Au moment où les pourparlers entre le gouvernement et les groupes armés du MNLA achoppent à Ouagadougou sur l’entrée des Forces armées et de sécurité dans la ville de Kidal, le secrétaire général de la Présidence, Ousmane Sy, dans un entretien à bâtons rompus hier dans ses bureaux de la présidence de la République avec des journaux de la place, a tenu à lever certaines équivoques qui entourent cette question, notamment dans les médias internationaux. Ibrahim Soumaré, le conseiller diplomatique du Président de la République, et Benson Diakité, un conseiller technique à la présidence, ont pris part à la conversation.
Selon le secrétaire général de la Présidence de République ce qui se passe actuellement à Ouagadougou entre le gouvernement et les groupes armés du MNLA et le Haut conseil pour l’unité de l’Azawad autour du médiateur attitré, Blaise Compaoré, n’est pas à proprement parler une négociation comme telle. Il ne s’agit en fait que de discussions préliminaires destinées à déterminer les acteurs éligibles aux futures négociations de fond qui doivent être menées, entre Maliens, par la Commission dialogue et réconciliation (CDR).
C’est donc à Ouagadougou que sont dessinées les ébauches en termes d’acteurs des prochaines négociations avec les mouvements rebelles non liés au terrorisme et au crime organisé. Pour être éligible à ces négociations à venir, il faut renoncer aux prétentions territoriales, accepter l’intégrité du territoire et la laïcité de l’Etat malien et déposer les armes. C’est seulement dans un second temps que les discussions de fond pourront être ouvertes entre Maliens sous l’égide de la Commission dialogue et réconciliation créée à cet effet.
C’est aussi, par l’entremise de cette Commission dialogue et réconciliation, que seront débattues toutes questions relatives à l’avenir du Mali y compris celui de la ville de Kidal. Ousmane Sy a rappelé au passage que depuis le 5 mai dernier l’Armée malienne a repris pied dans la région de Kidal en s’emparant de la ville de Anefif.
Elle aurait pu avancer. Mais elle a retardé sa progression car la reconquête de la ville de Kidal est non seulement militaire mais aussi éminemment politique. Le gouvernement pour ménager les susceptibilités de son partenaire français qui dans cette immense région désertique recherchait des otages occidentaux avec le concours d’acteurs locaux, a demandé aux forces armées d’arrêter leur progression. Mais cet arrêt, a souligné Ousmane Sy, ne saurait perdurer dès lors que l’élection présidentielle doit avoir lieu en juillet sur toute l’étendue du territoire, Kidal inclus avec la présence de l’armée et de l’administration maliennes.
Si aujourd’hui les discussions avec les groupes armés achoppent sur cette entrée des forces armées et de sécurité dans la ville de Kidal tout le monde doit savoir qu’il y a un deadline au-delà duquel on ne saurait aller. Ousmane Sy espère que d’ici là les pourparlers avanceront à la satisfaction de toutes les parties dès lors que les groupes armés ont accepté de renoncer au vocable Azawad comme référence territoriale. Le gouvernement, lui, reste intransigeant sur les mandats d’arrêt lancés contre les auteurs des crimes et sur la présence rapide de l’armée et de l’administration maliennes dans la ville de Kidal. Et affiche sa détermination à voir ses attentes figurer dans le document proposé à la signature.
B. COULIBALY
Mr Sy ns ne contre la signature d’un accord de paix mais accord qui mettra ts les maliens sur le mm point d’égalité si non les autre régions vont réclamés leur auto détermination en prenant des armes.
Le pouvoir a eu tord d’arreter l’avancé de nos militaire sur kidal car l’armée malienne devrait etre à kidal avant le debut mm des négociation.
ns demandons une fois de plus le pouvoir de ne pas de ne pas signer du toyboys avec ses bandit car notre armée est en force de frappe aujourd’hui et fo qe ça soit la fin de la rebellion pour tjs au nord de notre pays
SI LA FRANCE VOULLAIT LIBERER LE MALI, ELLE DEVAIT LE FAIRE TOTALEMENT, PAS EN DEMI MESURES. RAPPELLEZ-VOUS COMMENT A COMMENCE L’OPERATION TURQUOISE AU RWANDA ET COMMENT ELLE S’EST TERMINE?
DEBOUT, MALIENNES et MALIENS ! APRES LE 1er JUILLET ET SES CASQUES BLEUS, CE SERA TROP TARD. Les arbitres viendront jouer au ballon et le match sera truqué. De faux penalties pulluleront sur le terrain. Contre nos quelques défenseurs rescapés, l’arbitre même sifflera la faute imaginaire. Kidal sera un lointain souvenir. Modibo Keita pleurera une seconde fois. Soundjata et Sonni Ali Ber nous maudiront de voir leurs noms mêler à cette affaire d’héritiers imposteurs et indignes de leurs noms, leurs cœurs et leurs âmes ! Oui, si l’Histoire doit se faire, personne ne viendra l’écrire et la faire à la place des Maliens, eux qui, avant le reste de l’Afrique ont inauguré le Cycle des printemps révolutionnaires… en 1991. Y.T.(Reporteur)
félicitation pour ton article. chaque malien doit se lever et marcher désormais sur kidal. Sur la route de kidal profitons de l’occasion
pour balayer ces autorités politiques maliennes pratiquement indignes des maliens.
T.Sankara
“SI LA FRANCE VOULLAIT LIBERER LE MALI, ELLE DEVAIT LE FAIRE TOTALEMENT, PAS EN DEMI MESURES. ”
La mission de la france concernait les islamistes narco-terroristes internationaux, mais n’a jamais concerné une poignée d’indépendantistes Maliens!!! Ca, c’était un problème purement MALIEN, et c’était au MALI et au MALI SEUL de le résoudre!!!
Mais comme toujours, le Mali n’ arien fait et accuse tout le monde! 🙁 🙁 🙁 🙁
Comme toujours!
LE MALI NE SE NEGOCIE PAS. LES MALIENS VEULENT COMBATTRE LE MNLA, ET LES METTRE EN DEHORS DU MALI. NEGOCIER AVEC LE MNLA CEST LA FAIBLESSE. NOTRE INDEPENDANCE NEST PAS NEGOCIABLE. LES REBELLES NE RESTERONS PAS INPUNIES. ET LE MALI NE SERAS PAS DIVISER OU UNE REGION SUPERIEUR A L’AUTRE. PAS QUESTION. EN TOUT CAS IL NYAURAS PAS DAUTONOMIE POUR KIDAL CA CEST HORS DE QUESTION.LES MALIENS REFUSENT.
M. Sy, le message est très clair et ça reflète la réalité des choses. Nous sommes inquiet au point que nous n’arrivons pas à décrocher du NET.
Nous savons que nos dirigeants ont la capacité intellectuelle de choisir ce qui est bon pour la Mali. Cependant nous avons toujours une phobie du manque d’intégrité et de fermeté.
L’Algérie avait pris sa responsabilité en intervenant militairement sur le site gazier à contre courant des paroles occidentaux.
La France nous a certes aider et nous ne saurons l’oublier. Mais dans ce monde fou où nous vivons, il faut constamment évaluer la position de ton ami. Car il peut devenir ton ennemi à tout moment.
Travaillez pour le Mali et mettez l’intérêt du Mali au dessus des belles paroles, des belles promesses etc.
les maliens ont pris Mariko et aminata dramae comme des foux et voilà qu’ils ont vu venir la main de la france.
Mon frère la verité commence a sortir.
asalam aleikoum wa rahamatoulaye cher camarade le mot me manque pour m’exprimé a quel poimt j ai de l’affection pour s’exprimé : 1-
pourquoi ne pas laisser a l’ armeé malienne de reagir comme il fout tantdisque la france est l’enemie pur des maliens voyons le cas du MNLA QUI MANUPULE LE PEUPLE MALIEN
voici un homme ki aurait pu conduire l’ADEMA à la victoire et rassembler tous les maliens sur un véritable projet pouvant sortir notre pays de l’abîme.
CEST UNE BONNE CHOSE DEJA SIL EXISTE PLUS LE MOT AZAWAD CEST ENERVANT AZAWAD DANS NOTRE MALI
SECONDO DEPOSER LES ARMES CAREMENT
TIERCO SE METRE AU RANG POUR QUIL AIT DES ELECTION LIBRE ET TRANSPARENTE
QUARTO APRES TOUT CA ONT VA DEVELLOPER LA REGION DU NORD MALI ET TROUVER DES SOLUTION C’EST COMME CELA Q’UONT FAIT
azawad cest terminer il faut effacer du vocabulaire ont ne veut plus entendre parle de azawad une merde comme ces rebelle
Des mensonges, si la france. Veut reelment retrouver ces otages? Sesont les populations du nord qui pourrons joues un role cle pour les retrouves pas le MNLA, comme c est le cas des caches d armes,.
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