Nord du Mali : Kidal : Et si les soi-disant marginalisés sont plutôt ceux qui marginalisent les autres ; dans ce cas question… ?

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Ils furent plus de 24 maliens, (tous des peaux noires) à avoir été  chassés de force de la région de Kidal, par les rebelles du Mouvement national de libération de l’Azawad (MNLA). Ces scènes d’atrocités et de violences extrêmes ponctuées d’abus du pouvoir du plus fort sur du plus faible, ont été  commis sans pour autant que Amnesty International et ces ONG et organismes, qui se disent défenseurs des droits de l’homme ne réagissent.

 

 

En effet, les attitudes vis-à-vis du MNLA, des organisations et organismes se disant défenseurs des droits de l’homme, ne semblent pas nous surprendre, d’autant plus que durant les premières heures de la crise de rébellion au nord Mali, ces mêmes ONG et autres organismes qui prétendent pourtant défendre les droits de l’homme à travers le monde, n’avaient pas condamné, les massacres et atrocités qui avaient été perpétrés tant à Aguelhok qu’à Ménaka, Tessalit et dans bien d’autres localités du septentrion malien, par les rebelles du MNLA sur des militaires, des familles de militaires, des élèves (dans des salles de classes) et sur bien d’autres citoyens maliens sans aucun moyen de défense vivant ou résidant au nord du Mali.

 

 

D’une complicité très bien orchestrée avec ces soi-disant défenseurs des droits de l’homme, les rebelles du MNLA, voyant qu’ils avaient par la suite perdu du terrain face à l’armée malienne, furent les premiers à crier et à chanter sur différents toits, tribunes, plateaux ou d’espaces d’échanges d’idées, accusant sans cesse, l’armée malienne d’être en train de commettre d’actes malveillants sur des populations touarègues, qu’ils jugent comme étant des minorités.

 

 

Le mal dans tout se scénario, est que ceux ou celles qui soutiennent les touaregs comme étant des minorités, se passent de toute condamnation contre ces mêmes minorités, même si elles commettaient des actes inhumains, voir tuer, massacrer ou exterminer des majorités. Face à cette situation, la remarque est qu’il suffit, qu’un membre de cette minorité perde sa vie (même sur un champ de guerre) et tout de suite on voit ces défenseurs « téléguidés » des droits de l’homme prendre place sur des plateaux et tribunes, pour ensuite crier au scandale. Alors jugez-en ?

 

 

Ces ONG et autres organismes qui sous-tendent défendre les droits de l’homme devraient se poser mille et une questions, en rapport avec les dernières évolutions de l’actualité du côté de Kidal. Jusqu’ici, personne ne les a entendues condamner ces violences et atrocités perpétrées sur des peaux noires par les membres du MNLA. Certainement que ces défenseurs des droits de l’homme n’ont pas eu l’information, sur la perpétration d’atrocités commises ces derniers par ses « barbares » rebelles du MNLA, sur des maliens, notamment sur des peaux noires vivant ou résidant dans la région de Kidal.

 

 

« Eh bien, si c’est comme çà, que nous devrions parler de respect des droits de l’homme, alors il revient à ces défenseurs des droits de l’homme avec à leur tête Amnesty International, de changer leur façon de faire. On  ne peut aucunement se réclamer en défenseurs des droits de l’homme et accepter d’être manipulés à d’autres niveaux et par d’autres…».

 

 

Sans pour autant soutenir que ces organismes de défense des droits de l’homme (manipulés) qui se réclament pourtant comme étant de farouches défenseurs des droits de l’humanité, font semblant d’ignorer les atrocités et autres violences commises par les rebelles du MNLA sur les maliens noirs de la région de Kidal voir du septentrion malien. Un vrai défenseur de la cause de l’humanité doit comprendre, que l’on défend une cause dans une transparence totale, une sincérité sans égale et une honnêteté de responsable. Les défenseurs de la cause de l’humanité devraient noter que les vrais auteurs des crimes commis au nord Mali sont les rebelles du MNLA.

 

 

En réalité, au nord Mali, il ne faudra pas aller chercher les auteurs des crimes ailleurs, ils sont là tout près. Il s’agit  de ses barbares (rebelles) indépendantistes du MNLA ». Amnesty International devrait comprendre que cela est clair comme ; eau de roche, les rebelles du MNLA privent les populations du nord de leur liberté générale. Mais, quelque part, on comprend les positions de ces défenseurs des droits de l’homme, puisque n’ayant certainement pas leur objectif : divisé le Mali et offrir au MNLA l’indépendance d’une farfelue république de l’Azawad. Le fait de ne pas avoir eu gain de cause, ils ont tout simplement tourné la veste, décidant de mettre tout en œuvre, pour incriminer l’armée malienne aux yeux de l’opinion internationale, alors que les réalités sur le terrain sont bien contraires aux propos qu’ils tiennent.

 

 

Violences et atrocités sur les peaux noires à Kidal : Où est Amnesty International ?

Au risque de ne pas se répéter, ceux qui commettent les exactions dans la région de Kidal, sont et demeurent connus par ces « soi-disant » défenseurs des droits de l’homme, particulièrement d’Amnesty International. En toute réalité, les dernières évolutions de l’actualité dans la région de Kidal, devraient interpeller plus d’un parmi nous, notamment Amnesty International, qui n’est autre qu’un groupe d’individus spécialisés à incriminer de soldats loyaux ou de gouvernements légitimes dans de sales dossiers de crimes, tout en couvrant les vrais coupables de ces crimes.

 

 

Le constat est le même, pour ces multiples ONG et organismes, qui se disent défenseurs des droits de l’homme. Désormais les maliens dans leur majorité semblent se décider à tout relater. Ils ne souhaiteraient plus que leur vaillante armée soit la cible à tort, de la part d’individus mal intentionnés et qui seraient prêts à tout bout de champ, à ne semer que des divisions dans les cœurs des populations de nations du tiers monde. Le cas Mali en témoigne. Puisque nous avions compris que les rebelles du MNLA ne sont autres que leurs protégés.

 

 

Par Zhao Ahmed Amadou Bamba 

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