Le lieutenant-colonel Paul-Henri Sandaogo Damiba a été investi président ce mercredi matin. Le leader du Mouvement patriotique pour la sauvegarde et la restauration, qui a pris le pouvoir par coup d’État le 24 janvier, avait déjà été déclaré président en février par le Conseil constitutionnel. Vingt-quatre heures après l’adoption d’une charte de transition, la cérémonie officielle de son investiture a donc été organisée. Une cérémonie très sobre.
La cérémonie, très sobre, s’est tenue dans la salle des banquets de Ouaga 2000. Le local, qui depuis des mois accueille le tribunal militaire pour le procès des assassins de Thomas Sankara, a été aménagé pour l’occasion et paré des couleurs nationales du Burkina, le vert et le rouge. Sur les murs, des cartes du pays entourées de mains protectrices.
Il y avait environ 700 invités présents, pas de chefs d’État étrangers, mais des délégations de diplomates et surtout les représentants des corps constitués : partis politiques, les syndicats, mouvements de jeunesse, de femmes ou encore les leaders religieux et communautaires.
Lors de cette cérémonie, le nouveau président est resté silencieux… Une volonté affichée dès le départ et l’investiture a été courte. Le lieutenant-colonel Damiba a reçu du Grand maître des Ordres du Burkina le collier qui symbolise la présidence… Puis l’hymne national a retenti et après félicitations de rigueur le rideau est retombé.
On est donc loin, de la dernière investiture présidentielle : en décembre 2020, Roch Marc Christian Kaboré avait choisi le Palais des sports pour l’évènement et une dizaine de chefs d’Etat africains s’étaient déplacés. « Mais il s’agissait là d’un président élu ! » rappelle un observateur de la vie politique burkinabè.
Pour certains, le lieutenant-colonel Damiba aurait donc choisi la sobriété, conscient du caractère exceptionnel de son régime. En signant la Charte de transition lundi, il s’est en tout cas engagé à ne pas se présenter à l’élection présidentielle qui mettra un terme à cette période d’exception.
Il n’y a eu aucune prise de parole et c’est une très bonne chose, a estimé Auguste Mohamed Koumsongovo, président de l’organisation Sauvons le Burkina. L’heure n’est plus aux mots, place à l’action, a-t-il conclu.
😊LES CIVILS REPRESENTENT LE PLUS LARGE RERVOIR DE CHOIX PARMI LES LARBINS FORMÉS, PRÉSIDENTIABLES SELON LA DEMOCRATIE OCCIDENTALE😊
😎NOTREDEMOCRATIE DEVRAIT PERMETTRE AUX MILITAIRES UNEPARTICIPATION À TOUTES LES AUTORITÉES À PAS MOINS DE 55% ET LES CIVILS PAS PLUS DU RESTE! NOS BUDGETS DARMEMENT DEVRAIENT CROITRE😎
I would like to wish President Paul- Henri Sandaogo Damiba plus people of Burkina Faso practical Greater Good continuous actions under President Damiba leadership.
May we not only solve our security problems but may we also in steps plus stages advance development of world class modern living infrastructure that will allow Burkinabes to achieve world class modern education plus be all good they may be.
Soon Negroid African Julu Religion that once led us to be of every level of greatest human empire to exist Mongol Empire will return to Africa plus meaningfully contribute to leading Negroid Africans to be all they may be. One party African democracy under method of timely practical Greater Good perception, planning plus actions will be our vehicle to great living conditions with security. Using practical Greater Good method prevent us from taking stupid important actions. Stupid important actions have for decades been taken by Negroid African keaders following ways of outdated acts of culture plus religions that have failed to properly evolve plus not fitting for challenges set by developed world. Being practical help us perceive fitting adjustments that need be made plus why. Thereof resulting to we perform best possible as feasible under total circumstance. That is passage to useful modern day victories plus better living. We deserve them.
Henry Author Price Jr aka Kankan
Comments are closed.