Un éventuel partenariat entre le gouvernement du Mali et la société de sécurité privée russe Wagner, s’il devait se concrétiser, devrait respecter totalement les droits humains et le droit international, a souligné vendredi Jean-Pierre Lacroix, secrétaire général adjoint de l’ONU pour les Opérations de paix.
Interrogé lors d’une conférence de presse sur l’impact possible pour la mission onusienne Minusma et ses quelque 15.000 Casques bleus d’un éventuel déploiement de membres de Wagner, le responsable a affirmé n’avoir vu aucun accord finalisé à ce sujet.
“A l’ONU, nous n’interférons pas avec les prérogatives de souveraineté nationale”, a ajouté Jean-Pierre Lacroix. Mais “il est important pour nous de continuer d’être en mesure d’accomplir notre mandat avec un soutien total du gouvernement hôte, avec une pleine coopération et coordination des forces armées locales, sans entrave, refus d’accès ou menace”, a-t-il précisé.
“Il est également essentiel que tout partenariat soit mené dans le plein respect des droits humains et du droit international humanitaire”, a insisté le secrétaire général adjoint. “Nos missions ont pour mandat de rendre compte des droits humains et du droit humanitaire” et “nous attendons de nos gouvernements hôtes, pays hôtes, qu’ils en tiennent compte lorsqu’ils s’engagent dans un partenariat bilatéral”, a-t-il aussi fait valoir.
La France et l’Allemagne ont averti qu’ils reverraient leur engagement militaire au Mali si un contrat était conclu entre le gouvernement malien et la société controversée Wagner, présente déjà dans plusieurs pays africains.
Le groupe Wagner, avec qui Moscou dément tout lien, fournit des services de maintenance d’équipements militaires et de formation mais est également accusé de mercenariat et suspecté d’appartenir à un homme d’affaires proche du Kremlin, Evguéni Prigojine.
En Centrafrique, l’ONU avait accusé au début de l’été des membres de cette entreprise paramilitaire d’y commettre des exactions. Depuis, le nombre d’accusations a diminué, a indiqué cette semaine à l’AFP un responsable onusien s’exprimant sous couvert d’anonymat.
La Russie a démenti négocier une présence militaire au Mali. De source française proche du dossier, la junte au pouvoir à Bamako étudie pourtant la possibilité d’un contrat avec Wagner sur le déploiement d’un millier de paramilitaires russes, pour former les forces armées et assurer la protection des dirigeants. Sollicité par l’AFP, le ministère malien de la Défense a reconnu mener des pourparlers avec cette société russe.
UN should expect no more of Mali with assistance of Wagner as oppose to what it have expected plus received with Mali with European assistance.
Henry Author Price Jr aka Kankan
Tout intellectuel et honnête homme sait que l ONU est aussi une organisation qui soutient les terroristes, djadistes et rebelles pour détruire le Mali et son peuple; elle détruit les pays faibles pour leur exploitation par les pays riches. Donc elle est une organisation terroriste partiale et inutile.
C est au gouvernement malien de prendre ses responsabilites. S il sait que la cooperation avec Wagner va dans le sens de l ‘interet superieur de la nation, alors pourquoi pas.
Nous n avons ni besoin de la France ou de l’ONU pour reflechir or juger a notre place.
Ceux cela meme qui se proclament defenseurs de droits humains, ont bombarde la maison de Ghadaffi tuant son fils et ses petits enfants. Ce fut au vue et au sue du monde entier; quelle sanction l ONU a elle prise contre eux. Combien de fois Barkhane a elle massacre les paisibles maliennes; est ce que cela leurs a coute leur credibilite ou leur sens du professionalisme.
La France est seulement engagee dans une compagne de diffamation contre Wagner juste pour etre la seule puissance au front du nord Mali.
Les forces étrangères censées aider le Mali à transcender l’insécurité et le terrorisme ont perdu la confiance des Maliens à partir du moment où une frange partie de leurs éléments se sont confondus avec les rebelles qui sont pourtant les principaux pourvoyeurs de mercenaires.
Et ce sont ces mêmes mercenaires qui mènent une guerre par procuration contre le Mali.
Et la France et ses alliés qui veulent nous faire croire, avec des campagnes de dénigrement, que Wagner est une entreprise de mercenariat alors qu’eux collaborent avec les premiers pourvoyeurs de mercenaires au Sahel, à savoir la CMA.
Pouvons-nous vivre pire situation que celle nous vivons actuellement ? Non!
Alors nous sommes totalement libres de demander l’appui de ceux qui veulent nous aider concrètement et honnêtement.
Bienvenue à Wagner.
VOILA POURQUOI IL NE FAUT PAS ECOUTER L ONU ET LA FRANCE ET TIRER LES CONSEQUENCES IMMEDIATEMENT
VIVE LA COOPERATION MALI RUSSIE !!!!!!!!!!les 50 EXPERTS DE WAGNER ONT DIT QUE 6 MOIS ET C EST FINI SI ON FAIT BIEN LES CHOSES
ILS PEUVENT COMPTER SUR NOUS MALIESNS CAR ON SAIT QUI EST LA FRANCE AVEC CETTE BAVURE
PAYS ARROGANT HAUTAIN ET MEPRISANT DES NEGRES
OU EN SONT LES SANCTONS ONUSIENNES CONTRE LA FRANCE APRES LA BAVURE SUR BOUNTI ?
LE MALI N A RIEN A REPROCHER A WAGNER POUR L INSTANT FAIT DES PROCES D INTENTIONS ET DES CONJECTURES
LE MONDE AFRIQUE
MALI
Mali : une frappe française a tué 19 civils en janvier, selon une enquête de l’ONU
Le ministère français des armées a vivement réagi, réfutant toute bavure de ses soldats au Mali et émettant de « nombreuses réserves » sur le rapport des Nations unies.
Le Monde avec AFP
Publié le 30 mars 2021 à 15h10 – Mis à jour le 30 mars 2021 à 21h00
Temps deLecture 2 min.
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Une enquête de l’Organisation des Nations unies (ONU) conclut qu’une frappe aérienne menée par l’armée française au Mali en janvier a tué 19 civils réunis pour un mariage, et pas seulement des djihadistes, comme l’a soutenu Paris jusqu’alors, selon un rapport consulté par l’Agence France-Presse (AFP).
Au terme de l’enquête conduite par la division des droits de l’homme de la Mission de l’ONU au Mali (Minusma), appuyée par la police scientifique des Nations unies, sur les événements survenus le 3 janvier près de Bounti (centre), la Minusma « est en mesure de confirmer la tenue d’une célébration de mariage qui a rassemblé sur le lieu de la frappe une centaine de civils parmi lesquels se trouvaient cinq personnes armées, membres présumés de la katiba Serma », assure aussi le résumé du rapport. La katiba Serma est affiliée au Groupe de soutien à l’islam et aux musulmans (GSIM, ou JNIM en arabe), alliance djihadiste, elle-même affiliée à Al-Qaida.
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Au moins 22 personnes ont été tuées, dont trois des membres présumés de la katiba Serma. Dix-neuf sont morts sur le coup et trois au cours de leur évacuation, affirme le document. Le groupe touché « était très majoritairement composé de civils qui sont des personnes protégées contre les attaques au regard du droit international humanitaire », rappelle la Minusma.
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Les autorités françaises ont toujours assuré qu’il n’y avait pas de mariage, que le renseignement avait « formellement » établi avoir affaire à un des nombreux rassemblements de djihadistes dans la région et que l’intervention d’une patrouille d’avions français lâchant trois bombes avait « neutralisé » une trentaine de ces individus. Les éléments disponibles « permettent d’exclure la possibilité d’un dommage collatéral », avait déjà fait savoir, en janvier, l’état-major français dans un communiqué.
Paris émet des « réserves quant à la méthodologie »
Le ministère français des armées a vivement réagi, réfutant toute bavure de ses soldats au Mali et émettant de « nombreuses réserves » sur le rapport de l’ONU, dans un communiqué transmis à l’AFP. Le ministère « maintient avec constance et réaffirme avec force » que « le 3 janvier, les forces armées françaises ont effectué une frappe aérienne ciblant un groupe armé terroriste identifié comme tel » près de Bounti, souligne-t-il.
La France « émet de nombreuses réserves quant à la méthodologie retenue » et « ne peut considérer que ce rapport apporte une quelconque preuve contredisant les faits tels que décrits par les forces armées françaises ».
Cette frappe « soulève des préoccupations importantes quant au respect des principes de la conduite des hostilités, notamment le principe de précaution », selon le document. Lors de son point de presse quotidien, le porte-parole de l’ONU, Stéphane Dujarric, a, quant à lui, fait savoir que ces préoccupations portaient aussi sur « les principes de précaution et l’obligation des Etats membres de tout faire pour vérifier que les cibles sont bien des objectifs militaires ».
Les premiers résultats de l’enquête posent en filigrane la question de savoir si la France s’est rendue coupable d’un crime de guerre, pour Stéphane Dujarric : « Ce n’est pas un rapport conclusif, il demande une enquête plus approfondie. » Cependant, « ce que les auteurs du rapport ont trouvé soulève beaucoup de questions et de préoccupations », a-t-il insisté.
La Minusma « recommande » aux autorités maliennes et françaises de diligenter « une enquête indépendante, crédible et transparente ». Elle préconise d’examiner les processus préalables aux frappes, voire de les modifier. Elle recommande aussi aux Français et aux Maliens de chercher à établir les responsabilités et d’octroyer, le cas échéant, une réparation aux victimes et à leurs proches.
What about Malians freedom from terrorists/ jahadists/ violent criminals attacks plus security with generous upgrade in living conditions?
When you under total circumstance examine their position they are filled with making us stupid shit that is far from being in our best interest.
Henry Author Price Jr aka Kankan
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Comme si l’ONU respectait les droits humains, allons nous voir le bilan de l’ONU en Haiti?
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