Tout est négociable sauf l’autonomie des régions du nord (IBK)

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Bamako, le 17 septembre 2013 au palais de Koulouba. Le président de la république du Mali,SEM Ibrahim Boubacar Keita a longuement échangé avec les représentants des différents groupes armés du nord du Mali.
Bamako, le 17 septembre 2013 au palais de Koulouba. Le président de la république du Mali,SEM Ibrahim Boubacar Keita a longuement échangé avec les représentants des différents groupes armés du nord du Mali.

BAMAKO – Le président malien Ibrahim Boubacar Kéita dit IBK a affirmé mardi lors d’une audience qu’il a accordée aux représentants des groupes armés du nord du pays que tout est négociable sauf l’autonomie des régions du nord et l’ intégrité du territoire malien.

 

 

“Tout est négociable, sauf la séparation, l’indépendance et l’ autonomie des régions du nord de notre pays. Nous avons vécu ensemble et nous allons continuer à vivre ensemble (…)”, a-t-il affirmé.

 

 

Le président IBK a dit “sentir le temps de la confiance venu”, ajoutant que si les uns et les autres lui font confiance, cette ” confiance ne sera pas galvaudée”.

 

 

Les délégués reçus par le président Kéita représentent le Mouvement de national de libération de l’Azawad (MNLA), le Haut conseil pour l’unité de l’Azawad (MCUA), le Mouvement arabe de l’ Azawad (MAA) et le Front patriotique de résistance (FPR).

 

 

Réunis à Bamako, ces délégués ont réaffirmé la volonté de leurs mouvements de résoudre définitvement la crise du nord Mali et annoncé l’institution d’une cellule de contact et de suivi, constituée de représentants de tous les groupes armés pour la suite des autres rencontres.

 

 

Source: french.china.org.cn/

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7 COMMENTAIRES

  1. Avant de commencer reconciliation ; l autototé malien doivent faire visiter les representants des differents groupes armée des coints enclavés du sud du mali .pour qu ils connaissent que l état fait beaucoup d investications pour le nord du mali. vu la nature geographique des terrains;les autres populations se battent pour leur vie cotidien :cultiver;elevage;peche.Et voir comment les femmes du sud travaillent: ramenser les noies de carité pour fair l huile;ramensser le boi dans la brousse.ils se battent pour le devellopement de leur coin sans rien demander a l état et il ne se rebelle pas vu leur condition.avec tout ils payent l impot sans protocol.ils respetent la constitution malienne sans etre decouragé.c est ça la noblesse.Avant la decoupage territoriale par les colonisateurs chaque zone avait leurs histoire:bélédougou;kénédougou;segou;kala;wagadou etc le mali est très vaste aucune zone n a demander l otonomi ni indepadence.

  2. Rien de neuf. C’est ce qu’ont dit tous les pouvoirs passes. ce qui est interessant, c’est le contenu de tout accord (est-il meme necessaire d’avoir des accords avec ces gens?) entre eux et les autorites du Mali.
    IBK aurait montre qu’il est different s’il avait dit qu’il ne recoit pas de gens contre qui PESE NT DES SOUPCON DWE CRIMINALITE (allusion aux mandats d’arrets internationaux lances contre les dirigeants des ‘mnlistes” et “An-sardinien”

  3. Bonjour.
    Moi je croie que ce n’est pas une président de la république de conduire un groupe armé quel qu’en soit l’intégrité territoriale du mali est non et non négociable.
    C’est la loi de confirme et si d’ordinaire on s’attaque à la loi,c’est la justice de faire son boulot et non le président de la république.
    Sur tout les plans en matière de la revendication économique et ce même là ne doit pas tolérer par la prise des armes comme forme de revendication du développement d’une région quelle qu’en soit la justice internationale et les ONG internationale ne font pas leur travail c’est la justice malienne de sévir la nation car c’est la justice malienne et la force de l’armé malienne de faire leur travail comme d’application de la loi et de la sécurisation de notre pays qui est le Mali,sinon le mali a un vrai problème par le nord.
    Que DIEU bénisse tous les maliens.

  4. Bonjour,
    L’engagement et la volonté d’aller de l’avant pour la réconciliation nationale et la refondation durable du Mali, dans l’unité, doivent être réellement partagés à travers un PROTOCOLE SIGNÉ par tous.

    Ayant été secoué par une crise aigüe, le Mali a besoin que toutes ses filles et tous ses fils se réconcilient, en mettant en avant la justice et la non impunité, et s’unissent pour sa reconstruction et son développement durables dans un cadre sécurisé et en toute quiétude.

    La commission vérité et réconciliation aidera à établir cette non impunité et cette justice.

    Un ÉLAN D’ENSEMBLE s’appuyant sur une nouvelle gouvernance participative et inclusive mettant en avant le bien-être, la paix et la sécurité pour tous et le renforcement de l’unité et de la cohésion nationale, est nécessaire.

    TOUS LES MALIENS DOIVENT PARTICIPER A CET ÉLAN.

    Des assises nationales INCLUSIVES conforteront un tel élan.

    Bien cordialement
    Dr ANASSER AG RHISSA
    EXPERT TIC/GOUVERNANCE
    Webanassane@yahoo.com

  5. Le nord du Mali, la grande supercherie

    Au moment où le nouveau président malien, IBK entame des négociations comme prévues dans l’accord préliminaire de Ouaga, et les résolutions de l’Onu sur le Mali, il est intéressant de s’arrêter et de regarder de près qu’est ce qui se passe au nord du Mali.

    Depuis le tout depuis des indépendances africaines, le problème du septentrion malien est un problème récurrent qui prend une place de choix dans l’agenda des présidents de la république du Mali.

    C’est avant tout un problème d’affirmation d’identité et de positionnement ethnique sur fond de revendications économiques et politiques.

    Dans ce jeu dangereux qu’est devenu un sport national, des communautés entières du nord de notre pays rivalisent de crapulerie rien que pour se faire la poche et asseoir leur domination les unes sur les autres.

    C’est un peu la course à “qui est plus aux petits soins de Bamako”.

    D’abord des mouvements éthiques armés s’attaquent de manière violante au pouvoir de Bamako et au symbole de l’État malien si ce n’est le petit banditisme, les trafics illicites en tout genre et maintenant le terrorisme international.

    Puis ils remontent en Algérie, en Mauritanie, au Niger ou au Burkina Faso si ce n’est la Libye, dès qu’ils sont traqués par l’armée.

    Car la plupart de ces malfrats détiennent une double voire triple nationalité.

    Ensuite ils se pavanent à Bamako (au moyen d’un accord qu’on dit de la paix) pour faire monter la surenchère et se remplir les poches quels que soient les crimes qu’ils commettent au nord du Mali.

    Mais les autorités maliennes ont tort de vouloir régler ce problème par Koulouba, c’est à dire par le président de la république depuis tout ce temps.

    Les revendications politiques sont à mon avis des problèmes constitutionnels qu’il faut au moins régler par la représentation nationale et par la justice.

    Nous devrons être assez fermes pour avoir des lois de pénalisation de la rébellion armée.

    Ce n’est pas à un président de la république de dire à un groupe armé, quel qu’il soit, que l’intégrité territoriale du Mali est non négociable.

    Mais c’est à la loi de le dire.
    Et si d’ordinaire on s’attaque à la loi c’est à la justice de faire son boulot et non le président de la république.
    En matière de revendication économique cette même loi ne doit pas tolérer la prise des armes comme forme de revendication du développement d’une région quelle qu’elle soit.

    Mais comme ce cadre juridique n’est pas tracé et/ou est royalement ignoré par les dirigeants du Mali, des individus sans vergogne, s’adonnent à des surenchères inacceptables après moult crimes qui sont indéfiniment impunis.

    C’est la mauvaise gestion de Koulouba avec la complicité active de l’assemblée nationale et la complicité passive de la justice malienne, qui a conduit à affaiblir le dispositif militaire au nord de notre pays, face à l’insécurité et au banditisme grandissant.

    Il n’y a aucune particularité et aucune spécificité du nord de notre pays et des populations qui le composent qui justifie une violation permanente de notre constitution, une attaque armée récurrente de la république, et une succession sans fin de crimes non punis.

    Il faut que le peuple malien réclame une présence maximale de l’armée au nord de notre pays pour y faire régner la loi.

    Et ce n’est pas normal que des ministres de la république soit empêchés de visiter Kidal alors que les représentants de ceux-la mêmes qui créent la chienlit à Kidal viennent tranquillement siroter le thé à Koulouba sans être inquiétés par la justice.

    C’est une anomalie grave, que des cyniques essaient de faire passer comme de la recherche de la paix alors que c’est de la prime à l’anarchie et à la confusion dans le pays.

    Surtout que ceux qui réclament le développement aujourd’hui des régions du nord sont ceux-la mêmes qui ont largement contribué à détourner les fonds des projets de développement à coup de milliards de FCFA orientés au nord, à saccager sans ménagement les rares réalisations économiques qui s’y trouvaient et à contribuer par leur petit larcin à y faire fuir les investisseurs, les touristes et autres ONG.

    De quel développement ils nous parlent aujourd’hui?

    Celui de leurs trafics illicites?

    Il faut que le sérieux s’installe au sommet de l’État, et qu’un coup d’arrêt soit porter à la supercherie qui consiste à faire des crimes impunément et à venir réclamer une prime au nom de la paix et de la réconciliation.

    Mais quelle paix?

    Quelle réconciliation?

    Quelqu’un a déjà entendu parler de la réconciliation entre la justice et les bandits si ce n’est la prison?

    Et pourquoi les choses doivent être différentes au Mali?

    Il y aurait-il dans notre pays des super citoyens que notre constitution a omis de nous dire?

    Ceux qui s’adonnent à la rébellion armée contre notre pays, sont ceux-la mêmes que la république a tout donné sur un plateau d’or: des postes de coordinateurs de projets, des postes de hauts fonctionnaires, des postes de diplomates, des postes juteux dans l’administration, des postes haut gradés dans l’armée, dans la douane, etc.

    Et cerise sur leur gâteau nordiste azamerdeux, tout cela leur est donné par nos dirigeants irresponsables, sans le moindre concours d’intégration à la fonction publique comme il est coutume avec les populations du sud.

    Au nom de quoi?

    On nous a toujours bassiné que c’est pour la paix!

    Et pourtant à la moindre occasion, ils collectent des informations sur l’État malien et ses institutions et prennent l’argent public pour déserter le moment venu, en volant du matériel public pour s’adonner à leur sport favori, qu’est la rébellion armée contre un pays dont ils doivent tout.

    Et ce n’est pas tout.

    Ce sont eux que vous voyez sur les médias internationaux, sur internet et dans les chancelleries internationales pour dénigrer à tour de bras le peuple Mali et son État qui leur a tout donné.

    Qui a oublié Abeibara et son massacre impuni de nos soldats?

    Qui a oublié Aguelhoc et son massacre impuni de nos soldats, ligotés et égorgés pire que des moutons de Tabaski, avec photos sur Facebook?

    Si la justice internationale, et les ONG internationales ne font pas leur travail c’est à la justice malienne de sévir.

    Elle ne doit pas laisser Koulouba copiner à nouveau avec des malfrats aux mains tachées du sang malien parce que l’Onu a été trompée par un lobby pro touareg qui prend des maliens comme du bétail.

    Je dis non, non et non, la mascarade qui a commencé à Ouaga en juin 2013, ne doit pas faire la loi au Mali, parce que des apatrides natures de la trame de Tiebilé Dramé et de Dioncounda Traoré, se plaisent dans l’impunité qu’ils confondent cela allègrement à la réconciliation nationale.

    C’est à la justice malienne et l’armée malienne de faire leur travail d’application de la loi et de sécurisation de notre pays.

    Nous voulons une réconciliation nationale équitable entre tous les fils du Mali, mais dans le cadre du droit et en parfait respect de nos lois.

    Quiconque commet un crime doit répondre devant nos juridictions, c’est cela une république et non pas autrement.

  6. Pauvres négres, dasmnés de la terre que nous sommes. Des crominels, pleins de sang dans les mains, alliés des djihadistes à KOULOUBA.

    Un jour Iyad aghali et pourquoi pas les autres bandits seront aussi reçus et quand ils seront à sec ils fomenteront encore une nouvelle rebellion. dans 5, 10 ans!! Tandja du Niger qui les a matés en 2007-2009 malgré les pressions de certains pays et sans rien concéder en retour est l’exemple à suivre (lui même ayant suivi l’exemple de Kountché, son mentor). On a un vrai problème au Mali…

    Ces gens ne comprennent que le rapport de force.

  7. Ceux qui étaient présents lors de cette rencontre sont les vrais Maliens. Les terroristes, trafiquants et autres sont toujours sur le pied de guerre et sont prêts à remmettre en cause tout accord qui ne leur laissera pas le loisir de continuer leurs trafics. Soyons vigilants. Dieu merci, le président a été ferme.

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