Actuellement une mission technique d’évaluation de la Cour pénale internationale (CPI) conduite par Hamadi Ba séjourne au Mali. Cette mission qui doit précéder à un examen préliminaire de la situation au Mali, fait suite à la plainte déposée par notre pays devant cette juridiction à la Hayes contre les crimes de guerre et crimes contre l’humanité perpétrés dans le septentrion par les différents groupes armés d’occupation.
Au-delà de cette plainte contre les organisations terroristes auteurs de ces crimes comme MNLA, MUJAO, AQMI, Ançar Dine, l’Etat malien doit sévir vigoureusement contre les pays qui parrainent et financent ces organisations.
De nos jours, le Qatar est connu de tous comme le principal bailleur de fonds des mouvements djihadistes et la Suisse comme le principal partenaire technique et financier du MNLA. Le gouvernement suisse vient d’en donner la preuve, à travers son parrainage politique et financier de la rencontre du MNLA tenue du 23 au 25 juillet 2012 à Ouagadougou.
L’attitude ce pays qui intervient au Mali depuis quelques années à travers divers programmes est compréhensible si l’on sait que les rebelles du MNLA restent attachés à la partition du Mali. Aussi, faut-il souligner que le financement par la Suisse de la rencontre de Ouagadougou viole le droit international, notamment la résolution 2056 du Conseil de Sécurité des Nations Unies.
A travers la résolution 2056, placée sous le chapitre VII de la Charte des Nations Unies, et adoptée à l’unanimité de ses membres, le Conseil de sécurité a “réaffirmé son rejet catégorique des déclarations du Mouvement national pour la libération de l’Azawad (MNLA) relatives à une prétendue “indépendance” du nord du Mali et réaffirmé en outre qu’il considère de telles annonces comme étant nulles et non avenues, agissant en vertu du Chapitre VII de la Charte des Nations Unies“.
Dans le même ordre d’idée, le Conseil de sécurité avait rappelé que «l’intégrité territoriale du Mali ne peut pas être remise en cause et exige des groupes rebelles la cessation immédiate des hostilités, ainsi que le renoncement à leurs liens avec les groupes terroristes présents dans la région». Malgré cette prise de position, on ne peut plus claire, la Suisse continue d’apporter une assistance financière au MNLA pour le pousser davantage à mettre le Mali en difficulté.
Certes, la Suisse avait été connue jusque là comme un pays receleur de nombreux grands dignitaires qui ont détourné les ressources de leurs pays pour les loger dans des comptes dans les banques suisses, elle vient de franchir un autre pallier en finançant directement une organisation terroriste et séparatiste.
Le gouvernement malien, comme exigé dans une déclaration datée du 28 août par l’Alliance des Démocrates Patriotes pour la Sortie de Crise (ADPS) doit convoquer sans délai l’Ambassadeur de la Confédération Helvétique au Mali pour lui signifier le mécontentement du peuple malien et en tirer toutes les conséquences, jusque et y compris la rupture des relations diplomatiques.
L’ADPS, qui a dénoncé avec la dernière rigueur les actions hostiles et inadmissibles de certaines puissances étrangères, dont le Qatar et la Suisse, à l’endroit du peuple malien à travers leur soutien aux mouvements terroristes, jihadistes et sécessionnistes (MNLA, MUJAO, AQMI, Ançardine et autres narcotrafiquants) occupant le nord du Mali, a invité “le Gouvernement malien, la CEDEAO et l’Union Africaine à saisir le Conseil de Sécurité des Nations Unies face à ces agissements contraires au droit international, notamment la résolution 2056 du Conseil de Sécurité, et mettant en cause non seulement l’intégrité territoriale du Mali mais aussi la sécurité de la sous-région ouest africaine et du monde entier. L’ADPS engage le Gouvernement à faire preuve de vigilance par rapport au jeu trouble et troublant de certains de nos partenaires extérieurs africains et non africains“.
Youssouf CAMARA
Notre gouvernement meme n’est pas utile, sinon un petit group comme MNLA ne doit pas avoir plus de soutien qu’un Etat.
Si vous restez enfermer, les gens qui sont ouver monde auront du soutient bien sure.
Notre désolation est sans fin. Décidément le cauchemar est toujours d’actualité.
C’est l’armée que nous nalons envoyé!!!!!!!!!!! 👿 👿 👿
Le gouvernement malien doit d’abord lancer des mandats d’arrêt internationaux à l’encontre de tous les “responsables du mlna”, ATT et suite au lieu qu’on parle de suisse, qatar ou autres. Ce sont certains maliens d’abord qui nous ont conduit là ou nous sommes….. Donc tout gouvernement sérieux doit s’atteler à faire ce travail et très rapidement.
Bien vu Toutan.Au lieu de nous attaquer aux autres, balayons d’abord
à nos portes:Le staff du MNLA est à Ouaga!Qu’est ce qui nous empêche d’aller les chercher une fois notre pays libéré!Aujourd’hui nous avons
besoin et de leaders forts et d’institutions fortes pour notre pays le Mali.Nous sommes “trop” gentils au Mali.Qui ne souvient pas de l'”échange” que le Mali a fait en libérant 5 terroristes dangereux d’AQMI contre l’otage français Pierre CAMATTE ?Maintenant c’est notre pays qui est occupé, nous n’allons pas attendre qui que ce soit pour intervenir nous-même!Mais désormais soyons vigilants dans le choix de nos futurs chefs d’états:un général n’est pas forcement un grant homme politique…ATT nous a démontré les preuves. 😉 😉
LA SUISSE EST UN ETAT MAFIEUX.
Tout le monde est au courant sauf l hyper-premier ministre et son gouvernement ,sinon comment expliquer le silence du super intelligent dont la seule qualite jusqu’ici est la perception des salaires ce que soumana sacko a fait en 1986 dans des conditions financieres bien difficiles
MON FRÈRE , IL NE FAUT PAS COMPARER L’ANNÉE 1986 ET LA CRISE QUE LE MALI VIT ACTUELLEMENT EN 2012, CE SONT DEUX SITUATIONS COMPLÈTEMENT DIFFÉRENTES; LE NORD EST OCCUPÉ PAR DES GROUPES ARMÉS TERRORISTES ,CRUELS DONT LA MENACE GUETTAIT LE PAYS DEPUIS PLUSIEURS ANNÉES ,ET NOS AUTORITÉS N’ONT PAS ANTICIPÉ LA DÉFENSE , ON DIRAIT QU’ILS ONT MINIMISÉ LE DANGER; C’EST DEVENU UN PROBLÈME CHRONIQUE GRAVE;LE MALI N’ÉTAIT PAS PRÉPARÉ À GÉRER UNE TELLE CRISE ; RAPPELEZ-VOUS L’ALGÉRIE COMBAT LES MÊMES BANDES TERRORISTES ARMÉES DEPUIS 1992;
CE N’EST PAS FACILE DE LES COMBATTRE, C’EST MALHEUREUX À DIRE MAIS JE PENSE QU’ON EN A POUR ,AU MOINS 8 ANS OU PLUS ; ET QUELQUE SOIT LE GOUVERNEMENT MIS EN PLACE À BAMAKO;
IL NE FALLAIT PAS QU’IL RENTRE SUR LE TERRITOIRE MALIEN; ILS ONT UNE CAPACITÉ DE NUISANCE ET DE DESTRUCTION ÉNORMES, CE SONT EUX LES VRAIS “CHAYTANES”;
ATT A CONSTRUIT DES INFRASTRUCTURES , DES LOGEMENTS …ETC COMME DISENT CERTAINS , MAIS C’EST L ‘ARMÉE QUI EN PÂTIT AUJOURD’HUI ET TOUTE LA NATION MALIENNE;
UN PAYS QUI N’A PAS UNE ARMÉE FORTE EST UN PAYS EN DANGER;C’EST COMME UNE MAISON SANS PORTE, ON Y RENTRE ,ON Y SORT QUAND ON VEUT!
EN 1986 SOUS MOUSSA TRAORÉ , ON AVAIT ENCORE UNE PUISSANCE ARMÉE FORTE ,L’UNE DES MEILLEURES DE LA SOUS-RÉGION ; LA GUERRE ENTRE LE MALI ET LE BURKINA EN DÉCEMBRE 1986, A ÉTÉ D’UNE COURTE DURÉE GRÂCE À DIEU , GRÂCE À L’ARMÉE DE GMT;
VIVE LE MALI ! VIVE L’AFRIQUE ! VIVE LA PAIX DANS LE MONDE!
mON CHER sOUMANA sACKO N’A PAS ETE MINISTRE EN 1986, C’ETAIT PLUTOT EN 1989.
Avant d’accuser la Suisse, il faut accuser le Burkina pour avoir abrité la dite réunion du MNLA. Pourquoi le BF accepte ces traitres sur ses terres. Le Mali doit convoquer l’ambassadeur du BF pour le mettre en garde des agissements de son pays. Prenons l’exemple du Sénégal qui vient de mettre en garde Yaya Jameh. Un peu de dignité quand même.
tu ne peux pas aller loin en politique…
Ahahaha….Et pourtant elle est deja parti loin en diplomacie jusqu’au top au canada! a sa place je l’aurai ferme pour le bonnnn! 😆 😆 😆
Mon cher compatriote laissons le BF si on arrive à faire contre ces groupuscules armés grois-tu on pourra contre le faso?je n’en crois pas du tout,nous n’avons de militaire digne de son nom c’est pourquoi on est obligé d’accepter tout
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