Le Républicain : Le paysage politique et institutionnel actuel réunit-il les conditions pour une reprise de la coopération de l’Union Européenne ?
Bertrand Soret : Le principe de base de nos activités, c’est qu’effectivement nous ne travaillons qu’avec des régimes reconnus et légitimes. Si on transpose cela au cas du Mali, il y a trois grandes conditions pour reprendre la coopération qui a été interrompue. La première était le retour d’un système qui soit proche de la constitution, ce qui est le cas parce qu’il y a un président qui correspond à l’arrangement constitutionnel qui préexistait. Deuxièmement, c’est un retour à l’Etat de droit pour qu’il n’y ait pas d’arrestations extrajudiciaires, que la sécurité soit assurée pour les civils etc. Cela est en partie réalisé. Notre grande satisfaction est qu’en particulier des poursuites ont eu lieu suite à l’agression, absolument inacceptable, contre le président par intérim. Ces arrestations se font dans le cadre judiciaire, ce qui est une bonne chose.
« Si le gouvernement veut être en capacité de gouverner, il doit aller vers la classe politique et discuter avec tous les maliens. »
Mais Il n’est pas normal par exemple que l’Ortm et l’aéroport continuent d’être gardés par l’armée. Donc il y a encore un certain nombre de symboliques qui font penser que nous ne sommes pas tout à fait revenus à un Etat de droit. La troisième grande condition générale c’est l’existence d’une feuille de route, c’est-à-dire un programme qui permettra aux autorités de transition de remplir leur mandat en organisant des élections et l’occasion de reconquérir le nord du pays.
« Tout le monde doit s’approprier cette feuille de route sinon ce sera un exercice artificiel, qui n’aura pas beaucoup de légitimité et peu de chance d’aboutir. »
Cette feuille de route, pour l’instant, nous ne l’avons pas, elle se doit d’être crédible, utilisable, si on veut pouvoir la mettre en œuvre dans un délai raisonnable. Il faut que l’établissement même de cette feuille de route fasse l’objet d’un vaste consensus et une vaste consultation. Encore une fois, si ce gouvernement veut être en capacité de gouverner, il doit aller vers la classe politique et discuter avec tous les maliens de façon à ce que ce programme ne donne pas l’impression d’avoir été dicté de l’extérieur ou que ce programme soit artificiel mais qui ne repose véritablement que sur la volonté du peuple.
Il faut donc remplir ce vide, compenser ce déficit de légitimité par un dialogue national le plus large possible.
Le Républicain : C’est cette feuille de route qui va conditionner votre accompagnement ?
Bertrand Soret : Exactement, il faut que ce gouvernement trouve sa légitimité à travers un dialogue avec l’ensemble des Maliens, la classe politique, l’assemblée nationale, la société civile, les femmes, les militaires doivent également avoir leur mot à dire dans cette feuille de route qui doit être acceptée de tous. Tout le monde doit s’approprier cette feuille de route sinon c’est un exercice qui va être artificiel et qui n’aura pas beaucoup de légitimité et qui a peu de chance d’aboutir.
Le Républicain : Le gouvernement actuel répond-il aux attentes de tous, implique-t-il tout le monde?
Bertrand Soret : Pour nous, le gouvernement n’a une chance de réussir la transition que si les éléments essentiels de cette transition ont fait l’objet d’un accord aussi large que possible. La transition doit avant tout préparer un programme pour parvenir à des élections qui soient également légitimes, souhaitées par tout le monde. Pour ces élections, il faut déterminer le fichier électoral. Est-ce qu’on reprend l’ancien fichier électoral ou le Ravec, ce sont des questions essentielles qui ne peuvent pas être déterminées de manière arbitraire. Si on veut que cela fonctionne, si on veut que les gens acceptent les élections, si on veut éviter la phase dans laquelle nous nous sommes trouvés au début de l’année, il faut que cela fasse l’objet d’un large consensus.
Le Républicain : Voulez-vous dire un gouvernement d’union nationale ?
Bertrand Soret : Je crois qu’il y a eu un malentendu dans notre propos en disant qu’on voulait le départ du gouvernement, non ce n’est pas ça. Le gouvernement est le résultat d’un processus, le président a été nommé sur la base de la constitution. Sans discuter sur les personnes, ce n’est pas à nous de juger. Par contre, leur travail doit trouver un ancrage à travers un dialogue aussi large que possible, encore une fois.
Le gouvernement de transition est là. Maintenant il faut qu’il travaille et qu’il puisse être accepté. Ce n’est pas à nous de dire si ce sont les bonnes personnes ou pas. Pour nous, c’est un gouvernement qui trouve sa légitimité dans les accords qui ont été passés avec les uns et les autres. Par contre, en termes de choix, des personnes jusqu’à présent posent problème. De plus, le gouvernement n’a pas trouvé les canaux de négociations et concertations vers la classe politique. Ce n’est pas une critique mais simplement un constat. Si on veut que cette transition réussisse, il faut qu’elle bénéficie d’un certain soutien. Ce gouvernement n’est pas issu d’un processus de concertation nationale. Nous sommes avec ce gouvernement, mais il faut voir comment on peut sortir de cette difficulté et comment ce gouvernement peut effectivement se mettre au travail pour aboutir aux élections et la récupération des régions nord du pays.
Le Républicain : Si non votre coopération reste stationnaire, en l’état, s’il n y a pas d’ouvertures ?
Bertrand Soret : Notre coopération, depuis le coup d’Etat se limite à l’humanitaire, à l’alimentaire, aux ONG et à la Société civile et tout ce qui bénéficie directement à la population. Donc, nous avons encore un certain nombre d’activités. Nous ne sommes pas dans une situation d’arrêt complet. Au cas par cas, nous voyons si nous pouvons poursuivre notre coopération par exemple avec les collectivités locales. Ce qui est exclu encore pour l’instant c’est effectivement le financement direct des autorités pour les raisons que je vous ai citées et en particulier l’appui budgétaire.
Le Républicain : Donc il faut absolument une feuille de route pour la reprise de vos financements ?
Bertrand Soret : Exactement, donc comme je vous le dis, il nous faut des assurances que nous sommes revenus à un Etat de droit et que nous ayons une feuille de route qui soit acceptée et qui soit réaliste permettant de nous amener à des élections et permettant de régler la question nord du pays.
Le Républicain : Quelles sont pour vous les solutions de sortie de crise ?
Bertrand Soret : Le processus doit être le résultat d’un travail fait par les Maliens. Donc on ne va pas poser une solution. Cette concertation est la plus large possible que j’ai mentionné tout à l’heure avec les partis politiques, la société civile, les organisations des femmes mais également des militaires qui doivent se retrouver dans ce processus, de la société malienne dans toutes ses composantes. Comment organiser ce dialogue? Je crois que le cadre est à trouver par les Maliens eux-mêmes, un cadre de concertation. Il faut trouver un format, un agenda clair pour éviter les ambigüités mais qui permette de mettre toutes les questions sur la table. Dans ces questions, les premières doivent être concrètes à savoir quel type de société on veut ? Quel rôle on veut pour l’armée ?
« Le gouvernement n’a pas trouvé les canaux de négociations et de concertations vers la classe politique. »
Ce sont questions globales qui permettent de refonder le système puisqu’on voit que le lien s’est dissout entre les Maliens et la classe politique. Dans l’immédiat, c’est aussi comment veut-on organiser les élections c’est-à-dire sur la base de quelle liste électorale. Est-ce que c’est l’ancien fichier qu’on va réviser ? Est-ce que c’est le Ravec ? Ce sont des questions sur lesquelles je pense que le gouvernement a des propositions à faire. Mais les décisions finales doivent émaner d’une discussion générale pas seulement se baser sur un calendrier qui serait imposé, et sur des ressources qui n’existent pas. Encore une fois sur le chronogramme des élections, sur la manière de conduire les élections, il faut avant tout que les Maliens soient d’accord. Et après partant de là nous les partenaires, nous serons là pour appuyer.
« Il nous faut des assurances que nous sommes revenus à un Etat de droit et que nous ayons une feuille de route acceptée et réaliste. »
Mais il ne faut pas renverser le processus en disant que vous les partenaires est-ce que vous avez de l’argent à mettre pour les élections ? Combien ? Et en fonction du budget combien on va avoir ? Ce n’est pas dans ce sens que les choses doivent fonctionner. On doit venir vers nous avec une feuille de route en disant que tout le monde est d’accord, bon pas tout le monde parce qu’en démocratie il y a toujours des dissensions. Quel que soit le processus qu’on utilise à travers ce dialogue national, nous sommes arrivés à la conclusion que tout le monde peut admettre tel type de fichier électoral. Maintenant en fonction de ce type de fichier électoral, il nous faut telle ou telle ressource. Alors à partir de ce moment on verra si on peut apporter l’entièreté de ce qui nous sera demandé ou pas. Ce n’est qu’à ce moment qu’on pourra se positionner.
Le Républicain : Et pour le nord ?
Bertrand Soret : Au nord, plus le temps passe plus la situation se dégénère surtout pour les populations qui souffrent. Et ce qu’il y a de plus dramatique c’est qu’on a souvent tendance à l’oublier en continuant à discuter sur le système politique au sud. Les Maliens doivent savoir ce qu’ils veulent et voir comment on peut appuyer ce processus. Il n y a pas de solution miracle. La première, c’est effectivement les négociations avec les parties prenantes. Ce qui est essentiel, c’est de pouvoir être à mesure de le faire, c’est pour cela que le gouvernement doit être aussi légitime que possible. Avoir la possibilité de dire qu’il parle au nom des Maliens et essayer d’entamer des négociations avec les acteurs du terrain. L’extérieur, on peut le dire, peut faire la médiation mais on ne peut pas non plus l’imposer, c’est quelque chose qui doit venir de l’intérieur. Première chose donc, négociation. Après, ce n’est pas à moi de commenter ce que les uns et les autres veulent.
Le Républicain : Combien de temps à la négociation ?
Bertrand Soret : Ecoutez, si on fixe un calendrier on se fixe des contraintes et après ça ne serait pas nécessairement respecté.
Le Républicain : Les négociations peuvent prendre beaucoup de temps. Pendant ce temps la situation s’empire ?
Bertrand Soret : Absolument, comme vous le dites, il faut que la négociation soit contenue dans un délai relativement raisonnable sinon la situation ne fera qu’empirer. La négociation doit être appuyée également par une force militaire qui soit crédible.
Le Républicain : Donc négocier en position de force ?
Bertrand Soret : Il faut négocier en position de force. Ceci étant dit, l’armée malienne a besoin d’être reconstruite, remise en état, que ce soit en termes d’armement mais aussi en termes de structures. Ce sont des éléments que nous sommes prêts à travailler. Pour les négociations, nous sommes prêts à servir d’intermédiaire si c’est utile mais il faut d’abord avant tout qu’au niveau du Mali qu’on ait une idée précise de ce qu’on veut obtenir et avec qui.
Cela été dit clairement, ce qui est inacceptable, c’est la partition du pays, cela est clair, ce postulat établi une négociation peut se faire même si ce n’est pas à nous de dire ce qui est possible et ce qui n’est pas possible. Nous nous pourrons aider au plan logistique, au plan de la restructuration, de l’armement de la formation… mais tout ceci doit être une décision des Maliens. Tout comme dans le choix de qui doit y participer, qui peut aider. Si c’est la Cedeao avec l’Union Africaine, si c’est la Cedeao avec les pays du champ ou si ce sont des pays occidentaux.
L’Union Européenne est prête également à jouer son rôle si on le lui demandait et surtout s’il y a une formulation précise qui permette d’avoir une réponse.
Le Républicain : Quelles seront vos prochains créneaux de coopération du point de vue de la réalité du terrain ?
Bertrand Soret : On commence à travailler sur ce qu’on appelle le Fed (Fonds Européen de développement) qui va encadrer la coopération avec tous les pays de la zone ACP. Pour les années à venir, on est en train de réfléchir comment tirer des leçons sur la crise actuelle pour orienter notre coopération de manière efficace et plus utile au pays. Disons que c’est du long terme. A court terme, en particulier pour le nord, la semaine prochaine le 07 juin à Abidjan, il va y avoir une réunion sous les auspices de l’Union Africaines et des Nations Unies qui va réunir la Cedeao, les pays du champ et un certain nombre de pays occidentaux ainsi que l’Union Européenne qui sont engagés dans un processus d’accompagnement du Mali pour étudier ce dont on vient de parler à savoir comment participer à la restructuration de l’armée malienne, comment les pays de l’extérieur peuvent s’impliquer dans les négociations, etc.
Le Républicain : Je prends l’exemple d’un pays comme la Suisse qui est à coté de l’Union Européenne. Est-ce que ça ne gène pas ?
Bertrand Soret : Toutes les bonnes volontés sont bienvenues. Dans ce processus, il faut que les différents protagonistes aient confiance aux pays ou aux personnes qui font la médiation. Si la Suisse est appelée à jouer un rôle, on va l’appuyer. Le risque, toutefois, dans ce type de médiation internationale, c’est qu’il y a trop d’acteurs. A partir d’un certain moment, cela peut gêner la recherche d’une solution.
Le Républicain : L’Afganisation du nord, un terme très fort. Pensez-vous qu’on s’achemine vers ce schéma ?
Bertrand Soret : Je crois qu’il faut se méfier des analogies parce que les situations sont forcement différentes, sociologiquement et même géographiquement. Par contre là où il y a des similitudes, c’est qu’effectivement le nord-Mali est devenu une zone de non droit occupée en partie par des groupes terroristes qui revendiquent un activisme anti occidental et qui se nourrissent de trafic de drogue, d’enlèvements , d’attentats dans les pays voisins ou en Europe. Donc de ce point de vue là, effectivement il y a une certaine similitude avec l’Afghanistan, la Somalie etc. De toute manière, c’est un effondrement des institutions dans la zone. Une zone sous aucun contrôle où les terroristes peuvent trouver une base pour porter leurs actions à l’extérieur et ça c’est extrêmement dangereux.
Propos recueillis par S.El Moctar Kounta B.Daou
Il n’ y aura ni paix ni justice tant que le CNRDE et le gouvernement continuent de comploter et de diriger le Mali.
Le Mali est pris en otage par Sanogo et Gonogo (le 1er sinistre au lieu de 1er ministre).
Ils sont de connivence et font tout pour maintenir le Mali dans la crise actuelle.
Ils sont tous impliqués dans la tentative d’assassinat du Président Djoncounda.
Si Djoncounda a survécu c’est parce que ses agresseurs l’avaient cru mort.
Sanogo et Cheikh Diarra, le Gouvernement et les Mariko ont décidé de faire échouer la transition et de tout faire pour éviter l’intervention d’une force internationale.
Le 1er sinistre est chargé de tromper la Communauté internationale, de lui faire croire que le Mali est retourné à l’ordre constitutionnel et de maintenir le pays dans cette situation jusqu’à un moment favorable pour Sanogo pour occuper la présidence. Au terme de son mandat, il remettra le pouvoir à Cheikh Modibo Diarra comme en Russie et comme c’était le cas entre ATT et Alpha Oumar Konaré.
Le rôle de Sanogo c’est de régler les comptes aux proches d’ATT qui sont dans l’armée et s’occuper de la chasse aux sorcières, aux leaders qui ne leur sont pas favorables.
Ils doivent tous les 2 contribuer à la vengeance du beau père Moussa Traoré et l’émergence du clan UDPM et du parti du 1er sinistre qui est en veilleuse jusqu’au moment opportun.
Cheikh Modibo Diarra joue le rôle de ralentisseur et doit tromper la communauté internationale en lui faisant croire que Sanogo s’est retiré dans les casernes bien qu’il continue de diriger de fait.
Pour empêcher l’intervention de la force de la CEDEAO et de la communauté internationale, il s’engage à bâtir une nouvelle armée compétente et bien équipée, ce qui mettra un minimum de 5 ans.
Djoncounda a intérêt à rester en France, il risque sa vie au Mali. Comme le Général De Gaule, il doit organiser la libération du Mali depuis la France car ceux qui sont au pouvoir au Mali sont pire que le MNLA et les islamistes pour le Mali.
Il faut que Djoncounda saisisse l’UA, la CEDEAO et l’ONU pour sécuriser les institutions à Bamako et libérer le Nord.
Au secours, il faut l’intervention de l’ONU, de l’Union Africaine et de la CEDEAO.
Si on attend le 1er sinistre Cheikh Diarra, il ne demandera jamais l’aide de la communauté internationale alors que les maliens n’en peuvent plus.
Depuis que Diarra a créé son parti malgré les honneurs qui lui étaient rendus sous Alpha et ATT, malgré sa réputation de scientifique, j’ai su que c’est un opportuniste.
Bravo les femmes et les jeunes du nord vous faites la fierte d’un peuple dont son armee lui a abandonne
nous sommes dans une crise de citoyennté , de leadership …je demande à nos religieux de tenir une rencontre et se retirer DIRECTEMENT de la vie politique et commencer à faire la mediation en impliquant nos autorités traditionelles : chefs de villages …
la concertation est obligatoire pour dans un delai d’une semaine avoir pas une fueille de route seulement mais un code de conduite qui sera suivi
Apres l’UE doit revoir son APE pour eviter une telle crise en realité le monde traverse une crise du capitalisme à outrance et le Mali d’une crise qui tire ses racines la faible production et redisbution des revenus, et une gouvernance mal accré
Donc maliens vite au travail
1. pas Dioncouda ni les militaires
2. il faut une personne civile neutre qui maitrise les realités sociopolitiques du Mali
3. un gouvernement d’union nationale avec un ministere de la coop internationale aux affaires du Nord
4. une semaine de concertation pour la feuille de route et le code de conduite
5. Entreprendre dans les ecoles et universités , ecoles , villages ..une explication de cette feuille de route et les responsabilités
objectif: liberer le Nord en 100 jours avec l’appui des partenaires
Ce dialogue est indispensable pour l’apaisement du climat social.On doit pouvoir parler entre nous pour vider les questions qui fâchent,apporter les corrections nécessaires à démocratie de facade que nous vivons dépuis 20 ans,cette escroquerie saluée par l’occident.Cette démocratie sur papier doit être révisitée sous tous ces aspects et l’occasion pour les différents partis politiques responsables de cette situation que nous vivons, de nous démander pardon pour les torts causés par eux.Ce serait l’occasion pour mettre des gardes-fous pour assurer l’ascension des hommes vertueux aux différentes postes de responsabilité.Ceux qui réfusent ce dialogue indispensable ne sont pas pour la quiétude dans notre PAYS.Ce peuple malmené a récouvré son esprit et il sera périlleux de vouloir continuer à le narguer sans réaction conséquénte de sa part.
de quel dialogue parle ce Monsieur si ces fameux voleurs du fdr refusent tout. si dialogue veut dire remettre ces voleurs de Tapo au gouvernement, que l’ue garde son argent. ses pays européens sont les premiers pourfendeurs de la démocratie en Afrique en maintenant leurs poulins corrompus au pays. ils ont tout fait pour amener att au pouvoir et voilà où nous en sommes. IBK avait passé au 1er tour en 2002 avec 52% des voix. je me souviens toujours de cet appel d’IBK demandant à ses militants de rentrer tranquillement à la maison, de ne pas mettre le Mali à feu et à sang à cause de lui. Allah yé tignè dèmè. DIEU ne dort jamais.
des conneries , iBK a passé avec 52% où ça pas au Mali/ Tu prends tout le monde pour des cons/ Je suis le seul con de la republique et je sais que c’est faux parce que personne ne sait compter dans ce pays. Par exemple le mali a combien d’habitants ? personne ne sait parce que personne ne sait compter/ Toi par exemple tu ne sais pas que tu fais de la mauvauvaise publicié à IBK pour les élections à venir parce qu’à cause de toi un potentiel important d’électeurs d’IBK va lui tourner le dos; parce tu le présentes non pas comme compétent mais plus digne de diriger le pays parce que plus malien que les autres
Desormais personne ne passera avec 52% sans l”alliance d’une partie de ses supposés adversaires.
Je trouve wque l’UE est trop clemente avec ce peuple abruti (excuser moi du terme) qui ne sait meme pas ce qu’il veut avec son lot de clowns de Kati… UE doit compltement fermer ces representation et laisser ce pays 🙄 🙄 🙄 🙄 🙄 Qu’est ce que le Mali vaut sans ces partenaires? Arrétons un peu l’orgueil mal placé et ayons l’intelligence de nous ressaisir pendant qu’il est encore temps…Tout ce representat europeens est la pur verité; sans la classe politique le Mali n’ira nulle part et nous nous perdons le temps en pensant le contraire… Si vous ne voulez pas voir cette classe politique creer des partis politiques et gagner les elections par les urnes. Je soutiens ce gouvernement à cause du PM mais je ne me reconnais dans celui ci, surtout lorsque je je vois le petit militaires fuyard qui occupe le departement de l’administration… On dirait un gamin assis dans un fauteuil réclamnt son biberon tellement qu’il est immature et inexpérimenté. En plus avec les protefeuils qu’il occupent ils vont imposer leur president et non celui que le peuple aura choisi, donc nous revenons à la meme situation des hommes politiques… Le travail pour sauver le peuple malien doit etre plus profond que cela, il faut attendre que toute cette partie analphabete de population qui crie vive coup d’etat puisse aller à l’ecole et comprendre un peu la nation de democratie et d’expression-liberté… On la l’impression l’Etat d’Azawad qui n’est meme pas née est plus intelligent et ordonée que le Mali qu’on appelle vieille nation.
Soyeux correcte avec les gens, monsieur!!!
Vous ne pouvez pas insulter tout un peuple de cette façon là, vous oubliez que vous avez vos parents dans ce pays et qui font partie du peuple malien?
Ce sont ces mêmes pays européens qui ont toujours protégé les dictateurs en Afrique, je souriant et moqueur devant les propos de monsieur Soret.
Ces organisations nous empêchent d’avancer!
Un peu de respect SVP
ce n’est pas de l’orgueil déplacé; c’est la réalité du Malien/ 98% d’entre nous ici est ignorant. les maliens, vous les voyer grand de corps mais ils ont la capacité intellectuelle de l’élève qui est à l’école il ya juste trois ans. c’est la triste vérité/ Avant ça ne se remarque pas mais maintenant où beaucoup de pays sont au 21 è siècle, l”état moyenageux malien cràve l’oeil/
AH, vs ossi les européens ❗ ❗ ❗ vs aimez trop tirer sur la corde. Je vois pourquoi les pays ki ont un peu de revenu ne tiennent pas trop compte de vos recommandations. Vs voulez finalement ns pousser à ns manger entre ns ou quoi!!!! Bon voilà donnez ns des armes, oui des armes et on recolle notre pays 😆 💡 sinon là: les russes ont des armes, les chinois en ont, les iraniens en ont,….. 🙁
Belle interview qui indique aux organes de la transition, à la classe politique et à la société civile la voie à suivre pour un retour rapide des PTF et le freinage de la dégringolade économique.
On peut dire que la voie était déja identifiée (Cf débat sur Africable)et que difficulté ne réside que dans les modalités pour l’emprunter. L’excellent article de Souleymane Drabo de l’Essor confirme cela.
Sanogo n’a rien compris et ses supporters sont dans l’obscurité…..Que Dieu les aide à comprendre et accepter ce qu’ils ne peuvent changer ..Amen.
Décidement tous les journaux à part l’Inter de Bko et Adam THIAM, tous s’acharnent sur le gouvernemt qui n’a rien fait de compromettent. Ce sont eux les fdr qui payent ces racailles de journalistes, car ils ont pillés les ressources de l’états. Le PM restera jusqu’au bout!
On s’en fou des voleurs coronpu il fou que le pmc coupe la subvention o voleurs policiers pour réforme l’éducation
Il ya ceux reflechissent bien une sortie de crise en aidant le Mali dans ses fondements en mal, et il ya des imbebiciles qui ne comprennent rien de la situation gravissime du pays en traitant tout le monde de mal propres. Ces negatifs doivent impreativement la fermer, rudicules mecs!
Ces européens doivent retourner chez eux en attendant que leur amis corrompus ne gagnent les élections pour revenir au pouvoir volés les sous pour qu’ils se les partagent. Ils sont tous corrompus ces politiciens aussi bien que soit disant coopérant européens.
je me demande pourquoi ces européens ne comprennent pas que ces hommes politiques ne sont que des hommes d’affaires? Ahhhh, je vois. C’est avec eux qu’ils ont toujours fait leurs affaires et c’est eux, les gens corrompus et malhonnêtes qui font leur affaire. En réalité, dans cette affaire de Coopération, on ne parle que d’affaires; car “les pays n’ont pas d’amis, ils n’ont que des intérêts”. Donc ne soyez pas étonnés que ces gens refusent de faire affaires avec les nouveaux venus, parce que ceux-la ne sont pas leurs clients. Donc, patience chers africains!!!!!!
Les Europeens doivent comprendre une bonne fois pour toute que le Malien n’aiment plus ces hommes politiques corrompus jusqu’aux OS.
Le FDR veut rentrer coûte que coûte au gouvernement. Ces gens ont l’habitude de bouffer, ils ne peuvent pas s’en passer. Jamais assez même si le peuple creve.
Je vous dis et je vous le repète ce gars ne menera le Mali nulle part en qualité de PM. Il n’a aucune compétence ni technique,ni politique. Il n’a jamais gèrè quoique ça soit dans la vie. Dites moi une seule réussite de cet idiot de merde? On lui a confié la gestion de l’Université virtuelle Africaine,allez y savoir la suite.Quelle honte pour les chercheurs Africains qui ont decouvert l’incompétence de ce soit disant astro-botte.S’il pense être plus malin il se trompe.Le peuple se prépare et le reveil serait très brutal.Demandez le rapport de l’audit que microsoft vient de mener sur ce type salle et qui pue comme un kokoyo.C’est lui qui a crée cette atmosphère de fantôme institutionnel.L’economie chute,l’emploie se degrade,la vie devient de plus en plus chère.Les familles sont abandonnées l’adultère se pratique à longueur de journée,l’homosexualité se developpe.Le peuple reste impuissant,les temps sont dures. Rendez le 10 juin pour deloger tout le monde Sanogo et sa bande y compris le gouvernement de blaise compaore.
Ces maux dont vous citez existent depuis longtemps. C’est Cheick Modibo Diarra qui a amené tout ça. De grace, le front pour la destruction de la république doit nous laisser respirer. DIARRA peut sortir de cette merde et c’est ce qu’ eux ne veulent pas.
Ah bon!avant le 22 mars les teois regions étaient sous contrôle rebelle?avant le 22 mars nos femmes,filles,soeurs étaient elles violées?les hotels,agence de voyage etc…étaient fermés?la recette avait elle chuté de1450 milliard à 870 mrd? Alors ne deffender pas l’indeffendable. Je vous promets qu’il va partir de lui même. Il ”a jamais mené quelque chose à bout.Il est d’une extrême méchancheté incomesurable.Il ne pourra rien apporter,quand je l’entends dire qu’il ‘e souhaitait pas la présence des forces internationales comme s’il avait une autre solution.Qu’il nous foute la paix nous pouvons règler nos problèmes sans lui.
les gens qui ont géré le pays pendant 20 ans avaient quelles compétences si ce n’est que voler le peuple. En tout cas le PM n’a pas pillé le Mali durant 20 ans. Donnons lui le temps de prouver sa capacité puis on lui jugera, comme nous avons juger les 20 ans de mauvaise gestion d’ATT et les politiciens corrompus.
On lui a dit d’arrêter son orgeuil, Cheick Modibo diarra pense que le Mali lui appartient alors que qand il a créé son parti, il n’a même pas pu l’implanter à Bamako.
S’il compte faire avec les anciens de Moussa Traoré, il est mal barré
Donc alpha ministre de moussa traoré et ATT son ex Garde du corps et leurs éléments ne sont pas des anciens de moussa donc de quels anciens vous parlez ?
Soyez sérieux dans ce que vous dite.
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