministre mais, pour le fauteuil de président de la république, celui – là même que Koudou cherche à usurper pour la énième fois depuis qu’il a réussi son premier coup. Du berger à la bergère, le nouveau président élu, Alassane Dramane a dit niet. Aucune discussion tant que Koudou Laurent n’aura pas évacué le palais.

Nous ne sommes plus en 2005, quand la loi fondamentale lui donnait le droit de rester au pouvoir et d’entamer des discussions tant qu’un nouveau président n’est pas élu. Or ce n’est plus le cas, la Côte d’Ivoire a organisé sa présidentielle et le peuple à élu son président qui n’est autre qu’Alassane Dramane Ouattara. Les discussions pourraient se tenir après qu’il ai rendu le pouvoir à celui de droit et certainement autour de sa propre situation et de celles des vautour qui l’ont englué dans les eaux bouilleuses de la lagune. Une leçon, une très belle leçon à tous ceux ou toutes celles qui voudraient s’accrocher au pouvoir.

 

 

Sory de Moti

‘’ Asseyons nous et discutons’’ l’aveu d’impuissance et de dépit est de taille et émane ironie du sort à Koudou Laurent Gbagbo, le président proclamé par la bouche du méchant ami, Paul Yao N’Dré. Koudou l’enfant de Mama arrivé au pouvoir à la suite d’un putsch électoral en 2000 face au général feu Robert Guei, croyait pouvoir rééditer le même exploit cette fois – ci avec la complicité de son ami et  grand ténébreux appelé Paul Yao N’Dré et la cour de courtisans qu’il dirige pour le bon plaisir du chef. C’était sans compter avec la détermination et l’opiniâtreté du bon. Cet aveu dit – je, a été fait jeudi au palais de Cocody lors de la rencontre  qu’il a eu avec les Atchans, les populations du District d’Abidjan.

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