C’est désormais le Professeur Makan Moussa Sissoko qui aura la lourde responsabilité de conduire le Comité d’Expert pour la réforme Constitutionnelle. Il est à la tête d’un bureau de 11 membres, tous des cadres chevronnés, qui ont l’amour du pays. Il fait valoir ses droits à la retraite, le 31 décembre 2018, alors qu’il assurait le poste de Secrétaire général du ministère des Mines et du Pétrole.
C’est par Décret 0015/PM-RM du 14 janvier 2019 que le Premier ministre, Soumeylou Boubèye Maïga a mis en place le Comité d’experts pour la réforme constitutionnelle. Ce Comité a pour mission essentielle d’élaborer l’avant-projet de loi portant révision de la Constitution du 25 février 1992, en tenant compte des clauses de l’Accord pour la paix et la réconciliation au Mali issu du processus d’Alger qui relèvent de la matière constitutionnelle. Il s’agit aussi de prendre en compte les propositions pertinentes des précédentes tentatives de révision constitutionnelle et des autres réaménagements devant être apportés à la Constitution au regard de l’évolution du contexte institutionnel et juridique du pays. Ce Comité d’experts est composé d’un Président, de 11 experts et d’un personnel d’appui constitué d’un Secrétaire et de deux chauffeurs. Le président et les experts sont nommés par Décret du Premier ministre. Tandis que le personnel d’appui est nommé par décision du président du Comité, après avis du Premier ministre.
Sans perdre du temps, le chef du gouvernement, Soumeylou Boubèye Maïga, a procédé à la nomination des membres du Comité d’experts, par Décret N°0016/PM-RM du 14 janvier 2019. Sans grande surprise, le choix s’est porté sur l’ancien ministre Makan Moussa Sissoko, Professeur de l’Enseignement supérieur. Il était auparavant Secrétaire général du ministère des Mines et du Pétrole.
Les 11 experts ont pour noms : Eloi Diarra (Professeur Agrégé de droit public) Abdoulaye Coulibaly (Professeur Agrégé de droit public) Abdraham Bengaly (Professeur de l’Enseignement supérieur) Mohamed Traoré (Professeur de l’Enseignement supérieur) Bakary Camara (Professeur de l’Enseignement Supérieur) Sidi Mohamed Diawara (Avocat) Séni Touré (Administrateur civil) Fousseyni Doumbia (Maitre-Assistant) Mme Coumba Cheick Salah Dolo (Chargée d’enseignement et de recherche de droit) Mme Diallo Kaïta Kayentao (Magistrat à la retraite).
Le président du Comité d’experts pour la réforme constitutionnelle est un cadre très compétent, respectueux, bosseur …Il est considéré comme l’un des meilleurs constitutionnalistes au Mali. C’est dire que le Premier ministre, Soumeylou Boubèye Maïga, ne s’est pas trompé du choix porté sur lui.
Diplômé de l’Université de Droit, d’Economie et de Sciences Sociales de Paris II, Makan Moussa Sissoko est un cadre de l’Adema-Pasj, qui a toujours le souci d’apporter sa touche au développement socio-économique du Mali.
Professeur d’enseignement supérieur, président de l’Association malienne de Droit constitutionnel, Makan Moussa Sissoko est détenteur d’un Doctorat d’Etat en droit public depuis 1982.
S’agissant des activités professionnelles, Professeur Makan Moussa Sissoko fut Conseiller spécial du président de l’Assemblée nationale du Mali depuis 2016 jusqu’à sa nomination comme secrétaire général au Ministère des Mines et du Pétrole. Depuis 2015, il est Professeur à l’Université des sciences juridiques et politiques de Bamako. Auparavant, il avait assuré le poste de directeur général de l’Agence nationale Pour l’Emploi (Anpe) de 2007 à 2014. Il fut aussi Consultant au Bureau international du travail (Bit) et au Cabinet Maeco-Bac.
Professeur Makan Moussa Sissoko fut aussi ministre de l’Emploi et de la Formation professionnelle de 2000 à 2002 sous le président Alpha Oumar Konaré. A ce titre, il était chargé d’élaborer et de mettre en œuvre la politique nationale dans les domaines comme la Fonction publique, le Travail, la réforme de l’Etat, l’Emploi et la Formation professionnelle.Il a assuré plusieurs autres postes de responsabilités, notamment comme secrétaire du Conseil d’administration et chef de Service contentieux de la compagnie Air Afrique, puis directeur administratif et juridique de Malitas (Compagnie aérienne nationale du Mali) Conseiller technique au ministère des Transports des télécommunications et du tourisme, directeur général adjoint de la Base pour l’équipement des transports routiers du Mali (Betram).
Makan Moussa est aussi Maitre de Conférences à la Faculté des sciences juridiques du Mali (Ecole nationale d’Administration) et Assistant à l’Université Paris VIII Saint-Denis de 1980 à 1983 où il était chargé de cours de droit administratif général (2ème année Licence en droit). Il fut également Conseiller spécial du président de l’Assemblée nationale, Issiaka Sidibé, avant d’être nommé au ministère des Mines et du Pétrole comme Secrétaire général.
El Hadj A.B. HAÏDARA
est ce que le Problème du Mali ou au Mali est d’ordre constitutionnel?
je pense que non
“Piqué sur les réseaux sociaux”
Voilà deh ça vient de Maitre Abdourahamane Ben Mamata Toure.
La procédure de révision encadre le pouvoir de révision. Art.118. Cette considération technique est aussi empreinte d’une bienveillance protectrice des gouvernants contre leur faiblesse momentanée. Tant que l’intégrité du territoire n’est pas totalement recouvrée il ne saurait y avoir de révision sauf à violer la constitution . L’obstacle est technique pas politique.
Le roi MAUDIT de segou, est-ce que le Mali a besoin d’un Senat qui sera qu’une structure de corruption et budgectivore en plus, quand le president meurt ou est incapable de gouverner alors c’est le President de l’Assemblee Nationale qui prend la releve on l’a vu avec Diouncounda Traore et quand a Kidal je regettre que pour quelques personnes on veut transformer notre Constitution pour leur faire plaisir, quelle honte! Boua ka bla
Tonton COCHON, il faut relire mon poste!!!
Fils de cochons, digne descendant de wuruwaye, le roi MAUDIT de segou, laisses aux Maliens s’occuper de leurs affaires Maliennes, tu n’es meme pas un Malien! Faso Mandiougou den!
kinguiranke’ le cochon, j’ai bien ecrit que le Mali n’a pas besoin de senat!!! IL FAUT LIRE MON POST ET LE COMPRENDRE AVANT DE ME LANCER TES CONNERIES!!!
La révision constitutionnelle n’est pas une priorité mes chers aveugles, sourds et muets gouvernants!
Sécurité !
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Rip imam Yattabaré!
Boua a tente la sexualite dans les ecoles comme priorite et l’Imam Dicko lui a dit que le Mali n’est pas pret pour l’enseignement de la sexualite et Boua a recule et meme fui. Maintenant Boua veut amuser la galerie avec cette histoire de revision Constitutionnelle et il va trouver les Maliennes et les Maliens sur son chemin et Boua va fuir encore comme il n’a pas honte.
De grâce, KURU KAN FUGA est un mythe et non une réalité; n’essayez pas de le prendre comme fondement de notre CONSTITUTION.
POURQUOI NE SENT ON PAS LA DIVERSITÉ DU MALI DANS LA COMMISSION?
JE PROPOSE LE CHANGEMENT DU NOM MALI, SI CA VEUT DIRE MANDING POUR L’ÉQUITÉ ENTRE LES POPULATIONS.
Le KURU KAN FUGAN est une realite du 13eme siècle et d’un empire et nous sommes au 21eme siècle, donc ce FURU KAN FUGAN ne correspond pas aux realites du Mali d’aujourd’hui, tout a fait d’accord qu’il ne peut representer aucune reference dans une Republique.
Esperons que le petit Sissoko ne sortira pas un document pour nous dire que Sondjata Keita est revenu de….. Sebenikoro pour revendiquer son empire!
Le senat????????????
La succession du president???????????
lle statut du nord???????????????????
Un voyage aux USA pour visiter le Congress, lire a’ propos de Constitutional Convention et la Constitution des USA peut aider a’ surmonter certains problemes!
Je ne vois pas d’Ag dans la commission!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Pourquoi deux femmes seulement?????????????
Espece de petit negre complexe, le roi MAUDIT de segou et l’idiot du Bronx pouras-tu nous dire quelque chose d’intelligent un jour? Pourquoi Sissoko doit lire ou meme regarder la Consitution Americaine qui regit une Federation, tu veux nous diviser deja entre Ag et non-Ag, c’est ca l’agenda de Boua? mais il va encore trouver les braves Maliennes et Maliens sur votre chemin de la division. Le Mali est une Republique Unie et Indivisible: Un Peuple, un But et une Foi, c’est notre devise. Boua ka bla!
Il faut lire: “… une region PEU peuple’e…”
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