Le Premier ministre burkinabè, Dr Apollinaire Joachimson Kyélem de Tambèla, a accueilli une délégation de la Banque Africaine de Développement (BAD) conduite par M. Désiré Guedon, administrateur représentant le Burkina Faso au conseil d’administration de la BAD.
M. Désiré Guedon a indiqué, à sa sortie d’audience, que les échanges avec le Premier ministre, Dr Apollinaire Joachimson Kyélem de Tambèla, ont permis de faire le point des relations entre la BAD et le Burkina Faso.
« En tant qu’administrateur représentant le Burkina Faso, j’ai le devoir et l’obligation, chaque fois que possible, de venir faire le point aux autorités qui m’ont mandaté, et c’est pourquoi je suis ici au Burkina Faso pour faire le point des relations entre la Banque africaine de développement et le Burkina Faso », a-t-il déclaré.
Il a partagé avec le Premier ministre l’avancement positif des projets en cours et a exprimé sa fierté quant à la qualité de leur exécution.
L’administrateur a également mis en avant l’excellente collaboration entre la BAD et les autorités burkinabè, particulièrement avec le ministère des Finances, pour une coordination efficace des projets.
Il a noté que la BAD est pleinement engagée à soutenir le Burkina Faso dans sa démarche de développement durable, en veillant à ce que les résultats bénéficient concrètement aux populations locales.
Le Premier ministre a, pour sa part, réaffirmé la détermination de son Gouvernement à bâtir un Burkina Faso fort, malgré les défis.
Il a appelé à un engagement accru de la BAD dans la concrétisation des projets de développement.
Pour lui, il est crucial que l’Afrique cesse d’être la risée des autres et prenne son destin en main.
Dr Kyélem de Tambèla a illustré son propos par des exemples concrets de réussites agricoles locales, comme la production de cacao, qui démontre le potentiel caché du Burkina Faso.
« On nous a fait croire que le cacao ne pouvait pas pousser au Burkina Faso. Mais depuis notre arrivée, nous avons constaté que le cacao prospère ici. On nous a fait croire qu’il n’y avait rien ici, pourtant le pays regorge de ressources », a-t-il expliqué.
Le Chef du Gouvernement a, du reste, souligné l’importance de la solidarité africaine et la nécessité de rejeter les manipulations extérieures qui divisent les Nations africaines.
« Nous devons nous unir et regarder dans la même direction », a-t-il insisté.
À cet égard, il a évoqué des initiatives telles que la Confédération des États du Sahel, avec l’espoir de parvenir à terme à une fédération des États, qui pourrait devenir un modèle d’union pour le continent africain.
« C’est dans cette logique que nous travaillons ensemble, car nous partageons le même destin. C’est d’ailleurs dans ce sens que nous avons commencé, étape par étape. Nous avons créé l’Alliance des États du Sahel, puis la Confédération des États du Sahel, et nous tendons maintenant vers la Fédération des États du Sahel. Si cela aboutit, ce sera un point de départ pour l’Union. Plutôt que d’appartenir à une CEDEAO manipulée de part et d’autre, financée par les impérialistes qui nous exploitent. La CEDEAO n’a même pas été capable d’amener deux pays à s’unir », a-t-il indiqué.
Dans son propos empreint de détermination, le Premier ministre a exprimé son souhait de voir émerger un Burkina où la santé et l’éducation sont accessibles à tous.
S’inspirant d’exemples internationaux comme celui du Nicaragua, il a déclaré que le Burkina Faso a les moyens d’atteindre ces objectifs ambitieux. « Le peuple ne demande que cela », a-t-il affirmé, évoquant la disparité entre une minorité riche et une majorité en quête de meilleures conditions de vie.
Dr Apollinaire Joachimson Kyélem de Tambèla a enfin conclu en appelant la BAD à orienter ses financements de manière stratégique, pour que les projets répondent aux priorités du pays en matière d’éducation, de logement et d’industrialisation.
Ecrit par Benoit NABI
Source : Net Afrique
MAis mon “cher” Kinguiranke,
Il a été capable de quoi cet appolinaire ?
Il n’est même pas foutu de contrôler son pays
La CEDEAO est un instrument pour mettre au pas nos 15 pays qui sont intégrés dans cette organisation dont les vrais composants n’arrivaient pas à s’acquitter de leur cotisation pour assurer le fonctionnement de l’organisation de façon correcte, à ce titre, elle se tournait vers les pays occidentaux et la Chine pour garantir son fonctionnement, étant donné que le principe de qui paye commande est indiscutable, c’est ces occidentaux qui poussaient l’organisation à prendre des décisions impopulaires contre les peuples de cet espace. La CEDEAO est aujourd’hui un instrument des occidentaux pour dire aux autorités de l’espace, faites ce que nous nous voulons.
Les nouvelles autorités du Burkina Faso savent qu’avec le courage et la détermination des braves fils d’un pays, on peut cultiver le coton dans le désert et avec de braves fils tout est possible dans un pays. La confédération de l’AES sera une réalité si et seulement si, les fils des deux autres pays font comme le Burkina Faso, en refusant des slogans inutiles et en se focalisant sur le travail et en mettant l’homme qu’il faut à la places qu’il faut. Cessons de tricher pour les nominations aux postes de responsabilités, sinon le Mali ne sera jamais debout.
Tu as raison que le Mali est rempli de sacs vides, des voleurs, des écervelés et des nègres de maison pour la tres maudite France. Moi je pense que c’est la leçon que l’AES est en train de nous faire voir a travers nos freres Burkinabe et Nigeriens. Coulibalyke nous n’avons pas le choix nous allons changer et être des vrais travailleurs pour apporter notre contribution a l’édification de l’AES.
Tjrs dans les accusations infondées il faut travailler et sortir des ces propagandes
Dr Apollinaire Joachimson Kyélem de Tambèla a enfin conclu en appelant la BAD à orienter ses financements de manière stratégique, pour que les projets répondent aux priorités du pays en matière d’éducation, de logement et d’industrialisation.
ADIEU LA FRANCEDEAO===ADIEU LA FRANCAFRIQUE===ADIEU LA FRANCOPHONIE==VIVE LA CONFEDERATION DE L’AES