Depuis trois semaines, les nouvelles autorités en charge de la sécurité ont initié des patrouilles à travers la ville de Bamako. Il s’agit de mettre fin à l’insécurité grandissante dans la capitale. Ces mesures sont décriées par les populations des quartiers périphériques. Elles interpellent les nouvelles autorités pour des mesures correctives de cet oubli.
Face à la gravité de la situation sécuritaire à Bamako, les nouvelles autorités en charge des questions sécuritaires ont initié des patrouilles. La mesure prise par nos autorités a été saluée par la population. Puisqu’elle va permettre de garantir la sécurité des personnes et de leurs biens. Et aussi de dissuader les bandits armés à profiter de la présente crise que traverse notre pays.
Mais depuis la mise en œuvre de cette décision, les quartiers périphériques de Bamako affirment être tenus à l’écart. Dans ses quartiers parfois privés d’électricité connaissent de nos jours un véritable problème sécuritaire. Ils sont devenus le domicile des bandits de grand chemin.
Des malfrats qui résident dans ses localités, selon nos sources, disposent d’armes très sophistiquées pour mener leurs opérations. Ils sont qualifiés dans le vol de motos (Jakarta), et dans le cambriolage. Sur les sentiers, ils enlèvent les installations électriques et les ciments.
A noter que toutes ces opérations se font dans la nuit malgré le déploiement des forces de l’ordre par les autorités de la République. Selon nos investigations, les habitants de ces zones ont affirmé que “les policiers au cours de leur patrouille se limitent aux endroits électrifiés et laissent les zones obscures à leur triste sort”.
Les habitants de ces quartiers sont très inquiets de nos jours quant à l’évolution de la situation. Ils lancent un appel aux autorités à prendre toutes les dispositions idoines pour les sécuriser.
Nabila Ibrahim Sogoba
mr Sanogo toi avec tes supporteurs sachez que le Mali est un pays tres tres pacifique il est temps de revenir en raison si non ton sort est connu
cher compatriote ne vous laissez pas tromper par ces militaires qui n/ont aucune connaissences sur les lois de la cedeao plenez les comme des oportinus qui notre Maliba en retard
SI LES MLITAIRE NE SONT PAS PRET A RETOURNER DANS LES CASERNE IL FAUT LES OBLIGER A RETOURNER CES MILTAIRE LA CES DES LARVE DES CROTE IL FAUT QUE LA POPULATION SE LEVE COMME UN SEUL ET ALLER DELOGER SANOGO ET SES BIDASSEA KATI RASER LEUR MAISON LEUR FAMILLE CEST EIL POUR OEIL DENT POUR DENT IL FAUT QUE LA POPULATION SE LEVE ET ALLETR FAIRE PAREIL PILLER LES FAMILLE DES BERET VERT COMME CELA VOUS ALLER VOIR IL VONT DEGAGER PAR CE QUE IL NE POURONT PLUS VOLER IL FAUT MATRAQUER SANOGO LE PEDEMAN AVEC LAIDE DE LA CEDEAO IL FAUT LE FAIRE SINOM LA POPULATION VA CREVER DE FAIN ET LE PEDEMAN SANOGO ET SES 6000 VOLEUR DE BIDASSE VONT GROSSIR POPULATION REVEILLER VOUS REVEILLER VOUS CHASER SANOGO DU POUVOIR
En attendant pourquoi vous ne pouvez pas signaler aux commissariat ou aux brigades de gendarmerie proches de vous la présence de ces bandits? le citoyen aussi est responsable de la lutte contre le banditisme à travers les informations fournies aux forces de sécurité.Jouez ce rôle au lieu de tout critiquer!
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