La situation sécuritaire se dégrade de plus en plus dans le cercle d’Ansongo et dans la région de Ménaka.
Au cours de la première décade du mois de septembre 2022, plusieurs batailles ont opposés les combattants du Mouvement pour le Salut de l’Azawad (MSA) de Moussa Ag Acharatoumane, appuyés par le GATIA, aux terroristes ou islamistes d’ad-dawla al-islamiyya (DAESH).
Des dizaines de morts ont été enregistrés de part et d’autre. Les mouvements armés du Mali ont même gagné des batailles, avant d’abandonner leurs positions. L’armée malienne est aussi venue en renfort au sol et en Air. Cela a soulagé la partie malienne et les populations de Ménaka et environs.
Elles ont même crié victoire. Malheureusement, elle a été de courte durée puisque les positions n’ont pas été maintenues. Résultat : DAESH et l’EIGS (l’Etat Islamique au Grand Sahara), ces deux organisations islamiques se sont livrées une guerre sans merci pour le contrôle de notre territoire.
Finalement, il nous revient, de sources locales, que c’est bien DAESH qui a eu le dernier mot. Face à cette situation, le Général El Hadj Gamou, leader de la communauté Imghad, a demandé à ses parents de quitter les villages pour s’approcher des grandes villes parce « qu’il n’y rien pour les arrêter ».
Ce discours que nous avons qualifié de défaitiste parait réaliste pour certains notamment l’ancien Premier ministre, Moussa Mara.
En tout cas, il a permis de sauver des vies puisque depuis cette période jusqu’aujourd’hui les habitants ne cessent de fuir les villages et hameaux pour se réfugier à Gao et à Ansongo.
Ils dénoncent des exactions et autres écarts ainsi que des abus commis par les nouveaux maitres de la région de Ménaka : DAESH !
La situation s’aggrave : la ville d’Ansongo, dans la région de Gao, est remplie de réfugiés, venus des villages, périphéries et hameaux environs.
Des témoignages, il ressort que l’EIGS est le maitre du terrain. Il s’agit de se soumettre à la charia ou de quitter les villages et environs. Ce qui explique la cascade de réfugiés dans les deux grandes villes notamment Gao et Ansongo.
Autrement dit, DAESH occupe la région de Ménaka et l’EIGS dicte sa loi à Ansongo. Cela est su par tous les mouvements armés, lesquels sont dans un repli tactique.
L’armée malienne observe et peaufine certainement une stratégie pour combattre ces groupes terroristes.
En tout cas, le moment est venu pour le partenaire stratégique du Mali ( la Russie) de prêter mains fortes au pays pour défendre le territoire national. Il est aujourd’hui envahi par une horde de terroristes dans les régions de Gao et Ménaka.
C’est le moment d’agir pour éviter le pire avec leurs propensions expansionnistes qui pourraient les conduire à avancer vers la ville de Gao et la région de Tombouctou.
Rappelons-nous toujours les évènements de 2012 qui ont tristement fait sombrer notre pays, avec l’avènement d’un certain capitaine Amadou Aya Sanogo, « bombardé Général » pour reprendre l’expression de notre excellent confrère, Serge Daniel.
L’heure est grave ! L’union sacrée s’impose ! L’unité d’action également !
Wa-Salam !
El Hadj Chahana Takiou
If those terrorists occupy those areas in semi controlling or controlling way they are open to hit plus run attacks we were once open too. Of course their way of managing those attacks will be ambushes but if we conduct skillful hit plus run attacks our reconnaissance should uncover likely ambushes before they may be carried out. That ambushing method could be death of many terrorists.
Terrorists know we are increasing our ranks so that we not only crush them on battlefield but that FAMA may stay plus maintain security unto ever terrorist in that region of battle is neutralized.
Henry Author Price Jr aka Kankan
” En tout cas, le moment est venu pour le partenaire stratégique du Mali ( la Russie) de prêter mains fortes au pays pour défendre le territoire national. ”
Le supposé partenaire stratégique est lui même empêtré dans la boue. Il se cherche.
Les Maliens vont se débrouiller tout seul cette fois-ci. Puisqu’on a insulté et dénigré tout le monde, il faut maintenant se défendre ou fuir.
Nos militaires des palais ne sont pas prêt à aller au front.
Les Djihadistes viendrons les chercher à Bamako.
C’est une question de temps.
On ne peut compter que sur l’armée Guinéenne pour nous aider. Mais cette armée est aussi accaparée par la vie des palais. Elle n’est pas mieux que la notre. C’est une armée de pacotille.
Nos chasseurs Dozos sont dans un autre monde. Ils sont encore dans le moyen-âge.
Dès que la situation pourrisse, les mercenaires qui sont venus pour l’argent et non pour defendre le Mali, prennent la fuite.
J’espère me tromper, cepandant, il est clair que les militaires au pouvoir ont induit les Maliens en erreur et ont commis le crime de faire appel à des mercenaires en lieu et place de nos voisins et des autres partenaires sérieux.
Il reste à aller dans les mosquée pour demander à ALLAH de venir faire la guerre pour nous.
“…L’armée malienne observe et peaufine certainement une stratégie pour combattre ces groupes terroristes….”
L’ARMEE MALIENNE NE DOIT SURTOUT PAS INTERVENIR PARTOUT OU SE TROUVE LES GROUPES ARMEES TOUAREGS. N’EST-CE PAS CES DERNIERS QUI AVAIENT DIT QUE EUX SEULS (LES FILS DU TERROIR) PEUVENT COMBATRE DANS LEUR REGION: ALORS PUISSASSE QUI POURRA
AGAIN L’ARMEE NE DOIT INTERVENIR QUE SI TOUS LES GROUPES REBELLES OU PRO-BAMAKO DESARMENT. ALORS CEUX QUI VEULLENT S’ENGAGER DANS L’ARMEE LE FERONT S’ILS N’ONT PAS D’ANTECEDANT.
UNE ARMEE NATIONALE NE PEUT COHABITE AVEC DES GROUPES ARMES, AMIS OU RIVAUX SOIENT-ILS.
Les habitants d’Ansongo et Menaka sont des liens parental directe avec les terroristes donc pour finir avec ces voyous ne pas pour 2 jours, il faut que les familles terroristes dénoncer.
“La situation sécuritaire se dégrade de plus en plus dans le cercle d’Ansongo et dans la région de Ménaka…..” elle est ou la surprise ????
“L’armée malienne observe et peaufine certainement une stratégie pour combattre ces groupes terroristes…..” arrêtez de nous faire rire svp….l’armée malienne ne fera rien ce sont des incapables notoires….les speudo-supplétifs russes non-plus
L’affaire est pliée depuis longtemps
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