Après la fermeture de certaines écoles par des présumés terroristes, le sous-préfet de l’ex-arrondissement de Farako, dans la région de Ségou, rive gauche, a été enlevé le vendredi 13 décembre à son domicile par des hommes armés à motos. Pourtant, l’alerte avait été donnée depuis un certain temps.
Le Directeur de l’Académie d’enseignement de Ségou avait même adressé une lettre ouverte au ministre de la Sécurité et de la Protection civile, pour attirer son attention sur ce qui se passe dans cette zone laissée pour compte. Face à cette situation d’insécurité grandissante dans une zone complètement oubliée par les autorités, il est important d’installer au moins une base militaire pour sécuriser les populations. Pour ceux qui connaissent bien la zone, il n’y a même pas un poste de sécurité derrière le fleuve. C’est vraiment inadmissible dans un contexte d’insécurité.
Le gouvernement doit tout faire pour que cette partie ne tombe pas sous le contrôle des groupes armés non étatiques.
Fombus
Toi tu est un idiot
MAI$ON D€$ RAT-IDIOCCID€NTAUX surtout …
Qu’est ce qu’ils ont déjà faient pendant que nos populations meurent par centaines ??
Mais il a juste suffit d’une seule dixaine de blakoros français pour qu’ils s’écroulent par terre en fondant en larmes.
La HONTE !!!
Maudits soient vraiment nos dirigeants qui pensent que les français sont DIEU !
Très bien jouer !!! Et surtout bravo aux hommes armés non gouvernementaux.
Ça serait vraiment salutaire… s’il pouvaient nous débarrasser de tous voyous à coll blanc, ces inciviques dans les bureaux sous le climatiseur.
Qu’ils enlève même ibk, on les récompenseraient Wallaye !
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