BISSAU (AFP) – (AFP) – Quelque 70 soldats du Burkina Faso sont arrivés jeudi à Bissau, premiers éléments de la force ouest-africaine qui doit se déployer à partir de vendredi en Guinée-Bissau, un peu plus d’un mois après le coup d’Etat du 12 avril, a constaté un journaliste de l’AFP.
Ces hommes sont arrivés à bord d’un avion civil de la compagnie Air Burkina et ont été accueillis par des officiers de la police et de l’armée bissau-guinéennes, ainsi que par des représentants de la Communauté économique des Etats d’Afrique de l’Ouest (Cédéao) et de l’ONU.
Ils ont embarqué dans des camions qui doivent les transporter à Cumere, à 35 km de Bissau, dans des casernes de l’armée bissau-guinéenne récemment rénovées.
Juste avant leur arrivée, la Cédéao avait annoncé qu’elle allait déployer une mission forte de 629 hommes en Guinée-Bissau “pour relever les militaires angolais (et) soutenir la restauration de l’ordre constitutionnel”.
C’est la présence d’une mission militaire angolaise (Missang) en Guinée-Bissau qui a officiellement motivé le coup d’Etat des militaires, le 12 avril, ces derniers accusant depuis des mois l’Angola de soutenir les autorités renversées et de poursuivre des ambitions colonialistes.
Les quelque 600 soldats angolais devraient avoir quitté la Guinée-Bissau le 30 mai.
L’arrivée des premiers soldats de la Cédéao a eu lieu le jour de l’investiture du nouveau Premier ministre de transition, Rui Duarte Barros, qui a été nommé mercredi par le président de transition, Manuel Serifo Mhamadjo.
M. Mhamadjo, dissident de l’ex-parti au pouvoir, le Parti africain pour l’indépendance de la Guinée et du Cap-Vert (PAIGC), est le candidat qui avait été proposé par les putschistes pour présider la transition d’un an, tandis que M. Barros a été ministre des Finances d’un ex-président devenu principal opposant, Kumba Yala, au début des années 2000.
La Cédéao, qui avait condamné le coup d’Etat, a finalement accepté les dirigeants de la transition et exclu tout retour au pouvoir de ceux qui ont été renversés, le président intérimaire Raimundo Pereira et l’ex-Premier ministre Carlos Gomes Junior, en exil, qui ne reconnaissent pas les nouveaux dirigeants.
AFP
17:54 – 17/05/12
on ne veux pas des militaire au pouvoir, leur place c’est au front ➡
Cher participant de maliweb vous savez on a trop parlez voila ce que je propose a partir d’aujourd’hui si on peut toust reagir a toute sorte d’article publier sur maliweb meme le journal de maliweb et tout autre cite de ce genre a dire seulement « ON VEUX LA LIBERATION DU NORD ABAT LA TRANSITION ABAT LE POUVOIR SEULEMENT LA LIBERATION DU NORD » C’EST une PROPOSITION si quelqu’un a un autre solgant meilleur que ca qu’il propose je veux qu’on passe toute la journee la nuit a envoye ce meme solgant au tant qu’on peu a chaque munite a chaque instant a tous les article j’espere je me fait comprendre. essayons cela voir et arretons de commente quoi que se soit qui est poste sur maliweb svp!svp! pour l’amour de DIEU
Par la grace de Dieu, nous avons des hommes qui n’attendent que la volonté politique, la mise en confiance, l’union sacrée des maliens. On est jamais roi chez soi dit-on!!! Quand je vois ces images et certaines réactions j’ai mal, o a oublié le processus qui a fragilisé nos forces et on refuse de nous rémettre en cause et uir os forces. Lorsqu’on va comprendre que ce qu’on cherche ailleurs se trouve à notre portée, il sera trop tard. Comment des pays qui ont les memes problèmes que nous peuvet pretendre nous tirer de ce drame mieux que nous meme? Regardez ailleurs ( Congo, Haiti, Cote d’Ivoire, Darfour, et meme les anciens sites ou pays qui ont abrité des missios). Ils sot toujours obligés de compter sur leurs propres forces de sécurité. Ca e marche pas comme ça. Si dejà la CEDEAO était arrivée pour faire le point avec notre armée et commencer à savoir de quels moyens nous avons besoin, on serait rassuré. Mais à ce rythme, nous allons continuer à nous entre dechirer au lieu de faire face aux problèmes réels. Hier lorsque j’ai vu les covois du HCI das les villes du nord, j’ai eu ue lueur d’espoir. Oublions nos divergences, le temps de faire face à la situatio du nord et preparons nos forces avec l’appui de la Communauté Internationale
Le médecin personnel des putschistes a prescrit à Sanogo Haya d’éviter les bérets rouges. Il est mortellement allergique aux bérets rouges. Les bérets rouges (voire la couleur rouge) sont formellement interdits dans un rayon de 600 à 700km au tour de Kati.
Ces soldats d’élite m’ont rappellé les notres lors des défilés du cinquantenaire du Mali.
L’ARMEE malienne était la plus redoutable de la sous région, la meilleure.Elle traverse un moment difficile, certe, mais surmontable pour liberer le territoire national.
Que le bon DIEU nous apporte l’Unité, le Pardon et la Réconciliation au sein de notre vaillante Armée.
PARDONNONS NOUS MALIENS (Militaires, populations). LE PARDON est une qualité fondamental du MALIEN
Merci Fakoli, vous faites preuve de sagesse et d’esprit patriotique. Si nos hommes politiques pouvaient s’e inspirer!!!
Regardez! ils sont berets rouges comme moi! Mais nous on tue les notres. Qui va ton envoyer dans les futures missions de la CEDAO?
Non sans blague, venez vite chez nous. Nous qui avons echappe, nous allons etre a vos cotes pour restaurer la democratie au MAli
On attend notre dose ,au secours !
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