Une rencontre tripartite de haut niveau a été tenue mardi pour trouver au plus vite le salut public, à savoir éteindre le feu, sans ergoter sur les détails
La situation socio-sécuritaire dans le centre du pays est très préoccupante, mais celle qui prévaut à Douentza et Koro est au bord de l’implosion d’une guerre ethnique, notamment entre peulh et dogon. En effet, depuis la mi-février, les affrontements intercommunautaires se sont multipliés avec des assassinats ciblés et de nombreuses destructions de biens. C’est très douloureux et le temps presse face au crescendo des affrontements et assassinats ciblés.
Pour faire face à cette situation qui n’est pas propre au Mali, le gouvernement a décidé de prendre le taureau par les cornes et ce, par l’approche de cohésion qui sied. Il a initié le mardi 12 mars à la Maison des Ainés, une importante rencontre tripartite composée du ministre en charge de la Sécurité et de la Protection civile général Salif Traoré et son homologue de la Réconciliation nationale Mohamed et de la Cohésion sociale Mohamed El Moctar et des ressortissants deDouentza et de Koro. Cette rencontre a regroupé au tour des deux membres du gouvernement, les représentants des communautés à la base, des élus de la localité, des associations culturelles de Ginna Dogon et TabitalPulaku, du chef de la mission d’appui à la réconciliation. Bref, tous les fils épris de paix et de la préservation du vivre ensemble séculaire dans ces localités ont pris part à la rencontre.
Il s’agissait ni plus ni moins que de trouver au plus vite le salut public, celui d’éteindre le feu, sans ergoter sur les détails. C’est dans un climat émouvant et constructif que, sans autre forme de procès, il a été demandé à toutes les parties prenantes de faire des propositions pour pouvoir agir le plus vite possible. Pour le ministre de la Sécurité et de la Protection civile général Salif Traoré, on a habituellement des attaques terroristes au centre du Mali, mais le Mali ne connait pas cette forme de situation conflictuelle et qu’il est temps de cesser de faire des constats, d’agir plus vite.
Rappelons ces deux derniers mois de l’année 2018 ont été marqués par la dégradation de la situation sécuritaire dans le cercle de Koro et ravivé le malheureux évènement consécutif à l’assassinat, en juin dernier, d’un chasseur dogon. Cette situation avait provoqué des affrontements inter-communautaires entre les peulh et dogon des villages de Gondogouro (commune de Diankabou), Tanfadala et Nawadjè (commune de Dioungani). Depuis cette date, la tension reste toujours vive entre les deux communautés et le conflit semble se déplacer pour embraser toutes les communes de l’est de Koro (Dinangourou, Dioungani, Yoro et Bondo).
Il est à noter que la situation se complique d’avantage et l’amalgame gagne de terrain de part et d’autre. Aujourd’hui, avec l’absence prolongée de l’Etat, les chasseurs constitués en groupes d’auto-défense et les groupes armés non identifiés s’affrontent quotidiennement, provoquant un déplacement même des populations. Selon certains témoignages, les belligérants, détiendraient de véritables armes de guerres avec pour conséquence le lot de mort et la paralysie des activités de développement et la fermeture des services sociaux de base.
Daniel KOURIBA
Le vrai problème de ce pays, ce sont ses autorités. IBK ne peut pas attendre quatre ans et demi, à l’approche des élections, pour faire croire aux Maliens qu’il s’occupe de l’armée. Cette situation dure depuis des années, et va perdurer si un dialogue franc n’est pas engagé rapidement. Les autorités doivent faire prendre conscience aux protagonistes, de la situation qui règne dans le reste du pays, et que le Mali a besoin des forces qu’ils déploient pour s’entre tuer. Ces forces permettront au Mali d’avoir des milices villageoises qui l’aideront à éradiquer l’insécurité grandissante qui affecte pratiquement tout le pays. S’il est prouvé, que le pouvoir, par quelque moyen que ce soit, est celui qui tire les ficelles dans cette dramatique affaire, les Maliens doivent alors comprendre quelle sorte d’individu ils ont placé à la tête du pays. Que ne feraient ces salopards, pour conserver le pouvoir? Décidément, les choses se complique davantage pour IBK. Les élections ne sont que dans quelques petits mois.
On voit mal IBK, s’il est intelligent, accepter de quelque conseiller que ce soit, l’initiative d’une pareille machination visant à déstabiliser davantage le pays. Si la chose se confirme, les Maliens ne se contenteront pas de simples déclarations divinatoires tendant à minimiser l’ampleur de l’affaire, ils voudraient savoir ce qui s’est réellement passé, et demanderont des noms. Cette affaire est gravissime, elle ne saurait être dissimuler d’aucune manière, s’il est prouvé que le pouvoir en est l’auteur, le complice ou l’initiateur. L’entourage de IBK en serait le commanditaire.Comme si le Nord, le Sud et le Centre ne suffisaient, IBK va embraser le pays tout entier si son pouvoir est pris la main dans le sac, commanditaire de ces affrontements meurtriers, IBK devra foutre le camp avant que les petits jeunes aux marteaux pointus n’atteignent Sébéninkoro. Dioncounda peut lui en souffler un mot, lui qui les a subit. Ils lui font un trou dans le crane et s’en vont. L’ampleur de Boua Ka Bla a dépassé nos frontières. Plus personne ne se sent en sécurité, le Malien dort d’un seul œil, craignant chaque jour pour sa vie. Cette situation ne saurait durer éternellement. Seul le changement de gouvernance peut contribuer au rétablissement de la paix et la de quiétude. Quelles horribles personnes, ceux des conseillers qui ont eu cette idée morbide, machiavélique, et celui à qui ça profite. Les médiateurs ne doivent plus traîner, ils doivent être sur le terrain très rapidement pour éteindre ce feu qui, s’il se propage, risque de compromettre la tenue des élections à venir et, il est déjà demain. Les populations doivent enterrer la hache de guerre et regarder dans la même direction. C’est l’existence même de notre pays qui est menacée .
“…Pour le ministre de la Sécurité et de la Protection civile général Salif Traoré…. mais le Mali ne connait pas cette forme de situation conflictuelle et qu’il est temps de cesser de faire des constats, d’agir plus vite….” DONC C’EST TOUTES NOS AUTORITES QUI “DORMAIENT ET NE SE SONT REVEILLEES QUE MAINTENANT”? CE PROBLEME EXISTE DEPUIS AU MOINS 2 ANS ET PRESQUE TOUS LES MALIENS CONSCIENTS SE SONT ALARMES DE LA SITUATION A MOPTI.
Ce n’est pas a la derniere minute que vous allez venir nous sortir des conneries ici. Rappellez-vous 2012, quand ATT a voullu organiser coute que coute les elections, malgre la situation qui prevalait. L’histoire, si elle ne se repete pas au Mali y begaie en tout cas…
Donc, au Mali sous protectorat fasciste français, faut-il appartenir à une ethnie à peau claire pour avoir l’authorisation de créer sa milice armée à caractère tribale ?
Donc, les touareg, les arabes et les maures peuvent prendre les armes quand ils le veulent et tuer qui il veulent, tandisque la majorité noire doit se contenter de travailler comme des esclaves sous le soleil atroce, payer à l’Etat malien tous les impôts et taxes, émigrer clandestinement en Europe au peril de sa vie et de sa dignité humaine, financer le train de vie extravagant du gouvernement et de l’administration malienne, financer mêmes les armes et véhicules utilisés par les milices touaregues, arabes et maures pour sémer la terreur au sein de laajorité noire désarmée au Mali ???
Dignes filles et fils des grands hommes et femmes de la savane ouest-africaine, levez-vous immédiatement et balayer toutes les salétés qui vous entourent et vous empêchent de vivre dignement dans votre propre pays !!!!!!!
L’ONU doit dégager sinon des épidémies mystérieuses vont éclater dans les bases de la Minusma au Mali !!!!!
Oui, pour notre survie, nous utiliserons tous les moyens !!!!!
Les français vont payer un prix historique pour ce qu’ils ont fait au Mali !!!@!!!@!
Les dogons ne peuvent pas se laisser chaque fois assassiner par les soit disant djihadistes et croiser les bras. Peuple dogon, partout où vous êtes, choisissez la mort dans la dignité.
Pendant que le MALI utile se meurt, le régime en place fait de la diversion avec un accord fantoche de paix avec des éléments qui n’ont les moyens de faire ni la paix, ni la guerre. L’économie de se pays repose sur trois choses, à savoir l’élevage, la pêche et l’agriculture et Dieu sait que les régions de Ségou et Mopti au centre du pays sont à la pointe de ces trois secteurs. Si demain ces régions s’embrasaient, qu’est-ce qu’on fera de KIDAL ? Où est-ce que l’état compte trouver des ressources qu’il lui faut pour constituer à loger et à nourrir les responsables de la CMA et du MNLA sous les lambris dorés de la capitale ?
Comme pour nous donner l’œuf à la place du bœuf que l’on est entrain de perdre, le Premier Ministre va faire un voyage à KIDAL pour nous faire croire que cette ville maudite est de retour dans le giron de Koulouba. 😢😢😢😢😢
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