Sahel: Macron fait le point avec les dirigeants du Niger, du Tchad et du Burkina

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Le président français Emmanuel Macron a discuté vendredi de “la transformation” du dispositif militaire français au Sahel, en recevant ses homologues burkinabé Roch Marc Christian Kaboré, nigérien Mohamed Bazoum et le président du Conseil militaire de transition du Tchad, Mahamat Idriss Déby Itno, a indiqué l’Elysée.

Au cours de cette réunion d’une heure à l’Elysée, les quatre dirigeants “ont fait un point d’étape sur la transformation en cours du dispositif militaire français au Sahel”, qui “vise à recentrer l’action de la France sur la lutte contre le terrorisme et le soutien aux armées nationales”, selon la présidence. “Ils ont également évoqué les activités opérationnelles à venir de la force conjointe du G5 Sahel”, a précisé l’Elysée à l’issue de la rencontre, organisée en marge d’une conférence internationale pour la Libye.

Paris a entrepris en juin de réorganiser son dispositif militaire, l’opération Barkhane, en quittant notamment ses trois bases les plus au nord du Mali pour le recentrer autour de Gao et Ménaka, aux confins du Niger et du Burkina Faso. Ce plan prévoit une réduction des effectifs, de plus de 5.000 actuellement, à 2.500/3.000 d’ici 2023. Ces changements interviennent dans un contexte de tension entre la France, ex-puissance coloniale et partenaire historique, et le Mali à la suite d’un nouveau coup d’Etat à Bamako. Cette tension est montée d’un cran en septembre lorsque le Premier ministre de transition malien Choguel Kokalla Maïga a accusé Paris d’un “abandon en plein vol” en raison de ce plan.

Des critiques censées justifier le possible recours par Bamako à la société paramilitaire privée russe Wagner, décrite comme proche du président russe Vladimir Poutine. Les chefs des diplomaties russe Sergueï Lavrov, présent vendredi à Paris, et malienne Abdoulaye Diop ont réaffirmé jeudi leur volonté de poursuivre le partenariat militaire entre les deux pays, arguant d’un risque terroriste renforcé par le retrait partiel des troupes françaises.

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17 COMMENTAIRES

  1. ###La charte de l’impérialisme ###

    La présente « charte » a été élaborée à Washington pendant la « traite négrière », ensuite discrètement négociée à la « conférence de Berlin en 1885 » pendant que les puissances Occidentales se partageaient l’Afrique ; renégocié secrètement à Yalta au moment du partage du monde en deux blocs après la deuxième guerre mondiale et pendant la création de la « Société des Nations », l’ancêtre de l’« ONU ». Source : « Musée de Tervuren [*]

    I. DISPOSITION GÉNÉRALE

    Article 1° :
    De la Devise : – Devise de l’impérialisme : Gouverner le monde et contrôler les richesses de la planète ; Notre politique est de diviser pour mieux régner, dominer, exploiter et piller pour remplir nos banques et faire d’elles les plus puissantes du monde.

    Article 2° :
    Aucun pays du tiers-monde ne constitue un Etat souverain et indépendant.

    Article 3° :
    Tout pouvoir dans les pays du tiers-monde émane de nous, qui l’exerçons par la pression sur les dirigeants qui ne sont que nos marionnettes. Aucun organe du tiers-monde ne peut s’en attribuer l’exercice.

    Article 4° :
    Tous les pays du tiers-monde sont divisibles et leurs frontières déplaçable selon notre volonté. Le respect de l’intégrité territoriale n’existe pas pour le tiers-monde.

    Article 5° :
    Tous les dictateurs doivent mettre leurs fortunes dans nos banques pour la sécurité de nos intérêts. Cette fortune servira des dons et crédits accordés par nous comme assistance et aide au développement aux pays du tiers-monde.
    II. DU RÉGIME POLITIQUE

    Article 6° :
    Tout pouvoir et gouvernement établi par nous est légal, légitime et démocratique. Mais tout autre pouvoir ou gouvernement qui n’émane pas de nous est illégal, illégitime et dictatorial, quelle que soit sa forme et sa légitimité.

    Article 7° :
    Tout pouvoir qui oppose la moindre résistance à nos injonctions perd par le fait même sa légalité, sa légitimité et sa crédibilité. Il doit disparaître.
    III. DES TRAITES ET DES ACCORDS

    Article 8° :
    On ne négocie pas les accords et les contrats avec les pays du tiers-monde, on leur impose ce qu’on veut et ils subissent notre volonté.

    Article 9° :
    Tout accord conclu avec un autre pays ou une négociation sans notre aval est nulle et de nul effet.
    IV. DES DROITS FONDAMENTAUX

    Article 10° :
    Là où il ya nos intérêt, les pays du tiers-monde n’ont pas de droit, dans les pays du sud, nos intérêts passent avant la loi et le droit international.

    Article 11° :
    La liberté d’expression, la liberté d’associations et les droit de l’homme n’ont de sens que dans le pays où les dirigeants s’opposent à notre volonté.

    Article 12° :
    Les peuples du tiers-monde n’ont pas d’opinion ni de droit, ils subissent notre loi et notre droit.

    Article 13° :
    Les pays du tiers-monde n’ont ni culture ni civilisation sans se référer à la civilisation Occidentale.

    Article 14° :
    On ne parle pas de génocide, de massacre ni des « crimes de guerre » ou des « crimes contre l’humanité» dans les pays où nos intérêt sont garantis. Même si le nombre des victimes est très important.
    V. DES FINANCES PUBLIQUES

    Article 15° :
    Dans les pays du tiers-monde, nul n’a le droit de mettre dans leurs banques un plafond d’argent fixé par nous. Lorsque la fortune dépasse le plafond, on la dépose dans l’une de nos banques pour que les bénéfices retournent sous forme des prêts ou d’aide économique au développement en espèce ou en nature.

    Article 16° :
    N’auront droit à l’aide précitée, les pays dont les dirigeants font preuve d’une soumission totale à nous, nos marionnettes et nos valets.

    Article 17° :
    Notre aide doit-être accompagnée des recommandations fortes de nature à empêcher et briser toute action de développement des pays du tiers-monde.
    VI. DES TRAITES MILITAIRES

    Article 18° :
    Nos armées doivent être toujours plus fortes et plus puissantes que les armées des pays du tiers-monde. La limitation et l’interdiction d’arme des destructions massive ne nous concerne pas, mais les autres.

    Article 19° :
    Nos armées doivent s’entraider et s’unir dans la guerre contre l’armée d’un pays faible pour afficher notre suprématie et se faire craindre par les pays du tiers-monde.

    Article 20° :
    Toute intervention militaire a pour objectif de protéger nos intérêts et ceux de nos valets.

    Article 21° :
    Toute opération d’évacuation des ressortissants des pays Occidentaux cache notre mission réelle, celle de protéger nos intérêts et ceux de nos valets.
    VII. ACCORDS INTERNATIONAUX

    Article 22° :
    L’ONU est notre instrument, nous devons l’utiliser contre nos ennemis et les pays du tiers-monde pour protéger nos intérêts.

    Article 23° :
    Notre objectif est de déstabiliser et détruire les régimes qui nous sont hostiles et installer nos marionnettes sous la protection de nos militaires sous la couverture des mandats des forces de l’« ONU ».

    Article 24° :
    Les résolutions de l’« ONU » sont des textes qui nous donnent le droit et les moyens de frapper, de tuer et de détruire les pays dont les dirigeants et les peuples qui refusent de se soumettre à nos injonctions sous la couverture des résolutions du Conseil de Sécurité de l’« ONU ».

    Article 25° :
    Notre devoir est de maintenir l’Afrique et d’autres pays du monde dans le sous-développement, la miser, la division, les guerres, le chaos pour bien les dominer, les exploiter et les piller a travers les « Missions » de «Nations-Unies ».

    Article 26° :
    Notre règle d’or est la liquidation physique des leaders et dirigeants nationalistes du tiers-monde.

    Article 27° :
    Les lois, les résolutions, les cours et tribunaux des « Nations-Unies » sont nos instruments de pression contre les dirigeants et les leaders des pays qui défendent les intérêts de leurs peuples.

    Article 28° :
    Les dirigeants des puissances Occidentales ne peuvent être poursuivis, arrêter ni incarcérer par les cours et tribunaux de l’« ONU », même s’ils commettent des « crimes de guerre », de « génocide » ou des « crimes contre l’humanité ».

    😕😕😕
    Le negre a intérêt de se réveiller.

  2. ###La charte de l’impérialisme ###

    La présente « charte » a été élaborée à Washington pendant la « traite négrière », ensuite discrètement négociée à la « conférence de Berlin en 1885 » pendant que les puissances Occidentales se partageaient l’Afrique ; renégocié secrètement à Yalta au moment du partage du monde en deux blocs après la deuxième guerre mondiale et pendant la création de la « Société des Nations », l’ancêtre de l’« ONU ». Source : « Musée de Tervuren [*]

    I. DISPOSITION GÉNÉRALE

    Article 1° :
    De la Devise : – Devise de l’impérialisme : Gouverner le monde et contrôler les richesses de la planète ; Notre politique est de diviser pour mieux régner, dominer, exploiter et piller pour remplir nos banques et faire d’elles les plus puissantes du monde.

    Article 2° :
    Aucun pays du tiers-monde ne constitue un Etat souverain et indépendant.

    Article 3° :
    Tout pouvoir dans les pays du tiers-monde émane de nous, qui l’exerçons par la pression sur les dirigeants qui ne sont que nos marionnettes. Aucun organe du tiers-monde ne peut s’en attribuer l’exercice.

    Article 4° :
    Tous les pays du tiers-monde sont divisibles et leurs frontières déplaçable selon notre volonté. Le respect de l’intégrité territoriale n’existe pas pour le tiers-monde.

    Article 5° :
    Tous les dictateurs doivent mettre leurs fortunes dans nos banques pour la sécurité de nos intérêts. Cette fortune servira des dons et crédits accordés par nous comme assistance et aide au développement aux pays du tiers-monde.
    II. DU RÉGIME POLITIQUE

    Article 6° :
    Tout pouvoir et gouvernement établi par nous est légal, légitime et démocratique. Mais tout autre pouvoir ou gouvernement qui n’émane pas de nous est illégal, illégitime et dictatorial, quelle que soit sa forme et sa légitimité.

    Article 7° :
    Tout pouvoir qui oppose la moindre résistance à nos injonctions perd par le fait même sa légalité, sa légitimité et sa crédibilité. Il doit disparaître.
    III. DES TRAITES ET DES ACCORDS

    Article 8° :
    On ne négocie pas les accords et les contrats avec les pays du tiers-monde, on leur impose ce qu’on veut et ils subissent notre volonté.

    Article 9° :
    Tout accord conclu avec un autre pays ou une négociation sans notre aval est nulle et de nul effet.
    IV. DES DROITS FONDAMENTAUX

    Article 10° :
    Là où il ya nos intérêt, les pays du tiers-monde n’ont pas de droit, dans les pays du sud, nos intérêts passent avant la loi et le droit international.

    Article 11° :
    La liberté d’expression, la liberté d’associations et les droit de l’homme n’ont de sens que dans le pays où les dirigeants s’opposent à notre volonté.

    Article 12° :
    Les peuples du tiers-monde n’ont pas d’opinion ni de droit, ils subissent notre loi et notre droit.

    Article 13° :
    Les pays du tiers-monde n’ont ni culture ni civilisation sans se référer à la civilisation Occidentale.

    Article 14° :
    On ne parle pas de génocide, de massacre ni des « crimes de guerre » ou des « crimes contre l’humanité» dans les pays où nos intérêt sont garantis. Même si le nombre des victimes est très important.
    V. DES FINANCES PUBLIQUES

    Article 15° :
    Dans les pays du tiers-monde, nul n’a le droit de mettre dans leurs banques un plafond d’argent fixé par nous. Lorsque la fortune dépasse le plafond, on la dépose dans l’une de nos banques pour que les bénéfices retournent sous forme des prêts ou d’aide économique au développement en espèce ou en nature.

    Article 16° :
    N’auront droit à l’aide précitée, les pays dont les dirigeants font preuve d’une soumission totale à nous, nos marionnettes et nos valets.

    Article 17° :
    Notre aide doit-être accompagnée des recommandations fortes de nature à empêcher et briser toute action de développement des pays du tiers-monde.
    VI. DES TRAITES MILITAIRES

    Article 18° :
    Nos armées doivent être toujours plus fortes et plus puissantes que les armées des pays du tiers-monde. La limitation et l’interdiction d’arme des destructions massive ne nous concerne pas, mais les autres.

    Article 19° :
    Nos armées doivent s’entraider et s’unir dans la guerre contre l’armée d’un pays faible pour afficher notre suprématie et se faire craindre par les pays du tiers-monde.

    Article 20° :
    Toute intervention militaire a pour objectif de protéger nos intérêts et ceux de nos valets.

    Article 21° :
    Toute opération d’évacuation des ressortissants des pays Occidentaux cache notre mission réelle, celle de protéger nos intérêts et ceux de nos valets.
    VII. ACCORDS INTERNATIONAUX

    Article 22° :
    L’ONU est notre instrument, nous devons l’utiliser contre nos ennemis et les pays du tiers-monde pour protéger nos intérêts.

    Article 23° :
    Notre objectif est de déstabiliser et détruire les régimes qui nous sont hostiles et installer nos marionnettes sous la protection de nos militaires sous la couverture des mandats des forces de l’« ONU ».

    Article 24° :
    Les résolutions de l’« ONU » sont des textes qui nous donnent le droit et les moyens de frapper, de tuer et de détruire les pays dont les dirigeants et les peuples qui refusent de se soumettre à nos injonctions sous la couverture des résolutions du Conseil de Sécurité de l’« ONU ».

    Article 25° :
    Notre devoir est de maintenir l’Afrique et d’autres pays du monde dans le sous-développement, la miser, la division, les guerres, le chaos pour bien les dominer, les exploiter et les piller a travers les « Missions » de «Nations-Unies ».

    Article 26° :
    Notre règle d’or est la liquidation physique des leaders et dirigeants nationalistes du tiers-monde.

    Article 27° :
    Les lois, les résolutions, les cours et tribunaux des « Nations-Unies » sont nos instruments de pression contre les dirigeants et les leaders des pays qui défendent les intérêts de leurs peuples.

    Article 28° :
    Les dirigeants des puissances Occidentales ne peuvent être poursuivis, arrêter ni incarcérer par les cours et tribunaux de l’« ONU », même s’ils commettent des « crimes de guerre », de « génocide » ou des « crimes contre l’humanité ».

  3. @PKagame. Votre analyse est pertinente et edifiante. ” Les divers changement de tactiques ( divisionnisme, diplomatie de forcing/menace, “campane de dénigrement” ) ne vont rien changer aux fins fond des sentiments prévalents chez les peuples Burkinabé, Nigériens, maliens, tchadiens, senegalais etc..”. Pourquoi tout ce bruit si le divorce entre le Mali et la France est déjà consommé ? Sanctions ou pas, le Mali est déjà en marche et on ne revient plus en arrière. Point final. A prendre ou à laisser.

  4. 🙂 QUI A COMME PROJET D ELIMINER L HOMME NOIR D AFRIQUE ET LA PEUPLER DE BLANCS ET DE METISSE’S?

    🙂 POURQUOI DURANT DES SIECLES LES ENFANTS DU ”DIABLE” SE SONT OCCUPES A L EXTERMINATION ET A LA DENIGRATION DES ”NEGRES” NOM INVENTE’ A CES FINS?

    🙂 QUI FAIT OCCUPER LES EXTREMES NORDS , SUD DE L AFRIQUE PAR DES BLANCS ET METISSES TOUT EN CREANT DES GENOCIDES ET DES GUERRES AU CENTRE ET ENTRE LES TROPIQUES?

    🙂 QUI S ACHARNE A ELIMINER LES CULTURES NOIRES, LES CROYANCES NOIRES, LES TRADITIONS DES FILS DES FARAHOUNAH?

    🙂 QUI A DEVALISE’ LES PAYS DES KEMTS? QUI DETERRENT NOS TOMBES? POUQUOI? EFFACER ET REECRIRE NOTRE HISTOIRE ? NOUS PERDRE A JAMAIS? REUSSIRONT-ILS?

  5. Les divers changement de tactiques ( divisionnisme, diplomatie de forcing/menace, “campane de dénigrement” ) ne vont rien changer aux fins fond des sentiments prévalents chez les peuples Burkinabé, Nigériens, maliens, tchadiens, senegalais etc.. c’est les mêmes peuples c’est le même sentiment de frustration face a ce qu’ils voient comme un système géostratégique qui ne prend jamais en compte leur intérêt (la protection de leur vie, leur développement, la souveraineté de leur pays etc…). Cette tactique de division et de séparation de pays qui ne pourront pas être séparés ne fera que plutôt alourdir la tache pour la paix et la stabilité sous régionales!
    Chercher a nous asphyxier ou a nous isoler produira des résultats encore plus dangereux en terme de rupture de relations et radicalisera le peuple malien contre la France et la CEDEAO… et les conséquences humanitaires y seront graves … et l’état malien ne restera pas bras croisés pour mourir sans actionner en coordination avec ses partenaires son propre embargo sur l’exportation de ses matières stratégiques (ex. l’or ) , y compris la viande vers les pays de la CEDEAO!

    Évitons d’aller vite au besogne … de trop tirer alors qu’on ne voit pas dans tous les angles morts… il temps d’arrêter cette frénésie de trouver un moyen de punir le Mali pour avoir tout simplement cherché a survivre face aux menaces existentielles!

  6. Pkagame: ce sont les esclaves mentaux internes qui ont toujours trahi nos pays au profit de nos ennemis.

    @Sankingba
    C’est donc ton pays a toi qui est la mouche, selon toi-même, et les autres qui prennent ton pays pour leur chasse gardée des chevaux! Pourquoi ton pays est resté une mouche pendant qui tu reste heureux avec? Toi tu es qui alors pour ta vie? Un esclave entier …et dans le corps et dans la tête.

  7. C’est donc ton pays a toi qui est la mouche, selon toi-même, et les autres qui prennent ton pays pour leur chasse gardée des chevaux! Pourquoi ton pays est resté une mouche pendant qui tu reste heureux avec? Toi tu es qui alors pour ta vie? Un esclave entier …et dans le corps et dans la tête.

  8. Rappelons nous du fable de Jean Louis de la Fontaine. «  Le coche et la mouche. « 
    Une mouche qui croit avancer un coche et les chevaux en bourdonnant. Elle accuse les occupants du coche à ne rien faire pendant que elle faisait avancer l’attelage.

  9. Le Mali joue à la roulette russe en cherchant se mettre à dos tout le monde. En se faisant passer pour une victime, la transition pense forcer la sympathie du peuple malien. Les responsables se trompent.
    La vie chère et l’insécurité généralisée seront les causes de sa perte.
    Allez aider les populations en détresse à Marebougou, Farabougou, Dogofry, Niono, dans le pays dogon. C’est la seule raison d’exister d’une armée nationale.
    En attendqnt, il faut parachuter des vivres et des médicaments.à Farabougou, Marebougou et dans tous les villages assiégés.
    L’histoire jugera notre armée selon sa capacité ou non à défendre les Maliens.
    De toute l’histoire de notre armée, nous n’avons jamais eu un regard aussi désespéré d’elle. Nous avons peur de le dire tout haut par crainte des représailles.
    Mais à vrai dire, notre armée d’aujourd’hui est à l’image du peuple malien lui même, c’est à dire…

  10. UNE PIECE MUSICALE A TOUS LES HOMMES NOIRS ET FEMMES NOIRES ENFANTS NOIRS ET JEUNES NOIRS OU’ QU ILS SOIENT, LES BAMANANW DE MPETIONAH NCHIH NI A KA DENI-BAYA, REGARDEZ ET FAITES CIRCULER!

    🙂 CALMEZ-VOUS ! NOUS SOMMES PUISSANTS ET DANS L AME ET DANS LE CORPS ET DANS L ESPRIT 🙂

    https://www.youtube.com/watch?v=rFdYTd13PjE

  11. Everywhere we find macron security go wrong.
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    Henry Author Price Jr aka Kankan

  12. Selon des sources diplomatiques, la Russie ” se dit prête à intervenir militairement au Mali au moment voulu si les autorités maliennes le souhaitent”.

    Bravo aux autorités de la transition en commençant par le ministre Diop.

  13. Le Mali ne permettra à aucun pays, aucune institution de parler en son nom.

    Aucun pays, aucune institution ne prendra une quelconque décision au nom du Mali sans les maliens.

    Tout ce qui sera fait ou dit sans le Mali sera considéré comme nul, sans aucun intérêt pour les maliens.

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