Le Maroc a pris son envol suite aux différentes avancées positives constatées dans divers domaines de développement socio-économique, politique, culturel, etc. Un constat fait par Sa Majesté le Roi Mohammed VI dans son discours à la Nation lors du 61ème anniversaire de la révolution marocaine. Occasion pour le Roi de passer au peigne fin les stratégies sectorielles et leurs résultats concerts qui ont beaucoup contribué à la mise en application de la vision royale pour le repositionnement de l’économie nationale.
Le Royaume du Maroc a célébré avec brio le 61ème anniversaire de la révolution du Roi et du peuple. Occasion pour Sa Majesté le Roi Mohammed VI, dans son discours à la Nation, de dresser le tableau élogieux d’un pays dont les avancées positives accumulées en matière de capitalisation lui permettent d’être dans le concert des pays émergents. Une réussite d’ailleurs axée sur les ressources humaines.
Au cours des quinze dernières années, sous la clairvoyance de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, le Maroc s’est montré plus engagé pour prendre un nouveau départ dans la construction du pays. Cela s’est matérialisé par la mise en œuvre de plusieurs réformes politiques et institutionnelles. Ces réformes ont permis au royaume de booster l’économie du pays à un niveau considérable dont il n’a rien à envier aux pays dits émergents.
Dans son intervention, le Roi Mohammed VI a dressé le bilan des différentes stratégies sectorielles qui ont contribué et facilité la mise en œuvre de sa vision globale. Une vision à la base du repositionnement de l’économie marocaine sur le plan régional et mondial.
Aujourd’hui, le développement du Maroc a atteint l’âge de maturité.
Pour maintenir cet équilibre, le Roi Mohammed VI envisage la mise en place des groupes forts et des entreprises puissantes afin de doter le pays des ressources humaines de qualité, socle de tout développement. Car, sans les ressources humaines efficaces, la bonne gouvernance, l’appareil judiciaire et l’administration restent cloués au sol. Cette stratégie ressort de la responsabilité de tous les Marocains pour le renforcement du rôle capital de l’Etat dans le cadre de régulation et d’organisation engagées avec audace au sein des grandes réformes, surtout en matière de régimes de retraite et de fiscalité. Aussi, une attention particulière règne sur l’application des règles de bonne gouvernance dans tous les secteurs.
Dans le développement du pays, les organisations syndicales ont joué aussi un grand rôle au cours des 15 dernières années, dans la consolidation de la paix sociale par la défense des intérêts sociaux et économique de la classe ouvrière. Celles-ci doivent continuer sur cette lancée tout en remplissant leurs obligations nationales qui leur échappent surtout en matière d’édification, de réforme et de consolidation de la paix sociale.
La santé, l’éducation, la culture sont, entre autres, des domaines qui ont occupé une place importante dans la mise en œuvre des chantiers de développement du Royaume du Maroc.
A travers ces différents secteurs, les jeunes, étant l’avenir du pays, ont joué pleinement leur partition dans l’avancée du Maroc vers les pays émergents. Pour preuve, le développement de certains pays émergent s’est manifesté à travers l’écart d’âge entre les couches sociales.
Et aujourd’hui, le souhait le plus ardent du Roi Mohammed VI est de coller le développement du pays à l’amélioration des conditions de vie des Marocaines et des Marocains. Cela, pour barrer la route à l’illégalité. Que les riches ne continuent pas de s’enrichir et que les pauvres ne s’appauvrissent pas davantage. D’où la naissance des programmes et de l’initiative nationale pour le Développement humain. Une expérience réussie d’ailleurs avec brio par beaucoup de pays car prenant en compte le volet social des plans sectoriels.
Sursaut d’orgueil chez les Marocains qui sont prêts aujourd’hui à gagner le pari pour s’illustrer dans les rangs des pays émergent vu les nombreuses ressources que possèdent le pays.
B.Koné