Une ministre dans le gouvernement de l’Azawad : « nous avons une commission spéciale …

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Nina Walett Intalilou

…s’occupant des négociations avec Ançar Edine mais ses décisions ne nous engagent pas». 

La ministre des Affaires de la femme, dans le gouvernement de l’Azawad déclaré de manière unilatérale, Nina Walett Intalilou, a déclaré que le Mouvement national pour la libération de l’Azawad (MNLA) a constitué une commission spéciale chargée des négociations avec Ançar Edine et non de signer des protocoles d’accord qui, a-t-elle dit, « ne nous engagent pas ».

Dans une déclaration faite à Sahara médias sur de prétendus accords entre le MNLA etAnçar Edine lors de leur rencontre en Algérie, la ministre de ce gouvernement non reconnu par la communauté internationale, a ajouté que le MNLA n’est pas contre une intervention militaire de la communauté internationale mais précisément de la Communauté économique des états de l’Afrique de l’ouest (Cedeao).

Elle a rappelé que la position du MNLA par rapport à Ançar Edine « n’a pas changé », précisant que celui-ci n’a pas répondu favorablement aux conditions du MNLA en ce qui concerne l’application de la charia et les droits de citoyens.

Source : Sahara Medias (Mauritanie)

Commentaires via Facebook :

54 COMMENTAIRES

  1. Cette femme est pute elle a était la femme de mon oncle en cote d’ivoire, elle a été surprise en flagrant délit avec Ag Erlaf à l’hôtel.

  2. Il parait que c’est une spécialiste du sucking (sucer) et elle préfère se baisser pour être baisée 😆 😆 😆
    Un ancien minstre me dit qu’elle est tellement forte qu’elle peut juste soulever son sari, tu la baises vite fait bien fait, elle redescend son sari et va s’asseoir et causer avec ses parents comme si de rien n’était 😆 😆 😆
    Mais tu paies dèèèèè 😆 😆 😆 Il n’a pas voulu me dire combien, j’avais même mis la main à la poche pour aller la chercher la Nina:lol: 😆 😆 😆

  3. En plus vous savez à kidal la femme a toujours été mise en avant pour fragiliser les colonisateurs, administrateurs ou autres responsables militaires. Presque tous ceux qui ont servi à kidal ont laissé des enfants .C’est ce qui est devenu ces maudits. Iyad est le fils du berger des chameaux de la garde coloniale .Baylouk. Les ressortissants de kidal peuvent en témoigner. Il a été élevé de famille en famille avec une enfance difficile. Aujourd’hui il développe un complexe social vis à vis des autres peuples.

  4. Nina walet pourquoi ton mari ivoirien a désisté? Cependant tu as fait des enfants pour lui. Pour votre information un ministre ivoirien a fait la connaissance de cette pétase sur les trottoirs d’Abidjan vers l’hôtel ivoire mais la déception a été grande .En flagrant dans son lit avec un jeune gardien bien pointu. Arrête d’apparaitre et reste dans ton coin. Ce comportement a été la base de la crise de son mari qui ne croyait pas. Reste en mauritanie ce qui est indiscutable après cette vie de débauche personne ne te donnera ce que tu n’as pas eu en cote d’ivoire.
    Cette dame est l’une des premières putes malienne, la première du nord à exercer ouvertement, boire, fumer .C’est le début de ton déballage, reste calme même si tu dois jouer un rôle sexuellement important dans les négociations.

  5. Azawach ou Anchawadj plateau qui déverse est tres tres tres loin d’etre un muniscule village abritant plus de de 1000 ames ne peut jamais au grand jamais etre une republique a part entiere dans un petit un arrondissement pauvre des intelo se trouvant dans un cercle dont le revenu economique depend de la stabilité commerciale d’une region intensement enclavée et l’avenir economique est incertain. MNLA n’est qu’un illusoire et faux reve qui n’existera jamais je dis bien jamais. VIVE le Mali dont le nom continu a atteindre l’autre bout du Monde.

  6. Vraiment ne dites pas azawad,elle n existe pas,elle n a jamais exister et elle n existera jaamais.Dites plutot les apatrides du nord du mali ou les rebelles touaregs

  7. Attention des femmes comme celle là sont mises en avant dans les négociations à cause de leurs expertises sexuelles.Celle là a fait un enfant en cote d’ivoire quand c’était tabou dans le monde touareg, après cette humiliation est ce qu’elle peut défendre une identité culturelle.Elle a durée dans les maisons de passe de l’hptel.Pute

  8. WOH une pute de classe exceptionnelle de l’inauguration de l’hotel ivoire.FO J’ai meme oublié cela , elle allume bien

  9. I DJOU TA KA BO YÉ..AW GNINA NA KO AW YÉ MALI KÈLÈKÈ DENW KAN TÈGUÈ..KA DOW KONO FARA KA TILA KA JAH YIRA DOUNYA BÈ LA..
    NI BÈ BI BAN..
    AN BE AW BÈ MINA KA AW DJOU FARA KÉLEN KÉLEN..
    FOUKARI DÉNW..BARAKÈ BALIW..
    AW BÈ TILA KA DJAMANA WÈRÈ GNINI AW YÈRÈ LA MALI KONI TÈ..
    HALI NI DOUNYA BÈ YA FA FÔ KA BA FÔ.AW YÉ MI KÈ AW BA SARA..
    WOULOU DÉENW 😈 👿

  10. blache merde=coco= sanene ba kulé fa kulé den kulé itakou bakou 😈 ❓ 😈

  11. ZAZAREVE….EX-ETAT SANS JAMAIS ETRE UN ETAT……

    LES VRAIS TOUAREGS MALIENS … SAVENT RECONNAITRE LE MIRAGE DANS LE SABLE DU SAHARA….SEULS LES MAUDITS APATRIDES REVENT D’UN ETAT AUTRE QUE LA PATRIE…..

    BANDES DE MAUDITS APATRIDES….VOUS AUREZ DU MAL A VOUS SORTIR DE CETTE GROSSE MERDE QUE VOUS AVEZ CHIEZ……

    FALLAIT PAS METTRE TOUS LES OEUFS DANS UN SEUL PANIER….LE PANIER DE LA MALEDICTION S’EST FRACASSE PAR LA GRASSE DE DIEU…..

    EX-MININISTRE SANS JAMAIS ETRE MINISTRE….D’UN EX-ETAT SANS JAMAIS ETRE UN ETAT…..CA VA CHAUFFER ❗ ❗ ❗ ❗ 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆

    Moussa Ag, qui pense que ca doit etre dure de PLANTER SON DERRIERE DANS SA PROPRE CHIOTTE….PAUVRE MNLISTES 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 VOUS N’AVEZ RIEN VU ENCORE :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen:

    • Nina….Moussa Ag s’excuse…..voilà pour la courte célébration…..

      “Indépendance cha-cha tozuwi ye ! / Oh Kimpwanza cha-cha tubakidi / Oh Table Ronde cha-cha ba gagner o ! / Oh Lipanda cha-cha tozuwi ye !” *

      “Indépendance cha-cha tozuwi ye ! / Oh Kimpwanza cha-cha tubakidi / Oh Table Ronde cha-cha ba gagner o ! / Oh Lipanda cha-cha tozuwi ye !” *

      “Indépendance cha-cha tozuwi ye ! / Oh Kimpwanza cha-cha tubakidi / Oh Table Ronde cha-cha ba gagner o ! / Oh Lipanda cha-cha tozuwi ye !” *

      UN REFRAIN POUR CHAQUE MINUTES D’INDÉPENDANCE DU ZAZAREVE 😆 😆 😆 😆

      Moussa Ag, qui est certain que tout RÊVE SE TERMINE PAR LE RÉVEIL …. DES FOIS TRÈS AMER…. OU LA MORT QUI N’EST PAS DES FOIS MAL….. 😈 😈 😈 Apatrides …..

  12. C’est une idée tes joli Taba, mais jolie seulement car ce sont des fanfaron qui dirigent l’Afrique..tous des bourriquet sans exception

  13. Quand on reflechit aux causes profondes de la crise Malienne, on arrive a la conclusion que les Etats membres de l’Union Africaine devraient avoir la clairvoyance ,le bon jugement et le courage de creer sans tarder les grandes Federations Africaines gerant ensemble la defense, les Affaires exterieures, les industries regionales et les infrrastructures regionales.Pour commencer ,il faut constituer une armee federale financee non pas par des contributions nationales, mais par une taxe regionale a identifier.Il faut sans tarder une industrie d’armement parmi les industries prioritaires qui seront promues dans la federation.La Cedeao qui a des pays limitrophes du Sahara devrait devenir la federation pionniere.Nous nous apercevons aujourd’hui qu’aucun pays ouest-africain n’est a l’abri des organisations internationales criminelles.Oui! nous pouvons courir vers les pays industrialises.Eux aussi ,nous imposeront leurs conditions.Nous serons pires que les pays colonises.La mise sur pied d’une armee de la Cedeao est suspendue a la definition d’une source de financement regional.Plus l’ampleur de la fiscalite regionale sera etendue ,plus les domaines federaux seront developpes.Il faut commencer ce processus politique des maintenant et aller vite dans la mise en place des institutions federales de la Communaute Economique Regionale de l’Afrique de L’Ouest.Pour une fois nous aurons reagi logiquement, avec bon sens et de facon appropriee aux evenements imprevus et remplis de tout danger.

  14. les mouvements rebelles de l’Azawad appellent à l’union sacrée

    En dépit du fossé qui les sépare, les leaders du…
    En dépit du fossé qui les sépare, les leaders du MNLA et d’Ançar Eddine font preuve d’une grande retenue et refusent d’insulter l’avenir.

    ImprimerPDF Envoyer à un ami Flux RSS Partager Depuis près d’un mois, l’infatigable colonel Hassan Ag Mehdi, l’une des figures emblématiques des révoltes touareg des années 1990 et aujourd’hui chef du Front populaire de l’Azawad (FPA), ne compte plus le nombre de fois où il a rencontré les leaders du Mouvement national pour la libération de l’Azawad (MNLA) et ceux de Ançar Eddine pour les persuader de cesser de s’entredéchirer et d’unir leurs forces.

    Ouagadougou (Burkina Faso)
    De notre envoyé spécial

    Cet ancien haut fonctionnaire du ministère malien de la Défense ne s’en cache pas : son rêve est de voir le MNLA, Ançar Eddine et, bien entendu, son «Front» constituer un seul et même mouvement et se présenter ainsi en «rangs serrés» face à Bamako le jour où il faudra négocier l’avenir de l’Azawad. Bien que la tâche se soit révélée, à chaque tentative de conciliation, d’une incroyable âpreté, Hassan Ag Mehdi refuse de désarmer. Pour lui, cette «union sacrée» doit avoir lieu «car il s’agit là, avant tout, de l’une des plus grandes attentes des Azawadiens» qui, aujourd’hui, sont plus que las d’être écartelés entre les différentes factions qui composent la rébellion du nord du Mali.

    S’il est assez facile d’imaginer une fusion entre le FPA et le MNLA (les deux mouvements sont laïcs et ont des revendications qui se rejoignent), le colonel Hassan Ag Mehdi aura, en revanche, bien du mal à rapprocher le MNLA et Ançar Eddine, «un groupe constitué aussi de fils de la région». Et le point de discorde qui les oppose n’est, en effet, pas des moindres. Il est inhérent précisément à la charia (loi islamique) que les dirigeants du mouvement islamiste touareg veulent imposer aux populations de l’Azawad dans sa version la plus rigoriste.

    Attablé autour d’un café avec deux de ses compagnons de lutte à la cafétéria de l’hôtel Laïco, situé dans le quartier huppé de Ouaga 2000, Moussa Ag Assarid, membre du Conseil transitoire de l’Etat de l’Azawad (CTEA, ex- MNLA) chargé de l’information et de la communication, scrute nerveusement son téléphone qui n’arrête pas de sonner. C’est là, dans ce bel établissement auréolé de 5 étoiles construit par les Libyens du temps où Mouammar El Gueddafi était «roi d’Afrique», que sont logées, depuis le début mois de décembre, les délégations touareg ayant pris part au tout premier contact avec le gouvernement malien. Vu l’importance de l’événement, tout le monde veut avoir bien évidemment une idée sur la teneur de leurs échanges.

    • SUITE

      Les deux frères ennemis

      Bien qu’éprouvé par de longues journées de travail, Moussa Ag Assarid ne «zappe» aucun appel et répond systématiquement à toutes les sollicitations. «La lutte pour la liberté vaut bien tous les sacrifices», lâche sur un ton amical et amusé Mouaouia, un marabout polyglotte de l’Azawad, venu faire bénéficier la direction du MNLA de ses lumières et, surtout, de sa sagesse. Mais il faut quand même prendre garde, car il y a un sujet que M. Ag Assarid n’aime pas aborder et c’est particulièrement celui se rapportant à Ançar Eddine. Dès qu’il en entend parler, il éprouve toutes les peines du monde à contenir sa colère. «Posez-moi toutes les questions que vous voulez sur ce que vous voulez, mais je n’en veux pas sur Ançar Eddine. Si vous voulez savoir quelque chose sur eux, ils sont là. Vous n’avez qu’à aller les voir. Moi je ne parle que du MNLA», répond-il sèchement.

      Inutile d’en savoir davantage pour comprendre qu’il faudra au colonel Hassan Ag Mehdi et au médiateur de la Cédéao (le Burkina Faso) – qui s’est lancé aussi le pari de «fédérer» les groupes rebelles du Nord-Mali sous une même casquette – déployer des trésors de diplomatie pour parvenir à réconcilier les deux frères ennemis, que sont le MNLA et Ançar Eddine et de les convaincre de la nécessité de s’entendre sur une plateforme commune de revendications. Entre les deux mouvements rebelles, il y a une profonde crise de confiance «que seul un pays comme l’Algérie peut parvenir à dissiper».

      C’est du moins ce que pensent des dirigeants du MNLA présents dans la capitale burkinabè. Leur conviction repose sur le fait, que «les autorités algériennes bénéficient de toute l’attention de ce groupe rebelle et qu’elles ont les moyens d’infléchir sa position sur la question de la charia». Nombre d’entre eux soutiennent, en tout cas, qu’Ançar Eddine, un mouvement «aux revendications floues et étrangères à l’Azawad», n’aurait pas eu l’importance qu’il a aujourd’hui, si Alger ne lui avait pas conféré le statut d’interlocuteur. Bref, au MNLA on croit dur comme fer que «la clé du problème se trouve chez nos grands frères algériens et chez personne d’autre».

      Bref, si à Bamako on soupçonne (voire même on accuse) Alger d’avoir fermé les yeux sur la rébellion du nord du Mali, des militants indépendantistes de l’Azawad n’hésitent pas, quant à eux, à reprocher «au pouvoir d’Alger» de chercher «à freiner» leur «printemps». En attendant, il n’est pas nécessaire non plus d’être dans le secret des tractations en cours sur le destin de l’Azawad ou au cœur de la querelle qui les oppose pour comprendre que le MNLA et Ançar Eddine se détestent cordialement. Parmi les griefs que retient le mouvement que dirige aujourd’hui Bilal Ag Cherif à l’encontre d’Ançar Eddine est celui d’avoir essayé de «dynamiter» la rébellion.

      Les responsables du MNLA se disent néanmoins confiants car, précisent-ils, «le mouvement conserve ses capacités opérationnelles, bénéficie du soutien de la population et, contrairement à ce qui se raconte, est représentatif de toutes les ethnies». En parlant de capacités opérationnelles, l’avertissement est adressé surtout à tous ceux qui parlent de récupérer le Nord-Mali par la force. Sur ce point, tous les groupes rebelles sont d’accord pour résister face aux éventuels agresseurs.

      • SUITE
        Tractations secrètes

        Ançar Eddine, dont la délégation à Ouagadougou a été conduite par Al Gabass Ag Intalla, reste pour le moment imperturbable face aux critiques du MNLA. En dehors des déclarations aussi alambiquées que contradictoires faites par ses nombreux porte-parole, les vrais chefs de ce groupe islamiste touareg sont connus pour être peu loquaces. Sauf d’avoir exprimé clairement leur souhait d’instaurer la charia dans la région, avant d’avoir été récemment amenés à nuancer leur position, ils restent vagues concernant leurs objectifs. Bien que beaucoup sollicités par la presse, ils se sont tous cantonnés dans un prudent et méfiant silence. Un cadre du mouvement, qui a souhaité requérir l’anonymat, tiendra quand même à signaler qu’«au plan du principe personne ne peut interdire à quiconque de vouloir défendre de manière pacifique un projet politique inspiré ou fondé sur la charia». En dehors donc du débat inhérent à la question de la place de l’islam dans l’Etat malien, Ançar Eddine ne paraît avoir aucun autre problème avec Bamako.

        En dépit du fossé qui les sépare et, disons-le aussi, de la guerre de position qui les oppose sur le terrain, les leaders du MNLA et d’Ançar Eddine font preuve d’une grande retenue. Tout le monde prend soin d’éviter de sombrer dans le dénigrement. Le constat est d’autant plus valable devant une personne étrangère à l’Azawad. «Pas question de provoquer de nouvelles fractures ou d’insulter l’avenir. N’oublions pas que nous avons tous l’Azawad en commun», prévient un membre du MNLA.

        A ce propos, il révèlera qu’il y a actuellement des «touches» et des contacts discrets destinés à recoller les morceaux entre les différents groupes rebelles. Mais aussi bien pour le Mouvement national pour la libération de l’Azawad ou pour le Front populaire de l’Azawad, c’est à Ançar Eddine qu’il revient désormais de faire des concessions et de dissiper les soupçons qui pèsent sur lui. Devant la perspective prometteuse d’une fusion des groupes rebelles nord-maliens, les Azawadiens sont presque heureux que les négociations, proprement dites, n’aient pas encore débuté avec Bamako.

        Des sources à Ouagadougou ont confié à El Watan qu’il n’a pas été en effet question de négociations lors du premier face-à-face entre les représentants du MNLA et ceux du pouvoir malien, qui a eu lieu le 4 décembre. Les deux camps ont plutôt préféré saisir l’opportunité pour vider leurs sacs et se dire les vérités en face, durant deux bonnes heures. Concrètement, rien n’a été signé et aucun engagement n’a été pris. En attendant que les décideurs maliens apprennent à parler d’une seule voix et se décident, ensuite, à revenir à la table des discussions, des dirigeants du MNLA ont préféré quitter la banlieue chic de Ouagadougou pour rejoindre Nouakchott, afin de peaufiner la stratégie du «Mouvement» et de «coucher» sur le papier leurs revendications.

        Pour cela, ils bénéficient des conseils d’experts burkinabés et suisses. Al Gabass Ag Intalla et ses hommes ont, quant à eux, regagné, dit-on, l’Azawad via le Niger. Lui aussi aura probablement à faire un long point de situation avec le fondateur du mouvement Ançar Eddine, le mystérieux Iyad Ag Ghali.

        • suite
          Diango Sissoko forme son gouvernement

          Le nouveau Premier ministre malien, Diango Cissoko, a formé son gouvernement, dont la composition a été rendue publique, samedi, dans un communiqué lu à la Télévision nationale. Le ministre de l’Economie, Tiénan Coulibaly, le ministre de la Défense, le colonel Yamoussa Camara, et le ministre des Affaires étrangères, Tiéman Coulibaly, ont été maintenus à leurs postes. L’ex-junte militaire, dirigée par le capitaine Amadou Haya Sanogo, reste bien représentée dans ce gouvernement. Elle garde des portefeuilles-clés, dont ceux de la défense et de la sécurité intérieure.

          Les principaux regroupements politiques sont également représentés dans ce gouvernement, qui se fixe comme objectif principal la «reconquête du Nord», sous le contrôle de différents groupes armés depuis huit mois. Django Cissoko a été nommé, mardi dernier, par le président Traoré, après la démission forcée de Cheick Modibo Diarra qui n’était plus en bons termes avec le capitaine Sanogo. Ce dernier est le véritable détenteur du pouvoir à Bamako.

          Les régions du Nord, qui se plaignaient de n’avoir pas été suffisamment représentées dans le précédent gouvernement, se voient attribuer trois ministères supplémentaires. La tâche de la nouvelle équipe gouvernementale s’annonce toutefois difficile, puisqu’elle devra convaincre les plus sceptiques qu’une intervention militaire pour récupérer le Nord est toujours possible malgré les ingérences des hommes de Kati dans le processus politique à Bamako.

          Elle devra aussi rapidement édifier l’opinion nationale et internationale sur un calendrier qui permettrait l’organisation d’élections que beaucoup considèrent même comme un préalable à une éventuelle offensive militaire contre les groupes armés qui refuseraient le dialogue avec Bamako.

          Zine Cherfaoui

          http://www.elwatan.com/international/les-mouvements-rebelles-de-l-azawad-appellent-a-l-union-sacree-18-12-2012-196268_112.php

    • De grace ne donnez pas corps a leur idee,”azawad azawadien”.Qu est ce que c est que azawad? elle n existe pas elle n a jamais existe et elle n existera jamais.dites plutot NORD DU MALI ET LES MALIEN DU NORD.

  15. Les canons vont cracher contre MNLA inchallah ,rien n’empechera cela est imminent ils seront chassé à bas MNLA et complices vous êtes les ennemis du Mali et de l’Afrique à. Mort MNLA ET COMPLICES ?

    • je me contenterai de te faire du copié collé ;

      Le plan franco-africain : « c’est de la m… »

      Pour le directeur Afrique de l’Ouest du think tank International crisis group (ICG), Gilles Yabi, cette prudence de l’ONU n’est pas une surprise. « Depuis un certain temps, le secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-moon, mettait l’accent sur le processus politique. Il avait émis des réserves sur une action militaire, estimant qu’il restait des éléments à clarifier », rappelle-t-il. Depuis Niamey au Niger, l’envoyé spécial du secrétaire général de l’ONU, Romano Prodi, a déclaré jeudi à RFI que « la négociation ne sera crédible que s’il y a la force ». En clair : la présence d’une force au Mali est une menace qui doit conduire les rebelles à négocier.

      Dans un langage bien peu diplomatique, l’ambassadrice américaine aux Nations unies, Susan Rice, aurait, elle, carrément tonné que le plan d’intervention africain impulsé par la France, « c’est de la merde », selon une fuite sur un blog de Foreign Policy. « Pour Susan Rice, le plan n’est pas au point car il n’y a pas de force militaire occidentale pour l’encadrer, et les contingents de la Cédéao ne sont pas adaptés à ce genre de guerre du désert, d’où l’appel aux troupes tchadiennes » possédant l’expérience de ce milieu extrême, explique Michel Galy, qui enseigne la géopolitique à l’Institut des relations internationales (Ileri), à Paris.

      • Pas de calendrier, de nombreuses conditions avant de se lancer dans une offensive : l’autorisation de l’ONU de déployer une force africaine au Mali »est une résolution, disons, prudente », euphémise le politologue Michel Galy. Un mois après le délai (le 26 novembre) accordé aux pays africains pour proposer un plan d’intervention militaire dans le nord du Mali, la résolution 2085 du Conseil de sécurité de l’ONU, adoptée jeudi 20 décembre, s’apparente à consentement du bout des lèvres.

  16. vous n’irez nul part, en tout cas pas avec une armée de fuyards devant l’ennemi qui avaient mis le MALI dans cette situation et ces vrais faux amis de la CEDEAO

  17. vous n’irez nul part, en tout cas pas avec une armée de fuyard devant l’ennemi ces vrais faux amais de la CEDEAO

  18. Il faut que les pays membres de la CEDEAO realisent finalement une veritable integration à l’image de l’ UE,et des USA arrivant à former une puissance economique .Ainsi nous aurons le respect de ceux qui vivent encore avec des mentalités esclavagistes du moyen age(EXTREMISTES ARMéS QUI OCCUPENT LE NORD DU MALI ET LEURS SOUTIENTS,LES TERRORISTES DU NIGERIA,…).Elliminons toutes les frontières au sein de la CEDEAO.Surement l’AZAWAD n’a pas de place dans la CEDEAO.Voila pourquoi le MNLA a peur de la CEDEAO.Ils pensent peut ètre trouver une place dans le Maghreb?Le MNLA est dans la confusion totale ils sont entrés dans un tunnel sans sortie.Ils ont eté trop naifs.

  19. le mali est vieux que leur ambiton.jamais au grand
    jamais mnla sera pardonne.
    Meme a l au dela ils n auront d autonnie car ils seront
    de l enfert pour toujours.

  20. c est de la diversion que ces dechets sociaux avec comme
    algerie et la mauritanie,ne cessent de propager.
    A quelque chose le malheur est bon ça nous a permit de
    maniere fiable a connaitre ces voisins qui depuis de decenies
    travaillent ensembles pour ce dont tout un chacun connair.
    Mais le vieux que leur ambition matchiavelique.qu ils
    attendent a la colere de maliens d aujourdhui et de demains.
    Car nous sommes victime des ambitions algeriennes et
    d autres de ses acolytes.la nouvelle page de l histoirest
    ouverte.qui vivra vera.
    Faisons confiance a nos autorites

  21. ….le MNLA n’est pas contre une intervention militaire de la communauté internationale mais précisément de la Communauté économique des états de l’Afrique de l’ouest (Cedeao)….

    :oops:la CEDEAO ne ferait p’partie de la communauteinternationale ❓
    :oops:la CEDEAO n’est p’directement et geographiquement concernee ❓
    😳 ces bandits n’ ont ils p’commis crimes contre la CEDEAO ❓
    😆 MADAME ATTENDEZ , NOUS ARRIVONS , LA CEDEAO ET LA COMMUNAUTEE INTERNATIONALE ❗

  22. Tout le mal malien est ne de Mnla ,le premier groupe qui a fendu le mur du pays .le coupable du mal national est MNLA.le peuple malien ne doit oublier le coupable premier de notre mal national ,qui a permis à Ansardines mujao et tous les terroristes à venir envahir notre pays ..c’est MNLA .alors qu’il continue à vouloir la poudre aux yeux des maliens. Ça ne marchera pas comme ça ,parceque battu et chassé par les autres ,que MNLA se dit malien c’est trop facile.si réellement MNLA regrette et revendique sa nationalité malienne qu’il chasse d’abord les envahisseurs qu’il admis dans le pays,corriger son erreur d’egarement avant d’aller tenir des réunions bidons ailleurs qui n’engage pas le peuple malien .MNLA n’a jamais su sécuriser sa propre vie ,parle de sécuriser d’aautres personnes , c’est ridicule et amusants.qu’ils continue à aller manger dans les salons climatisés des pays voisins du Mali ,c est leur affaires ,mais de grâce ne faites pas au nom de la paix de notre pays que ils ont agressés.nous glorifions la résolution 2085 du conseil de sécurité ,inchallah tout vos ruses ,de vagabondages et de tromperies seront arrêtés ,par la foudre des canons de la communauté internationale .Dieu aidera la vérités ,vous êtes des bandes de criminels vous serz tous erretes comme prisonniers de guerre et jetés en prison,de la CPI comme MILISAVICK ET autres criminels de la Yougoslavie .l’histoire ne vous pardonnera jamais .jamis jamais ,bandes de criminels et lâches qui ont fui la Libye ,de Kaddafi ou vous manger ,le Mali sera débarrassé de vous MNLA ,Ansardines ,mujao inchallah .

  23. C’EST UNE STRATÉGIE DE DIVERSION . LE MNLA VEUT UNE VICTOIRE DE SORTIE DE CRISE PAR LE CHEMIN DE “l’autonomie”

  24. Le MNLA a créé une commission spéciale mais les décisions de cette commission n’ engagent pas le MNLA. Et pourquoi être pour une intervention étrangère mais pas de la CEDEAO? Mais cette dame ne se rend pas compte du ridicule? Ils sont en pleine contradiction et de toute façon ils ne peuvent pas faire oublier le fait que ce sont eux qui ont ouvert la porte aux islamistes. Tant qu’ils ne renonceront pas au racisme viscéral, tant qu’ils n’accepteront pas d’être traités comme tout citoyen malien, tant qu’ils couvriront des trafiquants et des criminels ils ne seront pas dignes d’une quelconque négociation.

  25. negocier avec ces gens la, est une perte de temps, ils ne sont pas credibles, ils disent une chose aujourd’hui et son contraire le lendemain.Alger est parvenu a detourner les puissances du bienfait de cette intervention, la resolution votée par l’onu était vide de tout contenu.L’intervention permettra au monde de decouvrir les reseaux qui livrent les armes aux jihadistes et c’est ce point qui inquiete l’algerie car beaucoup de ses generaux sont pointés.

  26. .ina… Hey, Nina… s’il vous plaît, revenez dans la république. Votre combat est terminé. Ne continuez pas à défendre la cause des bandits qui ont du sang sur les mains. 🙁

    Ce pays nous appartient à tous. Il appartient aux sonrhaïs, aux arabes aux peulhs, aux belhas, aux touaregs, aux maures, aux bambaras, au malinkés, aux bwas, aux sarakollés, aux dogons, … et à tous ceux qui ont la natonalité malienne 😀 😀 😀

    Notre combat, c’est pour le développement.

    Arrêtez votre combat absurde et revenez dans la république… 😀 😀 😀

    Vive le Mali UN et INDIVISIBLE. Démocratique et laïc. 😀 😀 😀

  27. C’est juste nous rappeler son limon noir pour tous ceux qui ont eu le temps de bien s’y planter et de s’y être enraciné profondement pendant un temps de séjour à KIDAL. Elle était dispo pour célà. Bien à vous!

  28. C’est pas cette sale PETASSE qui a ete ministre dans l’un de gouvernement d’antoumana et qui n’a meme pas le niveau du cycle fondamentale ? Mr les journalists l’acces sur l’internet ncessite quelques moyens financiers petits ou grand , c’est pour raisons de s’informer et des informations valables .
    Merci pour votre bonne comprehension .

  29. Peut-être qu’elle ne veut pas que, tournée vers le nord et chaque nuit, un autre homme la baise 😆 😆 😆

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