La journée du jeudi 13 septembre 2012 vient de consacrer le partenariat entre les deux pays. Bâti sur un socle historique de valeurs communes il semble participer d’une coopération privilégiée portée par une amitié sincère. C’est également le fruit d’une reconnaissance des réformes démocratiques entreprises dans le royaume par M6. D’où le soutien indéfectible de Washington à cette dynamique.
La presse internationale n’a pas attendu long – temps pour mettre en exergue l’excellence des relations entre le Maroc et les Etats – Unis. Elle a, en effet, publié une série d’articles relatifs aux échanges d’émissaires de haut niveau entre les deux pays. Il est question notamment de la récente visite au Maroc de la secrétaire d’Etat, Mme Hillary Clinton, durant laquelle elle avait réitéré le soutien de son pays. Ce soutien américain, aux dires de Mme Clinton, irait à l’endroit des réformes engagées par M6 et du plan d’autonomie au Sahara.
La diplomate américaine a ainsi fait savoir que les réformes marocaines n’avaient pas attendu le ” Printemps arabe ” pour trouver leur expression sur le terrain. Selon elle, lesdites réformes devraient servir de ” modèle pour les autres pays de la région ” du Maghreb. Et Mme Clinton d’observer que ces réformes étaient ” porteuses de grandes promesses d’abord et avant tout pour le peuple arabe “.
Elle a révélé ceci : ” Au moment où certains pays adoptent une approche unidimensionnelle, Sa Majesté le Roi a initié des réformes globales aux plans économique, social et politique “.
Ces propos de Mme Clinton indiquent clairement qu’elle faisait désormais le distinguo entre la voie des réformes sur laquelle le Maroc s’était engagé résolument et de manière irréversible et la situation qui prévaut dan certains pays de la région arabe en proie à des soubresauts et à l’incertitude.
De ce qui est du plan d’autonomie proposé par le Maroc pour résoudre la question du Sahara, elle a profité de l’occasion pour réaffirmer le soutien de son pays. Elle a tenu à préciser que c’était là une position exprimée par les Etats-Unis depuis l’administration Clinton jusqu’à celle de Barack Obama, en passant par l’exécutif que dirigeait le président Georges W Bush. Avant de conclure : ” Nous avons veillé à souligner que le plan marocain d’autonomie était sérieux, crédible et réaliste, car, il constituait une approche potentielle à même de satisfaire les aspirations des habitants du Sahara et de leur permettre de gérer leurs propres affaires dans la paix et la dignité “.
Dans le même sens, Mme Clinton avait indiqué au ministre algérien des Affaire Etrangères ce point de vue. A ce dernier, elle avait encouragé Alger à une plus grande coopération avec le Maroc et à jouer un rôle actif dans le cadre des négociations qui se déroulent sous l’égide des Nations Unies en vue de trouver un règlement à la question du Sahara “.
B. Koné
Coopération militaire
Intervenant devant la presse, le Sous- secrétaire d’Etat adjoint américain chargé du Maghreb, Ray Maxwell, avait tenu à préciser que le dialogue stratégique Maroc-Etas Unis couvrirait tout un ”univers de questions d’intérêt commun”. Il a ainsi réitéré la volonté de son pays de consolider davantage la coopération militaire, fructifier encore plus l’accord de libre échange et promouvoir les investissements américains dans le secteur des énergies renouvelables au Maroc.
Ray Maxwell s’est félicité de ”l’excellente coopération entre le Maroc et les Etas unis dans les foras internationaux, notamment au sein du Conseil de Sécurité. Il a fait observer que leur partenariat réussirait toujours à s’élever au-dessus des contingences et des vicissitudes du temps. Partenariat traduit par l’entrée en vigueur en 2006 d’un accord de libre échange, l’unique en son genre signé par les Etas Unis avec un pays africain et la désignation du Maroc en tant qu’allié majeur des forces hors OTAN.
Bonne réception à Rabat
En juillet dernier, le ministre délégué aux Affaires étrangères et de la Coopération du Maroc, Youssef Amrani était en visite à Washington. De ses entretiens, il est ressorti une convergence de vue entre les deux pays sur les perspectives de développement des relations bilatérales.
Selon la presse, lesdits entretiens auraient été ”fructueux” et sur lesquels l’accent aurait été mis sur leur importance. Youssouf Amrani a ainsi indiqué que son pays était un ”partenaire écouté et respecté” parce que sa ”politique étrangère” était élaborée sur la base des ” principes”. En effet, il avait révélé chez ses interlocuteurs une volonté d’aller au-delà du cadre actuel en vue d’explorer le Maroc de nouvelles opportunités. Cette volonté va au-delà de ce qui existe déjà.
Sans oublier l’avenir. C’est combien dire que cette première session du dialogue stratégique (américano-marocain) viendrait consacrer une vision commune et une relation privilégiée.
Et l’histoire devrait retenir que l’engagement du Maroc aux côtés des forces alliées durant la seconde guerre mondiale n’était pas fortuit. Il y a aussi le choix délibéré du Maroc d’un système politique basé sur le multipartisme et l’économie de marché. Pendant ce temps, d’autres pays de la région se faisaient le chantre du parti unique. Printemps ou pas, il est aisé d’observer les mutations socio-politiques du Maroc. Un pays servant désormais de modèle. En tout cas, d’un partenariat sérieux et respectable.
Sahara marocain
Récemment, une importante délégation américaine s’est rendue au Maroc et en Algérie. Elle émanait de la fondation Kennedy. Au Maroc, elle a eu droit de visites dans toutes les villes souhaitées. A Laâyoune, par exemple, la délégation a pu s’entretenir avec les populations sans problèmes. Elle a rencontré d’anciennes victimes du Polisario qui ont retrouvé leur liberté en regagnant la mère-patrie.
Des témoignages ont été publiés par la presse. Par contre, dans les camps de Tindouf, en Algérie, ce fut l’omerta. Car, la police du Polisario veillait au grain. Cependant, contre toute attente, un rapport préliminaire de cette fondation est entrain de circuler. Pour les observateurs, ledit rapport serait émaillé complètement d’informations mensongères.
Toute chose qui ne surprendrait guère tous ceux qui savaient déjà le penchant des animateurs de la fondation envers les bandits du Polisario. Un militant sahraoui du nom de Mustapha Salma Ould Sidi Mouloud, indigné par les faux témoignages colportés dans le rapport, n’a pas caché sa désolation. En ce sens que de telles informations mensongères émaneraient d’une Organisation internationale dite des droits de l’Homme.
Rassemblés par B. Koné
😆 😆 😆 😆 et ils te mettent source : le malien 😆 😆 vous en avez pas marre de faire du copier coller sur les autres journaux !!! 😯
ok si vous copiez des articles sur le mali ca se comprend !!! mais par pitié que vient faire un article de propagande de la presse a scandale du makhzen marocain contre l’Algérie et le polisario ici !! est-ce que ca interesse vraiment les maliens ❓ ❓ , vraiment la nullité des journaleux maliens n’a pas de fond
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