Le processus de désarmement des soldats l’ex-Régiment de sécurité présidentielle est à l’arrêt. Le gouvernement affirme qu’un groupe de soldats fidèles au général putschiste Gilbert Diendéré refuse toujours de déposer les armes, alors que ce corps d’élite a été dissous par un décret et les personnels réaffectés dans d’autres unités de l’armée burkinabè. Lundi, la présence de soldats loyalistes dans des rues de Ouagadougou a semé la panique au sein de la population.
Une folle rumeur faisant état de l’imminence d’un assaut des forces loyalistes sur le camp Naba Koom 2, où sont cantonnés les soldats du Régiment de sécurité présidentielle (RSP), a semé la panique dans la capitale. La psychose s’est installée et cinq heures avant l’heure du couvre-feu, les rues étaient désertes. Des patrouilles de l’armée et de la gendarmerie ont sillonné certains quartiers de la ville.
Un peu plus tôt dans la journée, le gouvernement de la transition avait dans un communiqué dénoncé le « refus » de l’ex-Régiment de sécurité présidentielle de poursuivre le processus de son désarmement, timidement entamé en fin de semaine dernière. Les hommes du général Gilbert Dienderé exigent toujours des garanties de sécurité pour eux et leurs familles.
Le général Djibrill Bassolé à la manœuvre ?
Selon le gouvernement de transition, cette remise en cause du processus de désarmement est l’œuvre d’une poignée « d’éléments putschistes, instrumentalisés par le général Diendéré, appuyé désormais par le général Djibrill Bassolé », candidat recalé pour la prochaine présidentielle.
Il faut boté Bassolé, après toutes ces années dans la reigne auprès de Blaise il veut toujour s mêler aux affaire politique.
Ces eux qui ontdestabilisés le Mali en faisant croir qu’il est médiateur.
A mon humble avis le Burkina ne peut pas se permettre le luxe de dissoudre ce corps de marines (des marines, c'est ce que sont les RSP) a un moment ou la menace terroriste plane sur toute la region sahelienne de l'Afrique. Il faut tout juste un recadrage de ses missions (au besoin les relocaliser hors de la capitale) et systematiquement changer la hierarchie (ce qui permettrait a de jeunes competants de monter en grades)!
A mon humble avis le Burkina ne peut pas se permettre le luxe de dissoudre ce corps de marines (des marines, c'est ce que sont les RSP) a un moment ou la menace terroriste plane sur toute la region sahelienne de l'Afrique. Il faut tout juste un recadrage de ses missions (au besoin les relocaliser hors de la capitale) et systematiquement changer la hierarchie (ce qui permettrait a de jeunes competants de monter en grades)!
Entre ce qui est normal et ce qui est logique il y a parfois le filtre qui s’intercale. Ce refus se trouve être logique par des décisions et déclaration inappropriées que la Transition et son président a pris.
On n’humilie pas une armée. On se réconcilie avec elle pour le bonheur de la République.
VIVE LA REPUBLIQUE.
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