A en croire ledit responsable, près d’une centaine de Nord-africains, essentiellement venus d’Algérie, de Tunisie et de Libye, a rejoint les rangs d’Al-Qaïda au Maghreb islamique (AQMI). Il explique : « AQMI cherche à recruter des Marocains et des Egyptiens en grand nombre, mais n’y est pas encore parvenu ». Le samedi dernier à Tombouctou, des membres d’AQMI et du groupe islamiste armé Ançardine ont détruit le mausolée du saint musulman Sidi Mahmoud Ben Amar. Après cette désacralisation, le gouvernement provisoire du Mali a fait part de son horreur en qualifiant ce geste « d’acte indescriptible ».
Les Djihadistes foisonnent au Nord-Mali
Depuis quelques jours, les terroristes présents au Mali menacent de lancer des attaques contre l’Algérie si leurs demandes de rançon ne sont pas satisfaites. Le Jamat Tawhid Wal Jihad fi Garbi Afriqqiya (MUJAO), un groupe affilié à AQMI, fixe le prix de la libération des otages algériens et européens détenus au Mali. Mais les analystes estiment que ses demandes ont peu de chances d’aboutir. Le jeudi 3 mai, le porte-parole du groupe, Adnan Abou Walid, a fait une déclaration sur Radio Africa 1 : « Le MUJAO veut obtenir 15 millions d’euros pour les sept diplomates algériens enlevés à Gao, 30 millions d’euros pour les deux travailleuses humanitaires enlevées en octobre dernier dans un camp de réfugiés sahraouis, et la libération des prisonniers détenus par l’Algérie et la Mauritanie ». Il poursuit : « Si ces demandes ne sont pas satisfaites, nous envisagerons d’attaquer l’Algérie comme nous l’avons fait à Tamanrasset ». En fait, les menaces du MUJAO de lancer une attaque terroriste contre l’Algérie sont une indication de l’incapacité du groupe à mettre sa menace à exécution, expliquent les spécialistes des questions de sécurité. Pour eux, cette menace est le reflet d’un désespoir et d’une très grande incapacité et qu’il s’agit plutôt d’une tentative de compenser le faible moral et les pertes militaires infligées par l’armée algérienne qui a tué une vingtaine de terroristes en fin avril. En effet, les groupes terroristes ne manquent pas une occasion de s’en prendre à des cibles qu’ils estiment pouvoir atteindre. Leur menace de mener maintenant des attaques pour obtenir la libération des otages signifie qu’ils ont désormais conscience qu’ils ne pourront jamais atteindre leurs objectifs par une action militaire. C’est pourquoi ce groupe de djihadistes a « placé haut la barre » de la rançon.
Par principe, les pays rejettent le paiement de rançons à des groupes terroristes parce que ces rançons leur donnent les moyens financiers d’acheter des armes plus sophistiquées et de recruter de nouveaux membres. C’est la position officielle de l’Algérie et de la Mauritanie. Et un analyste d’indiquer : « Je ne pense pas que les pays concernés paieront des rançons de cette importance à ce groupe terroriste ». Selon lui, il existe deux options : négocier une réduction de cette rançon ou libérer les otages par la force. Les analystes reconnaissent que le paiement d’une rançon enverrait un mauvais message. Selon eux, ce paiement pourrait encourager les djihadistes à perpétrer de nouveaux enlèvements dans la mesure où ils généreraient des liquidités leur permettant de financer leurs activités et de libérer leurs prisonniers. Ils reconnaissent que des exceptions ont été faites par le passé, comme dans le cas du gendarme mauritanien Ely Ould Moctar qui avait été enlevé à Adel Bagrou, dans l’Est de la Mauritanie. Lorsque des considérations politiques contraignent la Mauritanie ou l’Algérie à payer une rançon ou à libérer des islamistes radicaux pour éviter tout embarras, elles n’y trouvent rien à redire. Les demandes du MUJAO placent l’Algérie dans une situation particulièrement délicate. Il y a tout juste une semaine, le pays a organisé un séminaire du Maghreb confirmant le principe du « refus de paiement de rançons à des terroristes » et entérinant le « refus d’échanger des terroristes emprisonnés contre des otages ». Bien plus, à plusieurs reprises, les autorités algériennes ont confirmé le principe du refus du paiement de rançons. Il est donc urgent de mettre en garde contre le fait que les enlèvements pour obtenir des rançons dans le Golfe d’Aden, dans l’Océan indien, au Sahel africain et dans d’autres régions du monde menace la stabilité de ces régions et la sécurité internationale. En fait, la réponse de l’Algérie déterminera la manière dont les autres pays auront à traiter ce phénomène à l’avenir.
Jean Pierre James
c bien l’algerié Mauritanie la france les parain de rebelle c bien ça c est plus seulement maintenant dieu dor pas dieu es juste
OK, J’te suit (même si je ne suis pas totalement contre Sanogo).
Ce ne sont que des menaces. Ils savent qu’ils ne peuvent pas attaquer frontalement l’Algerie et il n’y a pas de SANOGO dans ce pays. Y en a-t-il? Peut etre qu’ils ont plus de sources plus sure que les miennes.
IL EST TEMPS QUE LA CEDEAO COMMENCE LES BOMBARDEMENTS AERIENS. IL NE FAUT PAS « DONNER AUX ANSAR DIENS, INDEPENDANTISTES DOMINES, AQMIENS ET AUTRES CAFARDS DE SE FECONDER INVITRO’LEMENT » ET DE S’INSTALLER.
+=+=+=+=+=+=+=+=+=+=+=+=+=+Juste une idee+=+=+=+=+=+=+=+=+=+=+=+=+=
JE M’ADRESSE A TOUS LES HOMMES ET FEMMES SENSES QUI INTERVIENNENT SUR MALIWEB: EST-IL POSSIBLE DE COMMENCER SUR CE SITE, UN MOUVEMENT QUI FORCERAIT LES MILITAIRES A SE PREPARER POUR LA LIBERATION DU NORD? Au moins a les pousser a aller commencer les preparatiFS a Mopti?
A PARTIR D’UNE CERTAINE DATE (12 Mai 2012 par exemple), TOUS LES INTERVENTIONS (POSTES) SUR CE SITE SE REDUIRAIENT OU COMMENCERAIENT PAR:
« HONTE AUX MILITAIRES QUI SE CACHENT A BAMAKO, KATI, KOULIKORO… ALORS QUE LES 2/3 DE LEUR PAYS SONT OCCUPES. A BAS LE MILITAIRES CITADINS »
!!!!!!!!!!!!!!+++++++++Juste une Idee!!!!!!!!!!!!!!!!!+++++++++++++++++++
MON CHER MIEUX VAUT COMPTER SUR TOI QUE DES MILITAIRES MUNIENT DE CHARES ET DES BLINDES FUIENT DES HOMMES EN VEHICULES
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