Le président du Conseil économique et culturel (CESC), Jeamille Bittar, entouré des membres du bureau, a rencontré, mardi dernier, au siège de l’institution, à Koulouba, une délégation du Programme des Nations unies (Pnud) conduite par Maurice De Wulf, représentant résident adjoint. La rencontre a porté sur l’accompagnement de cette agence onusienne dans l’organisation des assises du CESC sur la relance économique.
La crise politico-institutionnelle et sécuritaire que traverse notre pays depuis le mois de mars dernier a eu une répercussion sur l’économie nationale. La croissance du Mali qui était de 5,3 % et devrait atteindre les 7,3 % est aujourd’hui à -3 %.
Cet état de fait a favorisé le retrait des partenaires au développement. Dans le souci d’inverser cette tendance, le CESC, conformément aux articles 106 et 107 de la Constitution, en rapport avec les entités qui le composent (organisations socioprofessionnelles), entend organiser des assises afin de contribuer à une relance rapide de l’économie nationale. Pour la matérialisation de ce projet, le CESC a sollicité l’accompagnement du gouvernement et du Pnud.
Après une première rencontre en date du 10 octobre 2012, une délégation du Pnud conduite par Maurice De Wulf, représentant résident adjoint est venue échanger de façon plus détaillée avec le président du CESC, sur les contours de ce grand rendez-vous. M. De Wulf a salué l’initiative et a promis au président du Conseil économique, social et culturel que son bureau va davantage analyser le projet dans un bref délai. Après cette séance d’échange on peut affirmer que la satisfaction était perceptible chez des deux parties.
Il est important de souligner que l’objectif global de ces assises – prévue en mi-janvier 2013 -est de recenser les préoccupations et les propositions des acteurs du développement économique pour une relance prompte de l’économie nationale.
Baba Bourahima Cissé
(CC/CESC)
Jeune prétentieux de Bittar, tu as interêt à t’occuper de ce fauteuil usurpé avec la complicité du lâche Siaka Diakité qui n’a pas eu honte de prendre cette enveloppe. Que Dieu ai pitié de vous.
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