Réformes politiques et institutionnelles : Que faut-il attendre du régime

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Notre pays est-il en train de se dégager du bourbier ? Des observateurs prédisent le meilleur en répondant par l’affirmative. Pour ceux-ci, les actes posés par les gouvernements respectifs, en matière de réformes politiques et institutionnelles, sont sans doute, des indications encourageantes sur l’avenir du Mali. Depuis l’élection du président de la République, Ibrahim Boubacar Keïta, beaucoup de lois ont été votées par l’Assemblée nationale, dans le but de changer le quotidien des Maliens. Si ces lois sont promulguées, la situation de notre pays pourrait s’améliorer avant la fin du quinquennat d’IBK. Mieux, le Mali a des chances à l’horizon 2018 de figurer parmi les pays émergents de la sous-région ouest-africaine voire du continent.  

Dans une de ses adresses à la nation, le président de la République disait aux Maliens que « le meilleur est à venir ». Et cela est en train, de plus en plus, de se confirmer par la multiplication des réformes politiques et institutionnelles.

Du vote du statut de l’opposition à celui de la loi sur le genre, en passant par les lois sur la programmation militaire et le budget 2016, suivies de la politique nationale de la migration et la suspension des exonérations sur l’importation des matériaux de construction…, ces différentes réformes ont un point commun : Faire du Mali, un pays émergent.

 

En politique, trois lois ont marqué l’attention des observateurs, notamment le statut de l’opposition,  et la Haute autorité de la communication (HAC). Cette dernière a été créée par l’ordonnance n°2014-006 du 21 janvier 2014. La Haute autorité de la communication devrait contribuer à la professionnalisation du secteur des médias. C’est un organe indépendant qui a pour mission de réguler le secteur de la communication au Mali. Notamment dans les domaines de l’audiovisuelle, de la presse écrite, de la presse en ligne et de la publicité par voie de presse. A cet effet, elle devra autoriser la création des services privés de radiodiffusion et de télévision ainsi que l’installation et l’exploitation des services privés de communication audiovisuelle.

Depuis quelques mois, ses membres ont prêté serment devant la Cour suprême. Mais cette structure qui suscite beaucoup d’espoir, est toujours un « SDF » (sans domicile fixe). Ce qui n’est pas de nature à assurer ni les professionnels des médias, encore moins ces personnalités (les membres de la HAC) censées apporter un changement dans le paysage médiatique malien.

Aussi,  on a noté le vote par l’Assemblée nationale de la loi instituant des mesures pour promouvoir le genre dans l’accès aux fonctions nominatives et électives. C’est une loi qui avait provoqué une véritable levée de boucliers des musulmans du Mali. Et pour cause : si la loi est promulguée, il y aura en 2018, au moins 44 femmes députées contre 14 sur 147 ou au plus 103 à l’Assemblée nationale et 3 232 conseillères communales au lieu de 927 sur 10 774. Mais cette loi n’a pas encore été promulguée. Et du coup, le nouveau gouvernement s’est abstenu de s’y référer. Sinon, il pourrait y avoir au moins 11 femmes ministres au lieu de 6 sur 32 dans le gouvernement actuel.

 

Quant à la loi portant statut de l’opposition politique, elle a été votée le 19 février 2015 et promulguée par le président de la République le 4 mars 2015. Elle octroie à l’opposition de moyens politiques, juridiques et financiers lui permettant d’exercer son rôle et de garantir ses droits. C’était une promesse du président de la République, Ibrahim Boubacar Keïta, lors de la présidentielle de juillet 2013. Mais depuis la promulgation, la question de sa mise en œuvre demeure toujours un goulot d’étranglement dans la mesure où le chef de file de l’opposition n’a pas encore son cabinet conformément à ladite loi.

 

S’agissant du domaine de la sécurité, il a été adopté en mai 2015, la loi d’Orientation et de Programmation Militaire. Plus de 1230 milliards de FCFA sont prévus sur quelques années pour mettre l’armée malienne sur les rails. La Loi de programmation militaire, est une loi visant à établir une programmation  pluriannuelle des dépenses de l’État en matière militaire. Cette loi  a pour objet de déterminer, pour une durée de plusieurs années, le montant et l’affectation des sommes de l’État en matière de dépenses militaires. Les 1230 milliards de FCFA, représentent un peu plus de 20% du budget national. La durée de sa mise en œuvre est de cinq ans (2015 – 2019).

 

Pour la promotion des industries locales, le gouvernement avait annoncé, en octobre dernier, la suspension des exonérations sur l’importation des matériaux de construction. Une mesure vivement saluée par l’Organisation patronale des industriels (OPI), qui a encouragé le gouvernement à poursuivre ses efforts visant à protéger les industriels nationaux.

Les exonérations sur l’importation des matériaux de construction tels que le ciment, le fer à béton, la peinture, les carreaux… ont été suspendues… Bref autant de réformes qui peuvent amorcer la croissance du Mali.

 

Enfin, le budget 2016 est révolutionnaire. Le Mali vient de dépasser, pour la première fois, les 2000 milliards de FCFA. Les recettes des impôts et des douanes ont connu une explosion.

En plus de ces réformes, l’accord de paix d’Alger prévoit une panoplie de textes et même une révision constitutionnelle afin d’accélérer le développement voire l’émergence de notre pays. Mais le hic ? C’est la mise en œuvre de ces différentes reformes. Le fait de voter les meilleures lois, ne suffit pas à propulser une nation sur le toit du monde. Il faut plutôt avoir le courage et la détermination de les mettre en œuvre.

Idrissa Maïga

 

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44 COMMENTAIRES

  1. Aussi longtemps que les textes de reforme restent endormi dans des tiroirs et qu’aucun chantier d’envergure n’est mis à jour, nous demeurons garder en mémoire les faits et gestes du regime démocratique precedent qui a le mérite de lancer et d’achéver des chantiers de developpement don’t l’actuel locataire de Koulouba se fait plaisir (tout à son honneur, l’administration etant une continuité). Donc veuillez montrer les actes et arréter les balivernes médiatiques. les media doivent aider bcp plus la population à s’émanciper au lieu de tenir le gobelet pour un gouvernement qui a d’autres moyens bcp plus visibles de se voir (ses actes quotidiens). La presse doit jouer son role de 4ème pouvoir et non d’accompagner aveuglement.

  2. Le cadre institutionnel est bien défini à travers les différentes reformes entreprises. Il suffit donc de mettre en exécution pour que vraiment notre société puisse avoir un nouveau visage.
    La mise en œuvre concrète passe par une réelle volonté politique ce qui véritablement ne manque pas à nos autorités

  3. Notre pays a accumulé des difficultés de tous ordres pendant plusieurs années mais des personnes à l’expérience et à la sagesse reconnue de tous comme le président IBK et le premier ministre Modibo sont les mieux indiquées pour pour nous sortir de cette situation. Il sont sur la bonne voie. Nous devons être patient et attendre qu’ils finissent le travail qu’ils ont commencé.

  4. Vraiment il faut que la HAC puisse rentrer en plein exercice pour pouvoir réguler ce secteur si important dans la vie d’une nation car n’est pas journaliste qui veut et de nos jours on constate que plusieurs personnes deviennent ” journalistes” sans même connaitre les fondements du métier.

    • Je pense que le président de la république doit donner plein pouvoir à la haute autorité de la communication afin qu’elle puisse vraiment réguler notre presse afin qu’elle puisse éviter toutes les dérives qu’on a pu observer. Il y a des articles qui paraissent avec des fautes incommensurables, illisibles et ça ce n’est pas digne de notre presse.

  5. On ne promulgue pas des lois pour avoir la sympathie de qui que ce soit c’est une question qui concerne la population et c’est le devoir de nos autorités.
    Il faut que ces lois puissent être mis en application pour mettre fin à certaines situations.

  6. Le Mali est appelé à devenir un pays encore plus respecté que ce qu’il est aujourd’hui et pour un plus grand respect du pays ; il faut que ce genre de lois soient votées car elles permettent aux femmes de montrer aussi leurs compétence s et de participer à l’essor du pays.

  7. Je salue le président de la république et par ricochet l’assemblée nationale pour l’adoption de cette loi qui offre un nouveau statut à la femme et lui confie plus de responsabilité. C’est une avancée notable et il convient de l’apprécier à juste titre. Merci IBK pour ce que tu fais pour les femmes.

  8. On demande à la population de rester toujours dernier IBK, car avec lui le Mali connaitra une bruyante évolution sur tous les plans, selon le président de la CMP, d’une réforme majeure qui tire sa justification de l’obsolescence et de l’inadaptation des équipements militaires et qui vise à améliorer la capacité opérationnelle de l’armée malienne.
    Malgré tous les dispositifs pris par le chef d’Etat, l’opposition continue de faire des reproches qui ne sont même pas fondés sur la réalité concrète du pays.
    😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀

  9. Rien n’a reproché au président IBK, car son intervention a l’ORTM et AFRICABLE concernant le bilan de ses deux ans à la tête de la magistrature suprême, nous montre que le président de république a un bilan extraordinaire malgré les critiques faites par l’opposition. ❗ ❗ ❗

  10. Entant que fils digne de ce pays, il faut qu’on se donne la main pour bâtir un Etat qui nous appartient, car personne ne viendra faire cela à notre place.

  11. Monsieur le journaliste, la cohésion sociale est l’unique chose la plus extraordinaire, mais il est difficile de le faire, car l’intention de chacun de nous ne sont pas les mêmes.

  12. Le bilan du président IBK est extraordinaire, mais malgré tout cela certains veulent nuire à la gouvernance d’IBK, comme l’opposition et certains journalistes, on leurs demandes d’arrêter les critiques car, ça ne changera jamais la situation du pays.

  13. Concernant la gestion équitable du pays, tout le monde devrait assurer sa responsabilité en commençant par l’opposition, et les partis politiques.
    Nous devrons croire au régime en place car, il fait tout satisfaire les besoins de la population.

  14. IBK est pour la bonne gouvernance c’est pourquoi il veut tout mettre en oeuvre pour éradiquer la corruption de notre société. Cela représente un réel frein de développement et il a jugé bon de mandater les nouveaux magistrats de mettre un accent particulier sur la corruption.
    Ils doivent savoir que le Mali sera émergent comme l’a promis le président mais les maliens sont -ils prêts pour cette émergence qui demande beaucoup de sacrifice.

  15. Je me demande ce que veut la HAC. La presse a fuit sa responsabilité depuis belle lurette et ne saurait rien pour laver cette image. Elle désinforme son peuple au lieu de l’informer sans à la solde de l’opposition malveillante

  16. Le président a favorisé la liberté d’expression avec l’opposition mais elle me manque pas d’occasion de l’injurier et le traiter de tous les noms. L’opposition fait de la politique de ventre donc ils agiront toujours ainsi et c’est le peuple qui en souffrira

  17. On demande à la population de rester toujours dernier IBK, car avec lui le Mali connaitra une bruyante évolution sur tous les plans, selon le président de la CMP, d’une réforme majeure qui tire sa justification de l’obsolescence et de l’inadaptation des équipements militaires et qui vise à améliorer la capacité opérationnelle de l’armée malienne.

  18. Rien n’a reproché au président IBK, car son intervention a l’ORTM et AFRICABLE concernant le bilan de ses deux ans à la tête de la magistrature suprême, nous montre que le président de république a un bilan extraordinaire malgré les critiques faites par l’opposition.

  19. Les institutions financières FMI et autres approuvent le mode de gestion de notre finance et prévoit une croissance de 5,7%. Cette croissance rejaillira sur la population mettant fin aux souffrance de nos parents.

    • Est – ce les institutions financières FMI et autres qui gerent ton pain quotidien pour lequel tu lève tous les matins très tot et rentres tard. Soyons maîtres de notre destin et apprècions nous memes notre niveau de devéloppement ou de decadence et donnons les moyens de réussir.

  20. Les journalistes doivent comprendre qu’un président est jugé sur 5 ans et non 2 ans. Nous pouvons dire que le bilan est positif dans la mesure notre économie est assainie et les actions de développement se posent, nous ne pouvons qu’être fiers du président.

  21. Je suis fier de ce acte posé par IBK. Cette prise de conscience doit être universelle au sein du Mali. Tous les militants du RPM doivent soutenir le chef de l’Etat.

  22. Nous avons toujours eu confiance en IBK et nous continuerons d’avoir confiance en lui car les actes qu’il pose prouvent une qu’il est une personne digne de confiance.
    Il ne cesse de se battre pour améliorer les conditions de vie de ses compatriotes.
    Nous pensons qu’il est vraiment l’homme qu’il faut à la tête du Mali.

  23. Au Mali, les hommes politiques font de la politique du ventre. Ils partent là où cela leur arrange. Aucun politique digne de son idéologie ne trahira jamais son parti politique quelle que soit la cause.
    Ibrahim Boubacar Keita, lors de sa visite en troisième région, a manifesté sa déception face à son entourage, la majorité présidentielle. Il a eu à soulever certains points dans leur réaction.

  24. Les actions de développement menées par IBK sont nombreuses et sont à encourager car sans paix tout projet de développement est un échec. IBK a mis un point sur la lutte contre la corruption, la création d’emploi pour les jeunes.

  25. IBK est à saluer et féliciter pour ses efforts pour la paix et la construction des infrastructures offertes aux différentes localités de la région Ségovienne. C’est un bâtisseur dont nous avons besoin ici au Mali.
    Certes, il y a eu des morts cela ne peut montrer inefficacement du président.

  26. La population malienne doit rester confiante car le gouvernement met tout en place pour instaurer une paix et une stabilité durable et maintenir la véracité et la crédibilité de l’accord de paix.

  27. L’année 2016 est une année de grand défis et le président et son gouvernement feront tout pour améliorer le quotidien du peuple malien. Les choses sont entre de bonnes mains et nul ne pourra dire le contraire car IBK est le seul maître aux commandes

  28. Comment pouvez-vous parler de mauvaise gestion pendant que les salaires, bourses et autres charges sont régulièrement versés et dans le temps. Mieux, et selon des hauts cadres des milieux financier et économique, les finances publiques n’ont jamais aussi bien géré que ces temps-ci. En tout, cas ceux-là qui opèrent dans le secteur des activités économiques ne diront pas le contraire. L’argent du contribuable n’est plus utilisé comme par le passé. Tous ceux qui s’aviseraient à contourner les principes rigoureux de gestion des ressources publiques l’apprendront à leur dépend. Le chef de l’Etat a donné des orientations claires et nettes pour le traitement des dossiers sans aucune interférence sur la justice qui n’a jamais libre que maintenant. Les diverses interpellations de ces derniers temps et tous ceux qui attendent de l’être, sur la question des détournements de fonds publics constituent des avertissements.

    C'est avec IBK que le pays connaîtra un changement digne de son nom.

  29. Comment pouvez-vous parler de mauvaise gestion pendant que les salaires, bourses et autres charges sont régulièrement versés et dans le temps. Mieux, et selon des hauts cadres des milieux financier et économique, les finances publiques n’ont jamais aussi bien géré que ces temps-ci. En tout, cas ceux-là qui opèrent dans le secteur des activités économiques ne diront pas le contraire. L’argent du contribuable n’est plus utilisé comme par le passé. Tous ceux qui s’aviseraient à contourner les principes rigoureux de gestion des ressources publiques l’apprendront à leur dépend. Le chef de l’Etat a donné des orientations claires et nettes pour le traitement des dossiers sans aucune interférence sur la justice qui n’a jamais libre que maintenant. Les diverses interpellations de ces derniers temps et tous ceux qui attendent de l’être, sur la question des détournements de fonds publics constituent des avertissements.

    C'est avec IBK que le pays connaîtra un changement digne de son nom.

  30. Notre cher pays fut trop affecté par le terrorisme ce qui a engendré une insécurité universel durant tout au cour de l’année 2015. Par contre, l’année 2016 peut être quasiment différente de cette année si toutes les dispositions seront prises pour lutter contre ces djihadistes.

  31. Le Mali peut avoir une bonne politique en s’investissant dans les secteurs prometteurs. Notre pays a toujours été riche en mode rural, cela peut facilement aider le pays à une émergence sans égale.

  32. Le Mali a une politique prometteuse sauf que les maliens ne sont unanime. C’est l’union qui fait la force, nous devons laisser nos différends de côté et se donner la main enfin de reconstruire le Maliba.

  33. Le Mali traverse certes une période difficile mais cela ne peut affecter longtemps notre pays si l’union nationale devient une réalité. Les maliens doivent se donner la main pour pouvoir donner une bonne image à notre patrie.

  34. Nous ne pouvons pas conquérir la stabilité pendant que nous même nous sommes des élément instable, nous sommes toujours disponible pour des discutions qui n’apportent rien au pays.
    Dans sa quête de ramener la paix et la quiétude, le régime, il faut le dire et à haute et intelligible, a réussi la prouesse de maintenir le cap économique. Les commentaires de l’UEMOA en font foi. L’énorme dette intérieure a été totalement apurée. Le taux de croissance est l’un des plus rayonnants de l’espace communautaire. Il était à 7, 2% en 2014. Qui dit mieux.
    Tout ça grâce à la bonne gestion du président IBK, Il ne va pas faire tomber le ciel sur le Mali quand même, alors Mr. le journaliste il faut savoir ce que tu dis.

  35. Nous avons tous une idée sur le record du président IBK en 2013, Peut-être, après lui, quelqu’un d’autre obtiendra difficilement un tel score de la part des maliens. Seulement, en guise de bilan à mi-parcours, c’est-à-dire, ce qu’il a réussi ou non au cours des deux ans passés à la tête de notre pays, la sagesse commande à la fois l’humilité et la retenue. Quoiqu’élu à un score jamais égalé ou plébiscité pour des amoureux de superlatifs, le Président Ibrahim Boubacar Keita, a hérité d’un pays anormal, un pays exsangue, un pays économiquement, socialement et financièrement à terre, des faits de l’invasion jihado-terroriste, de la gestion calamiteuse d’une junte ayant fait irruption sur la scène politique à la faveur de la gestion chaotique des affaires publiques d’un règne corrompu et mercantiliste. Pour ne rien perdre de vue, un pays réduit à sa plus petite expression où absolument tout est prioritaire.

    Nous devons avoir confiance au président IBK et comprendre ce qu’il fait, et Voyons les bons côtés des choses, à bon entendeurs salut…

  36. Oui nous avons confiance en ce que nous dit le président de la république.
    Le président est loin d’être une déception des maliens, nous l’avions choisie et nous continuons de le soutenir et si tu n’es pas d’accord dépose ta candidature aux élections présidentiel prochaine et tu verras comment les choses vont se passé.
    En 2013 ça été 77 % pour te rappeler, le pourcentage peut toujours monter car ce n’est pas arrivé au 100 %

  37. Nous remercions le chef de l’État, son excellence Ibrahim Boubacar Keïta, pour l’adoption des législation permettant de consolider notre démocratie qui ressemblait à une cacophonie. Mais aujourd’hui nous pouvons dire qu’il y a eu de progrès dans tous les domaines. Donc nous en train de sortir du bourbier.

  38. Grâce à la bonne gestion des affaires de l’État, le budget annuel de l’État a dépassé les 2000 milliards de FACFA et le Mali ne compte plus d’arriéré. C’est d’ailleurs ce qui a fait que le fond monétaire international à saluer les efforts de nos autorités.

  39. La démocratie malienne est en train de devenir exemplaire en Afrique et à travers le monde entier avec l’adoption de certaines lois comme par exemple la loi sur le genre féminin, la loi d’orientation militaire, sans oublier la loi qui a permis à l’opposition de se consolider d’avantage. Il s’agit de celle instituant le chef de file de l’opposition politique.

  40. Toute chose qui reste à savoir est que d’ici la fin de son quinquennat, le président de la république, Ibrahim Boubacar Keïta, fera de cette nation l’une des plus enviées du continent africain. Il ne nous restait que l’adoption de certaines législations telles que: la loi de programmation et d’orientation militaire, la loi sur le quota, la loi instituant le chef de file de l’opposition politique, j’en passe.

  41. Notre pays est sans nul doute en train de se dégager du bourbier. Depuis son avènement au pouvoir jusqu'à l'heure actuelle, le régime IBK ne fait que des propositions de loi. Si toutes ces lois, dont la majorité a été déjà votée, sont promulguées, le Mali deviendra un pays émergent.

  42. Les différentes lois votées par l’Assemblée nationale de ce pays, depuis qu’Ibrahim Boubacar Keïta a pris le contrôle des affaires publiques, s’inscrivent toutes dans la seule logique de faire avancer notre pays. Nous sommes reconnaissants de ces projets et propositions de lois.

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