Le Conseil économique social et culturel (CESC) a tenu sa 6e session ordinaire de la 4e mandature hier, jeudi 2 août 2012 au siège de l’institution à Koulouba. Les travaux de la cérémonie d’ouverture était placé sous l’égide du président de l’institution, Jeamille Bittar en présence du PM Cheick Modibo Diarra et de plusieurs membres du gouvernement de transition. Le thème de cette session est : “Economie verte : opportunité de création de richesse et de promotion d’emplois”.
S’est tenu hier, jeudi l’ouverture des travaux de la 6e session ordinaire de la 4e mandature du Conseil économique social et culturel (CESC). Le thème de cette session est : “Economie verte : opportunité de création de richesses et de promotion d’emplois”.
Durant 6 jours, les participants à cette session, aborderons plusieurs points majeurs, il s’agit de la synthèse de la déclaration de Rio et examinerons également l’économie verte dans le contexte du développement durable et de l’éradication de la pauvreté, ainsi que les moyens de sa mise en œuvre dans notre pays.
Dans son allocution le président du CESC, Jeamille Bittar s’est laissé entendre que, “nous réfléchirons au vert, couleur de l’espérance comme l’indique la première bande de notre drapeau national. Le vert fait l’objet d’une actualité brûlante. C’est pourquoi nous avons structuré le thème de notre session : Economie verte : opportunité de création de richesses et de promotion d’emplois”.
Il a parlé d’équilibre instable aujourd’hui pour inviter l’ensemble des Maliens à la protection de l’environnement, qui est aujourd’hui un impératif majeur pour nous protéger des menaces actuelles. Et d’ajouter que “nous avons une responsabilité intergénérationnelle face aux conditions de survie d’une humanité affectée par les impacts de plus en plus visibles de la primauté absolue du développement économique des entreprises, des marchés et des pays”.
M. Bittar dit compter qu’aux termes des travaux sortiront des propositions pertinentes qui permettront aux pouvoirs publics de s’orienter plus efficacement, afin que notre pays soit au rendez-vous historique des verts pour un monde prospère et sain.
S’agissant de la crise multiforme que traverse notre pays, le président, Jeamille Bittar pense qu’il est aujourd’hui une obligation pour chacun de sauver la patrie le Mali afin, de le remettre à sa place dans le concert des nations et dans une Afrique libre et prospère. Et s’est compté sur le soutien de la communauté internationale, de l’Union africaine et de la communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (Cédéao) qui pourront pour lui contribuer sans doute à donner une suite heureuse aux efforts de paix et de développement du Mali.
En ce qui concerne le retour du président Dioncouda Traoré, après plus de deux mois de convalescence à Paris, “nous ouvre de nouvelles perspectives qui nous autorisent d’espérer”, a expliqué Jeamille Bittar.
Et pour ce qui est de son pardon à ses agresseurs, pour le président de l’institution, cela nous donne la leçon d’humilité du Premier magistrat de la République. Et le président Bittar a donné plein espoir, “que notre pays découvrira un trésor inépuisable pour tourner la page de l’occupation et enfin de chasser ses agresseurs et les narcotrafiquants hors du territoire national”.
Ousmane Daou
Cet 1becile de Bittar.
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