Depuis le 4 février dernier, Jeamille Bittar, président du conseil économique social et culturel (CESC) du Mali entouré des membres de son institution ainsi que plusieurs participants sont à l’œuvre. Ils s’attèlent à trouver les voies et moyens pour la remise de notre économie sur les rails. C’est à l’occasion de la 7ème session ordinaire du conseil qui prendra fin le 18 février prochain.
A l’ouverture, au siège de l’institution à Koulouba, plusieurs interventions ont eu lieu. Notamment celle du ministre de l’Economie, des Finances et du Budget, Tiènan Coulibaly, qui a révélé que «Le retour des partenaires techniques et financiers du Mali est effectif». Pour sa part, le président Bittar a indiqué que l’heure est venue de chercher les voies et moyens de soutenir l’économie du Mali.
Au nom du Premier ministre, le ministre de la Fonction publique, chargé des Relations avec les Institutions, Mamadou Namory Traoré a planté le décor. Il faut noter la présence de plusieurs membres du gouvernement, des présidents des Institutions, des partenaires techniques et financiers (PTF) entre autres.
Cette cession, a-t-on indiqué, est consacrée à la recherche de voies et moyens permettant à l’économie nationale de se relever du dommage causé par les événements du 22 mars 2012.
Le jeune président, à travers cette cession, anticipe la sortie de la crise. Par le fait que ce sont tous les acteurs socioéconomiques qui participent à ces assises initiées par le CESC. Cela avec comme partenaire le PNUD.
Cette cession qui durera jusqu’au 18 février est l’occasion de passer au peigne fin toutes les difficultés rencontrées par les différents secteurs de notre économie mais également de faire des propositions de sortie de crise.
Mamadou BALLO
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