Le premier accord universel pour lutter contre le réchauffement climatique, dont l’ampleur menace la planète de catastrophes, a été adopté samedi à Paris par 195 pays. Un « moment historique » six ans après le fiasco de la COP de Copenhague, qui avait échoué à sceller un tel accord. Si certains ministres africains ont salué le texte, d’autres ont émis quelques réserves.
C’est un soulagement. « Il s’agit d’un accord historique. Un accord qui aura des conséquences à long terme pour nos pays, et pour le cheminement de la planète vers un développement durable », s’est exprimé à la tribune Khaled Mohamed Fahmy Abdel Aal, le représentant égyptien du groupe Afrique.
Du côté sénégalais, le ministre de l’Environnement, Abdoulaye Bibi Baldé, estime que l’accord est équitable : « Le texte d’accord que vous nous avez présentés, bien que ne couvrant pas la totalité de nos préoccupations, nous considérons qu’il ne laisse aucune partie de côté. Il permettra d’assurer l’adhésion et la participation de tous et de chacun selon sa capacité à l’effort global de stabilisation du réchauffement climatique. »
Gros point d’interrogation
Que de sommets , de conférences organisés , les uns en réponse à des exigences du moment , les autres par nécessité politique . De cycle en cycle ; de round en round que dis je . Aux résultats c’est les espoirs déçus , la résilience , la résignation.
Le développement de l’Afrique est déjà planifié , maintenant , il s’agit de contrôler nos pensées .
Qu’en est-on avec les programmes: De l’eau pour tous d’ici 2000 , La santé pour tous , La lutte contre la pauvreté , Le développement durable , La bonne gouvernance …et plus récemment La lutte contre la corruption .
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